Paroles de la chanson Le bateau-lavoir par Charles Trenet
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Paroles de la chanson Le bateau-lavoir par Charles Trenet
Venez, venez sur mon bateau
C'est le plus grand, c'est le plus beau
Il fait vraiment plaisir à voir
C'est un charmant bateau-lavoir
C'est moi qui suis le capitaine
Je me déguise en croque-mitaine
Pour faire peur aux lavandières qui vont
Plonger toutes nues dans la rivière
Pour attraper des bouts d'savon
Quand vient le soir, je rêve un peu
Je m'en vais boire au coin du feu
Mais aux vendanges en Arles-sur-Tech
Le bateau se change en discothèque
Toute la jeunesse du pays
Vient et s'y presse toute la nuit
C'est le plus grand, c'est le plus beau
Il fait vraiment plaisir à voir
C'est un charmant bateau-lavoir
C'est moi qui suis le capitaine
Je me déguise en croque-mitaine
Pour faire peur aux lavandières qui vont
Plonger toutes nues dans la rivière
Pour attraper des bouts d'savon
Quand vient le soir, je rêve un peu
Je m'en vais boire au coin du feu
Mais aux vendanges en Arles-sur-Tech
Le bateau se change en discothèque
Toute la jeunesse du pays
Vient et s'y presse toute la nuit
Et au p'tit jour chacun se dit au revoir
Claquant des mains comme des battoirs
À bord de mon bateau-lavoir !
Un jour un banquier (homme d'affaires)
Tombe à mes pieds chez un notaire
Il me demande si je veux de l'argent
Pour que je vende mon bâtiment
Je lui répondis en délire :
« La liberté, c'est mon navire
Ça n'a pas de prix et je vous le dis aussitôt
Vous me donnez envie de rire
En voulant m'emmener en bateau ! »
Venez, venez, dans la tempête
Les nouvelles vagues ont plus de dix mètres
Quand le temps se gâte c'est épatant
Sur ma frégate on reste content
Claquant des mains comme des battoirs
À bord de mon bateau-lavoir !
Un jour un banquier (homme d'affaires)
Tombe à mes pieds chez un notaire
Il me demande si je veux de l'argent
Pour que je vende mon bâtiment
Je lui répondis en délire :
« La liberté, c'est mon navire
Ça n'a pas de prix et je vous le dis aussitôt
Vous me donnez envie de rire
En voulant m'emmener en bateau ! »
Venez, venez, dans la tempête
Les nouvelles vagues ont plus de dix mètres
Quand le temps se gâte c'est épatant
Sur ma frégate on reste content
Et si demain finit le voyage
Si l'on prend le chemin du garage
On pourra dire « Il fallait le voir pour y croire »
Chacun lui doit un peu d'espoir
À ce bon vieux bateau-lavoir !
À ce baba, à ce toto, à ce la-la à ce voi-voir
À ce bon vieux ballot, à ce bon vieux bavoir
À ce bon vieux bateau-lavoir !
À ce baba, à ce toto, à ce la-la à ce voi-voir
À ce bon vieux ballot, à ce bon vieux bavoir
À ce bon vieux bateau-lavoir !
À ce bon vieux ballot, à ce bon vieux bavoir
Si l'on prend le chemin du garage
On pourra dire « Il fallait le voir pour y croire »
Chacun lui doit un peu d'espoir
À ce bon vieux bateau-lavoir !
À ce baba, à ce toto, à ce la-la à ce voi-voir
À ce bon vieux ballot, à ce bon vieux bavoir
À ce bon vieux bateau-lavoir !
À ce baba, à ce toto, à ce la-la à ce voi-voir
À ce bon vieux ballot, à ce bon vieux bavoir
À ce bon vieux bateau-lavoir !
À ce bon vieux ballot, à ce bon vieux bavoir
À ce bon vieux bateau-lavoir !
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