Paroles de la chanson Mon Corps par Chat
Auteurs: Chat,Joseph Chedid
Compositeurs: Chat,Joseph Chedid
Editeurs: Warner Chappell Music France,Olympic Disk,Joseph Chedid
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Paroles de la chanson Mon Corps par Chat
Je te maltraite un peu trop souvent,
Je ne m’arrête jamais à temps
Dans ces moments seule avec le vent,
Je ramasse les miettes, j’aime le rangement
Mais toujours tu résistes, et toujours je regrette
J’insiste, oui j’insiste, j’ai mal à la tête
La douceur des nuits, la blancheur des cernes
Parfois me trahit, parfois me ramène
Au fil trop fragile que j’effiloche sans peine
Alors je souris, c’est mon côté obscène
Mais toujours tu résistes, et toujours je regrette
Je ne m’arrête jamais à temps
Dans ces moments seule avec le vent,
Je ramasse les miettes, j’aime le rangement
Mais toujours tu résistes, et toujours je regrette
J’insiste, oui j’insiste, j’ai mal à la tête
La douceur des nuits, la blancheur des cernes
Parfois me trahit, parfois me ramène
Au fil trop fragile que j’effiloche sans peine
Alors je souris, c’est mon côté obscène
Mais toujours tu résistes, et toujours je regrette
J’insiste, oui j’insiste, j’ai mal à la tête
Mais toujours je persiste
Pour ces quelques secondes où j’apaise
Ces troubles fantaisistes
Qui t’abîment, qui m’embêtent
Certains instants, l’amour s’empare de moi
Alors je t’oublie, un moment de répit pour toi
Je te maltraite, oui c’est indécent
Un peu trop facile, sûrement trop violent
J’égratigne sans gêne, je marque au fer-blanc
Ces blessures trop ternes, je mens comme un enfant
Je te malmène, amène à la crise
Un rien vacille, je perds prise
Je te malmène mais au fond je maîtrise
Mais toujours je persiste
Pour ces quelques secondes où j’apaise
Ces troubles fantaisistes
Qui t’abîment, qui m’embêtent
Certains instants, l’amour s’empare de moi
Alors je t’oublie, un moment de répit pour toi
Je te maltraite, oui c’est indécent
Un peu trop facile, sûrement trop violent
J’égratigne sans gêne, je marque au fer-blanc
Ces blessures trop ternes, je mens comme un enfant
Je te malmène, amène à la crise
Un rien vacille, je perds prise
Je te malmène mais au fond je maîtrise
Mais toujours tu résistes, et toujours je regrette
J’insiste, oui j’insiste, j’ai mal à la tête
Mais toujours je persiste
Pour ces quelques secondes où j’apaise
Ces troubles fantaisistes
Qui t’abîment, qui m’enferment
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