Paroles de la chanson C'est L'hiver par Clarika
Auteurs: Jean-Jacques Nyssen, Clarika
Compositeurs: Jean-Jacques Nyssen
Editeurs: Emma Productions
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Paroles de la chanson C'est L'hiver par Clarika
C’est l’hiver
Il fait triste dans les allées du square
C’est l’hiver
On a fermé les balançoires
L’eau du bassin a gelé
Et les nénuphars sont morts
Des feuilles craquent sous les pieds
Et le froid colore
Les joues pâles des enfants
Qui jouent avec leurs pelles
Au chaud dans leur caban
Sous la blancheur du ciel
Et tourne tourne le manège
Il fait triste dans les allées du square
C’est l’hiver
On a fermé les balançoires
L’eau du bassin a gelé
Et les nénuphars sont morts
Des feuilles craquent sous les pieds
Et le froid colore
Les joues pâles des enfants
Qui jouent avec leurs pelles
Au chaud dans leur caban
Sous la blancheur du ciel
Et tourne tourne le manège
Où frissonne le grand cheval fier
Qui regarde tomber la neige
Attendant sa belle écuyère
C’est l’hiver
Il fait triste
Et dans leurs longs manteaux
Des femmes couleur réglisse
Poussent des chariots
Peuplés de lutins blonds
Qui s’endorment en rêvant
Sous la capuche de pluie
A des bonbons géants
Elles ont dans leur cabas
Des pommes sous cellophane
Des biberons, du Coca
Qui regarde tomber la neige
Attendant sa belle écuyère
C’est l’hiver
Il fait triste
Et dans leurs longs manteaux
Des femmes couleur réglisse
Poussent des chariots
Peuplés de lutins blonds
Qui s’endorment en rêvant
Sous la capuche de pluie
A des bonbons géants
Elles ont dans leur cabas
Des pommes sous cellophane
Des biberons, du Coca
Des Pim’s et des bananes
Et le vieux maître chinois
Tourne ivre comme un pantin de chair
Lentement bouge ses bras
Sous le givre du saule centenaire
C’est l’hiver
Il fait triste
Au pied de la statue
Les pigeons s’y délestent
Et la saluent
Des silhouettes voûtées
Courent sous le vent glacial
Mais la bouche édentée
Du métro les avale
Et le vieux maître chinois
Tourne ivre comme un pantin de chair
Lentement bouge ses bras
Sous le givre du saule centenaire
C’est l’hiver
Il fait triste
Au pied de la statue
Les pigeons s’y délestent
Et la saluent
Des silhouettes voûtées
Courent sous le vent glacial
Mais la bouche édentée
Du métro les avale
Elles s’en vont retrouver
D’autres coudes au comptoir
Ou devant la télé
Un gratiné du soir
C’est l’hiver
Il fait noir
Et sur un banc je pleure
Mon amour perdu
Les arbres en fleur
D’autres coudes au comptoir
Ou devant la télé
Un gratiné du soir
C’est l’hiver
Il fait noir
Et sur un banc je pleure
Mon amour perdu
Les arbres en fleur
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