Paroles de la chanson Et je t'attends par Claude Barzotti
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Paroles de la chanson Et je t'attends par Claude Barzotti
La maison recherche ses parfums d'été
Et le bruit de ton retour sur le palier
Du salon à la cuisine
Toutes les roses sans épines
Les guirlandes
De lavande
Et d’oranger
Les volets effacent les couleurs d’avant
Ce bleu méditerranée que tu aimais tant
La pendule fait la grimace
Au silence qui prend ta place
Quand il donne au temps le temps de s’arrêter
Et même les oliviers
Semblent t’attendre aussi
Et le bruit de ton retour sur le palier
Du salon à la cuisine
Toutes les roses sans épines
Les guirlandes
De lavande
Et d’oranger
Les volets effacent les couleurs d’avant
Ce bleu méditerranée que tu aimais tant
La pendule fait la grimace
Au silence qui prend ta place
Quand il donne au temps le temps de s’arrêter
Et même les oliviers
Semblent t’attendre aussi
Les jardins du quartier
Ont la mélancolie
Et je t’attends de l’aube
Au soleil couchant
Au moindre bruit je sursaute
Le cœur battant
Je deviens fou, je t’attends
Depuis longtemps
Et je t’attends
Et je t’attends, je m’épuise mais je t’attends
Tout autour l’espace est devenu trop grand
Comme un marin au milieu de l’océan
Je tourne en rond et je t’attends
J’ai laissé la porte ouverte des jours entiers
Mais je n’entends pas de bruit sur le palier
Ont la mélancolie
Et je t’attends de l’aube
Au soleil couchant
Au moindre bruit je sursaute
Le cœur battant
Je deviens fou, je t’attends
Depuis longtemps
Et je t’attends
Et je t’attends, je m’épuise mais je t’attends
Tout autour l’espace est devenu trop grand
Comme un marin au milieu de l’océan
Je tourne en rond et je t’attends
J’ai laissé la porte ouverte des jours entiers
Mais je n’entends pas de bruit sur le palier
De la chambre à la terrasse
Je te vois dans toutes les glaces
Et je t’entends respirer sur l’oreiller
Les volets se sont refermés lentement
Sur la Méditerranée souffle le vent
La pendule reprend sa place
Le soleil fait la grimace
Et les heures donnent aux heures le temps de tourner
Et même les oliviers
Semblent t’attendre aussi
Les jardins du quartier
Ont la mélancolie
Et je t’attends de l’aube
Au soleil couchant
Au moindre bruit je sursaute
Je te vois dans toutes les glaces
Et je t’entends respirer sur l’oreiller
Les volets se sont refermés lentement
Sur la Méditerranée souffle le vent
La pendule reprend sa place
Le soleil fait la grimace
Et les heures donnent aux heures le temps de tourner
Et même les oliviers
Semblent t’attendre aussi
Les jardins du quartier
Ont la mélancolie
Et je t’attends de l’aube
Au soleil couchant
Au moindre bruit je sursaute
Le cœur battant
Je deviens fou, je t’attends depuis longtemps
Et je t’attends
Et je t’attends, je m’épuise mais je t’attends
Tout autour l’espace est devenu trop grand
Comme un marin au milieu de l’océan
Je tourne en rond et je t’attends
Et je t’attends
La maison retrouvera ses parfums d’été
Si tu as envie, si tu as perdu la clef
Tu passeras par la cuisine
Y a des roses sans épine
Des guirlandes
De lavande
Et d’oranger
Je deviens fou, je t’attends depuis longtemps
Et je t’attends
Et je t’attends, je m’épuise mais je t’attends
Tout autour l’espace est devenu trop grand
Comme un marin au milieu de l’océan
Je tourne en rond et je t’attends
Et je t’attends
La maison retrouvera ses parfums d’été
Si tu as envie, si tu as perdu la clef
Tu passeras par la cuisine
Y a des roses sans épine
Des guirlandes
De lavande
Et d’oranger
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