Paroles de la chanson Le voyage de la vieille par Charles Trenet
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Paroles de la chanson Le voyage de la vieille par Charles Trenet
Dans une maison vide
Madame compte ses rides
Devant sa vieille psyché
Mais on frappe à la porte
Entre la bonne morte
On lui dit approchez
Toutes les deux s’approchent
Et se font des reproches
De maisons mal tenues
Madame est en chemise
La chose est bien permise
Puis elle est toute nue
J'aime le centre Pompidou
Elle part en voyage
Pour oublier son âge
Madame compte ses rides
Devant sa vieille psyché
Mais on frappe à la porte
Entre la bonne morte
On lui dit approchez
Toutes les deux s’approchent
Et se font des reproches
De maisons mal tenues
Madame est en chemise
La chose est bien permise
Puis elle est toute nue
J'aime le centre Pompidou
Elle part en voyage
Pour oublier son âge
On les a vu passer
Pas dans toutes devantures
Dans une vieille voiture
Le regard courroucé
Parfois un incendie
Dans le ciel irradie
Son manteau rouge et noir
Alors des gens illustres
L'invitent sous un lustre
D'où l'on ne peut rien voir
J'aime le centre pompidou
Dans une auberge infâme
Elle rencontre une femme
Qui dit tout m'appartient
Avant j'étais la bonne
Maintenant je suis patronne
J'étais l'amie du chien
Pas dans toutes devantures
Dans une vieille voiture
Le regard courroucé
Parfois un incendie
Dans le ciel irradie
Son manteau rouge et noir
Alors des gens illustres
L'invitent sous un lustre
D'où l'on ne peut rien voir
J'aime le centre pompidou
Dans une auberge infâme
Elle rencontre une femme
Qui dit tout m'appartient
Avant j'étais la bonne
Maintenant je suis patronne
J'étais l'amie du chien
Quittons vite la place
Nous avons peur des glaces
Que dites vous ami
Cette auberge est maudite
L'autre dit eh ben dites
Cela m'est bien permis
J'aime le centre Pompidou
La vieille vagabonde
Sans perdre uns seconde
Grimpe dans son phaeton
Démarre à grande vitesse
Sous les yeux de l’hôtesse
Et de trois marmitons
Direction indécise
Francfort ou bien Venise
Ne pas trop présager
On ne peut se permettre
Nous avons peur des glaces
Que dites vous ami
Cette auberge est maudite
L'autre dit eh ben dites
Cela m'est bien permis
J'aime le centre Pompidou
La vieille vagabonde
Sans perdre uns seconde
Grimpe dans son phaeton
Démarre à grande vitesse
Sous les yeux de l’hôtesse
Et de trois marmitons
Direction indécise
Francfort ou bien Venise
Ne pas trop présager
On ne peut se permettre
Que peu de kilomètres
Quand on est très âgé
J'aime le centre Pompidou
Soudain elle s'arrête
Tout en haut d'une crête
Qui donne sur un couvent
Alors la visiteuse
Fait dans cette chartreuse
Une halte en buvant
Une tisane d'avoine
Offerte par les moines
Ça la requinque un peu
Elle s'endort près du poêle
Et part quand les étoiles
S'effacent dans les cieux
J'aime le centre pompidou
Quand on est très âgé
J'aime le centre Pompidou
Soudain elle s'arrête
Tout en haut d'une crête
Qui donne sur un couvent
Alors la visiteuse
Fait dans cette chartreuse
Une halte en buvant
Une tisane d'avoine
Offerte par les moines
Ça la requinque un peu
Elle s'endort près du poêle
Et part quand les étoiles
S'effacent dans les cieux
J'aime le centre pompidou
Au bout de la randonnée
Qui dure plus d'une année
Elle revient en cargo
Du fond des Baléares
Bercée par les guitares
Dont joue des hidalgos
Elle retrouve sa cuisine
Son horrible voisine
Sa vie et sa maison
Apprend que sa sœur cadette
A réglé toutes ses dettes
Et n'est plus en prison
J'aime le centre pompidou
Cette nouvelle l'enchante
Au piano elle chante
Des romances d'espoir
Qu'elle est cette jeune fille
Qui dure plus d'une année
Elle revient en cargo
Du fond des Baléares
Bercée par les guitares
Dont joue des hidalgos
Elle retrouve sa cuisine
Son horrible voisine
Sa vie et sa maison
Apprend que sa sœur cadette
A réglé toutes ses dettes
Et n'est plus en prison
J'aime le centre pompidou
Cette nouvelle l'enchante
Au piano elle chante
Des romances d'espoir
Qu'elle est cette jeune fille
Dit elle entre deux trilles
Au fond de ce miroir
Dieu c'est moi
Et ces lèvres qui sont travaille d'orfèvre
Sont du meilleur profit
Pas besoin de lait d’ânesse
Pour retrouver jeunesse
Un voyage a suffit
J'aime le centre Pompidou
Au fond de ce miroir
Dieu c'est moi
Et ces lèvres qui sont travaille d'orfèvre
Sont du meilleur profit
Pas besoin de lait d’ânesse
Pour retrouver jeunesse
Un voyage a suffit
J'aime le centre Pompidou
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