Paroles de la chanson Le vieil homme #2 par Charlélie Couture
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Paroles de la chanson Le vieil homme #2 par Charlélie Couture
Dans un village perdu en haut de la montagne
Un vieil homme barbu comme s'il sortait du bagne
Les cheveux mal peignés, mange des araignées
Qu'il sort du fond d'un sac, pendu à son hamac
Souvent il lève les yeux et regarde les nuages
Immobile sur l'image punaisée au milieu
D'un parfait cercle rouge, dessiné à la craie
Sur un mannequin qui bouge au gré du vent frais
Un bâtard fatigué est allongé sur un canapé
Il bougonne en dormant comme son maître en marchant
Vers la porte entr'ouverte qui donne sur la nature
Humide, aux températures qui font toutes les plantes vertes
Le vieillard sort de sa poche une dague pointue
Un vieil homme barbu comme s'il sortait du bagne
Les cheveux mal peignés, mange des araignées
Qu'il sort du fond d'un sac, pendu à son hamac
Souvent il lève les yeux et regarde les nuages
Immobile sur l'image punaisée au milieu
D'un parfait cercle rouge, dessiné à la craie
Sur un mannequin qui bouge au gré du vent frais
Un bâtard fatigué est allongé sur un canapé
Il bougonne en dormant comme son maître en marchant
Vers la porte entr'ouverte qui donne sur la nature
Humide, aux températures qui font toutes les plantes vertes
Le vieillard sort de sa poche une dague pointue
Qu'il caresse et approche de la tête d'une tortue
Qui se transforme soudain en sainte ou en déesse
Lui saisissant la main avant qu'il ne la blesse
Le chien aveugle traînant la patte écoute le bruissement
De son maître en savates qui le suit lentement
Jusqu'au bout de la cour déserte et puis s'arrête enfin
Quand les roulements d'tambour grondent dans le lointain
Le vieillard éperdu, envahi de remords
Sent son corps tout tordu et pourtant indolore
Comme un feu merveilleux éclaire sa vie d'errance
Et en toute innocence, il se voit monter aux cieux
Qui se transforme soudain en sainte ou en déesse
Lui saisissant la main avant qu'il ne la blesse
Le chien aveugle traînant la patte écoute le bruissement
De son maître en savates qui le suit lentement
Jusqu'au bout de la cour déserte et puis s'arrête enfin
Quand les roulements d'tambour grondent dans le lointain
Le vieillard éperdu, envahi de remords
Sent son corps tout tordu et pourtant indolore
Comme un feu merveilleux éclaire sa vie d'errance
Et en toute innocence, il se voit monter aux cieux
Un éclair magnétique illumine l'horizon
Est-ce un message mystique ou un flash sans raison?
Dire un dernier adieu aux choses de ce lieu
Et l'ermite solitaire s'envole dans les airs
Est-ce un message mystique ou un flash sans raison?
Dire un dernier adieu aux choses de ce lieu
Et l'ermite solitaire s'envole dans les airs
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