Paroles de la chanson La damoiselle élue par Claude Debussy
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Paroles de la chanson La damoiselle élue par Claude Debussy
La damoiselle élue s'appuyait
Sur la barrière d'or du Ciel
Ses yeux étaient plus profonds que l'abîme
Des eaux calmes au soir
Elle avait trois lys à la main
Et sept étoiles dans les cheveux
Sa robe flottante
N'était point ornée de fleurs brodées
Mais d'une rose blanche, présent de Marie
Pour le divin service justement portée;
Ses cheveux qui tombaient le long de ses épaules
Étaient jaunes comme le blé mûr
Autour d'elle des amants
Nouvellement réunis
Sur la barrière d'or du Ciel
Ses yeux étaient plus profonds que l'abîme
Des eaux calmes au soir
Elle avait trois lys à la main
Et sept étoiles dans les cheveux
Sa robe flottante
N'était point ornée de fleurs brodées
Mais d'une rose blanche, présent de Marie
Pour le divin service justement portée;
Ses cheveux qui tombaient le long de ses épaules
Étaient jaunes comme le blé mûr
Autour d'elle des amants
Nouvellement réunis
Répétaient pour toujours, entre eux
Leurs nouveaux noms d'extase ;
Et les âmes, qui montaient à Dieu
Passaient près d'elle comme de fines flammes
Alors, elle s'inclina de nouveau et se pencha
En dehors du charme encerclant
Jusqu'à ce que son sein eut échauffé
La barrière sur laquelle elle s'appuyait
Et que les lys gisent comme endormis
Le long de son bras courbé
Le soleil avait disparu, la lune annelée
Était comme une petite plume
Flottant au loin dans l'espace ; et voilà
Qu'elle parla à travers l'air calme
Sa voix était pareille à celle des étoiles
Lorsqu'elles chantent en chœur
Leurs nouveaux noms d'extase ;
Et les âmes, qui montaient à Dieu
Passaient près d'elle comme de fines flammes
Alors, elle s'inclina de nouveau et se pencha
En dehors du charme encerclant
Jusqu'à ce que son sein eut échauffé
La barrière sur laquelle elle s'appuyait
Et que les lys gisent comme endormis
Le long de son bras courbé
Le soleil avait disparu, la lune annelée
Était comme une petite plume
Flottant au loin dans l'espace ; et voilà
Qu'elle parla à travers l'air calme
Sa voix était pareille à celle des étoiles
Lorsqu'elles chantent en chœur
Je voudrais qu'il fût déjà près de moi
Car il viendra
N'ai-je pas prié dans le ciel ? Sur terre
Seigneur, Seigneur, n'a-t-il pas prié
Deux prières ne sont-elles pas une force parfaite ?
Et pourquoi m'effraierais-je ?
Lorsqu'autour de sa tête s'attachera l'auréole
Et qu'il aura revêtu sa robe blanche
Je le prendrai par la main et j'irai avec lui
Aux sources de lumière
Nous y entrerons comme dans un courant
Et nous nous y baignerons à la face de Dieu
Nous nous reposerons tous deux à l'ombre
De ce vivant et mystique arbre
Dans le feuillage secret duquel on sent parfois
La présence de la colombe
Pendant que chaque feuille, touchée par ses plumes
Dit son nom distinctement
Tous deux nous chercherons les bosquets
Où trône Dame Marie
Avec ses cinq servantes, dont les noms
Sont cinq douces symphonies :
Cécile, Blanchelys, Madeleine
Marguerite et Roselys
Il craindra peut-être, et restera muet
Alors, je poserai ma joue
Contre la sienne ; et lui parlerai de notre amour
Sans confusion ni faiblesse
Et la chère Mère approuvera
Mon orgueil, et me laissera parler
La présence de la colombe
Pendant que chaque feuille, touchée par ses plumes
Dit son nom distinctement
Tous deux nous chercherons les bosquets
Où trône Dame Marie
Avec ses cinq servantes, dont les noms
Sont cinq douces symphonies :
Cécile, Blanchelys, Madeleine
Marguerite et Roselys
Il craindra peut-être, et restera muet
Alors, je poserai ma joue
Contre la sienne ; et lui parlerai de notre amour
Sans confusion ni faiblesse
Et la chère Mère approuvera
Mon orgueil, et me laissera parler
Elle-même nous amènera la main dans la main
À Celui autour duquel toutes les âmes
S'agenouillent, les innombrables têtes clair rangées
Inclinées, avec leurs auréoles
Et les anges venus à notre rencontre chanteront
S'accompagnant de leurs guitares et de leurs citoles
Alors, je demanderai au Christ Notre Seigneur
Cette grande faveur, pour lui et moi
Seulement de vivre comme autrefois sur terre
Dans l'amour, et d'être pour toujours
Comme alors pour un temps
Ensemble, moi et lui
Elle regarda, prêta l'oreille et dit
D'une voix moins triste que douce:
Tout ceci sera quand il viendra
Elle se tut
La lumière tressaillit de son côte, remplie
D'un fort vol d'anges horizontal
Ses yeux prièrent, elle sourit;
Mais bientôt leur sentier
Devint vague dans les sphères distantes
Alors, elle jeta ses bras le long
Des barrières d'or
Et posant son visage entre ses mains
Pleura
Ah!
D'une voix moins triste que douce:
Tout ceci sera quand il viendra
Elle se tut
La lumière tressaillit de son côte, remplie
D'un fort vol d'anges horizontal
Ses yeux prièrent, elle sourit;
Mais bientôt leur sentier
Devint vague dans les sphères distantes
Alors, elle jeta ses bras le long
Des barrières d'or
Et posant son visage entre ses mains
Pleura
Ah!
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