Paroles de la chanson Ceux d'Oviedo par Chants révolutionnaires
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Paroles de la chanson Ceux d'Oviedo par Chants révolutionnaires
Par toute la terre
Chaque prolétaire
A frémi d'un immense espoir.
Ceux d'Oviedo d'un splendide élan
Ont rejeté soudain leur carcan,
Ont pris le pouvoir,
Ceux d'Oviedo.
Ces durs gars tranquilles
De la mine hostile,
Armés d'explosifs de chantier,
Sous leur baratte en bourgeon noir,
Ont pris d'assaut palais et manoirs.
Héros ouvriers,
Ceux d'Oviedo.
Chaque prolétaire
A frémi d'un immense espoir.
Ceux d'Oviedo d'un splendide élan
Ont rejeté soudain leur carcan,
Ont pris le pouvoir,
Ceux d'Oviedo.
Ces durs gars tranquilles
De la mine hostile,
Armés d'explosifs de chantier,
Sous leur baratte en bourgeon noir,
Ont pris d'assaut palais et manoirs.
Héros ouvriers,
Ceux d'Oviedo.
A leurs cigarettes,
Allumant la mèche
De leurs grenades de fer blanc,
Pendant des jours ils ont repoussé
Les mercenaires contre eux lancés
Par les gouvernants,
A Oviedo.
Ces sans sou ni maille,
En pleine bataille
Ont protégé les gens, les biens.
Pendant l'horreur de la lutte à mort,
Ils préparaient un plus juste sort :
Les droits et le pain,
Ceux d'Oviedo.
Tremblante de haine,
Lâche et inhumaine,
Allumant la mèche
De leurs grenades de fer blanc,
Pendant des jours ils ont repoussé
Les mercenaires contre eux lancés
Par les gouvernants,
A Oviedo.
Ces sans sou ni maille,
En pleine bataille
Ont protégé les gens, les biens.
Pendant l'horreur de la lutte à mort,
Ils préparaient un plus juste sort :
Les droits et le pain,
Ceux d'Oviedo.
Tremblante de haine,
Lâche et inhumaine,
La réaction les écrasa.
Toute une armée à coups de canons,
Fit d'Oviedo un tombeau sans nom.
Partout on trembla,
Pour Oviedo.
L'âpre bourgeoisie,
Malgré ses tueries,
N'aura nul repos désormais,
Le peuple entier a fremis d'horreur,
Le jour approche où, par son ardeur,
Seront bien vengés,
Ceux d'Oviedo.
Toute une armée à coups de canons,
Fit d'Oviedo un tombeau sans nom.
Partout on trembla,
Pour Oviedo.
L'âpre bourgeoisie,
Malgré ses tueries,
N'aura nul repos désormais,
Le peuple entier a fremis d'horreur,
Le jour approche où, par son ardeur,
Seront bien vengés,
Ceux d'Oviedo.
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