Paroles de la chanson Sonnez les cloches par Charles Aznavour
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Paroles de la chanson Sonnez les cloches par Charles Aznavour
Tout est calme et serein dans la petite église
Et les cloches joyeuses ont un son cristallin
Tandis que sans savoir l’enfant que l’on baptise
Sourit aux inconnues qui lui tendent les mains
Sonnez les cloches, sonnez bien
Il vient de naître un chérubin
Un don du Ciel, un don de Dieu
Un être pur et merveilleux
Pour la famille rassemblée
En ce jour de félicité
Sonnez les cloches à la volée
Que bénie soit sa destinée
Debout face à l’autel, tremblant de tout leur être
Et les cloches joyeuses ont un son cristallin
Tandis que sans savoir l’enfant que l’on baptise
Sourit aux inconnues qui lui tendent les mains
Sonnez les cloches, sonnez bien
Il vient de naître un chérubin
Un don du Ciel, un don de Dieu
Un être pur et merveilleux
Pour la famille rassemblée
En ce jour de félicité
Sonnez les cloches à la volée
Que bénie soit sa destinée
Debout face à l’autel, tremblant de tout leur être
Pas tout à fait adulte, et déjà plus enfant
Ils se tiennent tous deux, émus tandis qu’un prêtre
Les déclare unis devant Dieu tout-puissant
Sonnez les cloches, sonnez donc
Pour le succès de cette union
Ils ont échangé les anneaux
Pour eux se lève un jour nouveau
Ils ont dit oui, pleins de ferveur
Pour le pire et pour le meilleur
Sonnez les cloches, sonnez pour
Le devenir de leur amour
Elles pleurent les femmes et les cloches résonnent
Et leurs plaintes funèbres nous glacent le sang
Le noir est la couleur des veillées de l’automne
Ils se tiennent tous deux, émus tandis qu’un prêtre
Les déclare unis devant Dieu tout-puissant
Sonnez les cloches, sonnez donc
Pour le succès de cette union
Ils ont échangé les anneaux
Pour eux se lève un jour nouveau
Ils ont dit oui, pleins de ferveur
Pour le pire et pour le meilleur
Sonnez les cloches, sonnez pour
Le devenir de leur amour
Elles pleurent les femmes et les cloches résonnent
Et leurs plaintes funèbres nous glacent le sang
Le noir est la couleur des veillées de l’automne
Et le glas est le chant qui fait peur aux vivants
Sonnez les cloches et le tocsin
Pour la misère et le chagrin
Pour les vainqueurs et les vaincus
Pour tous ceux qu’on ne verra plus
Pour le triomphe du tribun
La folie des êtres humains
Sonnez les cloches sans répit
Pour la guerre et sa connerie
Pour le pape qu’on sacre, et le tyran qui crève
Pour rassembler les hommes et appeler au feu
Pour la vie qui paraît et celle qui s’achève
Pour Pâques, pour Noël, pour honorer les dieux
Sonnez les cloches et clochetons
Sonnez les cloches et le tocsin
Pour la misère et le chagrin
Pour les vainqueurs et les vaincus
Pour tous ceux qu’on ne verra plus
Pour le triomphe du tribun
La folie des êtres humains
Sonnez les cloches sans répit
Pour la guerre et sa connerie
Pour le pape qu’on sacre, et le tyran qui crève
Pour rassembler les hommes et appeler au feu
Pour la vie qui paraît et celle qui s’achève
Pour Pâques, pour Noël, pour honorer les dieux
Sonnez les cloches et clochetons
Au théâtre des religions
Chacun de nous, chacun son tour
Les entendra tinter un jour
Après la vie, après la mort
Elles résonneront encore
Pour glorifier l’éternité
Au jour du jugement dernier
Glorifier l’éternité
Au jour du jugement dernier
Chacun de nous, chacun son tour
Les entendra tinter un jour
Après la vie, après la mort
Elles résonneront encore
Pour glorifier l’éternité
Au jour du jugement dernier
Glorifier l’éternité
Au jour du jugement dernier
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