Paroles de la chanson Un Pas D'été, Un Pas D'hiver par Christine Authier
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Paroles de la chanson Un Pas D'été, Un Pas D'hiver par Christine Authier
{Elle:}
Le vieux pays vous salue bien
Il vous dit bonjour de la main
Et dit "Si on causait un peu
On veille sur vous du coin des yeux"
Il s' penche un peu, il voit du bleu
C'est pas vraiment le bleu du drapeau
C'est comme une couleur sur la peau
Es-tu tombé, t'es-tu fait mal ?
Des bleus sur le cœur, c'est pas normal !
{Lui:}
Mal au cœur et mal au dos
On en rira tantôt
On se prépare une belle fête
On connaît le prix du temps
Le vieux pays vous salue bien
Il vous dit bonjour de la main
Et dit "Si on causait un peu
On veille sur vous du coin des yeux"
Il s' penche un peu, il voit du bleu
C'est pas vraiment le bleu du drapeau
C'est comme une couleur sur la peau
Es-tu tombé, t'es-tu fait mal ?
Des bleus sur le cœur, c'est pas normal !
{Lui:}
Mal au cœur et mal au dos
On en rira tantôt
On se prépare une belle fête
On connaît le prix du temps
Et puis le mauvais temps
Qu'il a fait sur nos têtes
La Nouvelle France a bien grandi
Elle s'appelle Québec aujourd'hui
Elle est grande comme une patrie
Elle est belle comme un pays
Elle est belle et c'est mon pays
C'est pas une petite province perdue là
Entre le pôle Nord et les États
Vous nous voyez pas bien d' Paris
C'est la faute à la poudrerie
{Elle:}
Ris pas de nous, on savait pas
Nous les Français de là-bas
Nous les enfants d' vos ancêtres
Il en a fallu des gars
Qu'il a fait sur nos têtes
La Nouvelle France a bien grandi
Elle s'appelle Québec aujourd'hui
Elle est grande comme une patrie
Elle est belle comme un pays
Elle est belle et c'est mon pays
C'est pas une petite province perdue là
Entre le pôle Nord et les États
Vous nous voyez pas bien d' Paris
C'est la faute à la poudrerie
{Elle:}
Ris pas de nous, on savait pas
Nous les Français de là-bas
Nous les enfants d' vos ancêtres
Il en a fallu des gars
Gilles, Félix, Robert et toi
Pour enfin vous connaître
Quand Pauline était à Paris
Et qu'elle nous chantait ton pays
J'ai reconnu les gens d'ici
Leurs rêves, leurs amours, leurs soucis
Dans le silence et dans les cris
On marchait toutes les deux d'un même pas
Mêmes rires et mêmes combats
On avait ouvert un chemin
Et on se tenait par la main
{Lui:}
Maintenant quand le vent nous mord
Que le froid nous endort
Qu'on rêve à la fenêtre
On bercera dans nos bras
Pour enfin vous connaître
Quand Pauline était à Paris
Et qu'elle nous chantait ton pays
J'ai reconnu les gens d'ici
Leurs rêves, leurs amours, leurs soucis
Dans le silence et dans les cris
On marchait toutes les deux d'un même pas
Mêmes rires et mêmes combats
On avait ouvert un chemin
Et on se tenait par la main
{Lui:}
Maintenant quand le vent nous mord
Que le froid nous endort
Qu'on rêve à la fenêtre
On bercera dans nos bras
L'aujourd'hui, l'autrefois
Le demain qui va naître
{Ensemble:}
On s'ra comme des amoureux
Qui s' regardent dans les yeux
Qui s'écrivent des poèmes
Le temps était bien trop long
Chacun dans sa maison
Sans se dire comme on s'aime
On s'ra comme des amoureux
Qui s' regardent dans les yeux
Qui s'écrivent des poèmes
Le temps était bien trop court
Chacun dans sa maison
Sans se parler d'amour
Le demain qui va naître
{Ensemble:}
On s'ra comme des amoureux
Qui s' regardent dans les yeux
Qui s'écrivent des poèmes
Le temps était bien trop long
Chacun dans sa maison
Sans se dire comme on s'aime
On s'ra comme des amoureux
Qui s' regardent dans les yeux
Qui s'écrivent des poèmes
Le temps était bien trop court
Chacun dans sa maison
Sans se parler d'amour
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