Paroles de la chanson Eternité par Coelho
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Paroles de la chanson Eternité par Coelho
Tu sais j’ai peur de m’voir dans l’regard des autres
J’ai passé mon temps à l’fuir y a pas d’but ici
J’vois les sourires et les larmes, s’disent impénétrables, mais j’entends crier
Moi j’me vois pas vivre sans briller
Tu sais j’y crois à jamais mais quand j’dis aux gens... que j’fais du son ils m’téma comme si j’avais poids aux jambes
J’m’en bats les couilles j’ai pas signer pour un S.M.I.C.,
Si on m’fait chier, si y'a conflit j’préfère laisser pisser
Chacun sa vie, si on s’sépare c’est qu’ça devait finir là
J’ai passé mon temps à l’fuir y a pas d’but ici
J’vois les sourires et les larmes, s’disent impénétrables, mais j’entends crier
Moi j’me vois pas vivre sans briller
Tu sais j’y crois à jamais mais quand j’dis aux gens... que j’fais du son ils m’téma comme si j’avais poids aux jambes
J’m’en bats les couilles j’ai pas signer pour un S.M.I.C.,
Si on m’fait chier, si y'a conflit j’préfère laisser pisser
Chacun sa vie, si on s’sépare c’est qu’ça devait finir là
Hein, t’sais y'a pas d’cinéma, d’succès en six étapes
Putain j’me compare trop à tout même à mon frère de sang
J’ai peur de plus avoir l’niveau, de perdre c’qui m’donne du sens
J’ai pas prié pour l’avenir comme si lui m’bénissait
Sauveur a plu aux pauvres car l’espoir nourrissait
T’es là mais sans raison, le passé dans les ombres
Plus d’amis sans réseaux, l’amour est sur les ondes
Oh ah veulent effacer tout c’qu’on a omis
Ah on pense au passé quand la mort sonne
Ah crois-moi y a qu’le temps qui s’éternise
Putain j’me compare trop à tout même à mon frère de sang
J’ai peur de plus avoir l’niveau, de perdre c’qui m’donne du sens
J’ai pas prié pour l’avenir comme si lui m’bénissait
Sauveur a plu aux pauvres car l’espoir nourrissait
T’es là mais sans raison, le passé dans les ombres
Plus d’amis sans réseaux, l’amour est sur les ondes
Oh ah veulent effacer tout c’qu’on a omis
Ah on pense au passé quand la mort sonne
Ah crois-moi y a qu’le temps qui s’éternise
Oh, t’sais moi t’en sais et moins tu t’ennuis
Ah, j’ouvre les stores le monde a dormi
Ah, réussir très peu font en sorte de
Faut s’retrouver seul et faire le grand vide
Ah, l’argent, le sexe on aime son odeur
Bien-sûr qu’j’ai eu des doutes, j’en ai encore j’ai passé minutes... à m’demander c’que j’dois à mes proches et à moi-même
J’fais pas tout ça pour la moyenne
Soit tu vis, soit tu oses
Dans tous les cas il fallait qu’j’m’élève
Fallait qu’j’trouve une accroche, et toi tu crois en quoi ?
Right, j’m’en fous de tout c’que les autres ont prévu pour moi
Tu sais, aucun d’leur plan m’a médusé, à quoi bon s'épuiser ?
Ah, j’ouvre les stores le monde a dormi
Ah, réussir très peu font en sorte de
Faut s’retrouver seul et faire le grand vide
Ah, l’argent, le sexe on aime son odeur
Bien-sûr qu’j’ai eu des doutes, j’en ai encore j’ai passé minutes... à m’demander c’que j’dois à mes proches et à moi-même
J’fais pas tout ça pour la moyenne
Soit tu vis, soit tu oses
Dans tous les cas il fallait qu’j’m’élève
Fallait qu’j’trouve une accroche, et toi tu crois en quoi ?
Right, j’m’en fous de tout c’que les autres ont prévu pour moi
Tu sais, aucun d’leur plan m’a médusé, à quoi bon s'épuiser ?
Tu crois en Dieu et j’crois en moi on verra où ça mène
J’suis dans ses yeux, elle dans mes bras on verra où ça mène
T’es la première à qui j’m’expose j’suis pas habitué
Le temps sépare j’revois tes formes sous le fin tissu mais...
Je sens encore l’odeur d’ton cou, l’odeur est parfumée
Triste comme au départ putain c’est toujours dur d’assumer
J’ai pas les mots, fin pas toujours, j’préfère me taire ah ouais, tu sais j’ai peur, donne plus d’argent, on préfère mettre des cœurs
J’me confie pas même à ma mère; j’lui parle jamais d’amour
Ok j’écris mais qu’est-ce que j’ferai quand j’me retrouverai à court ?
J’suis dans ses yeux, elle dans mes bras on verra où ça mène
T’es la première à qui j’m’expose j’suis pas habitué
Le temps sépare j’revois tes formes sous le fin tissu mais...
Je sens encore l’odeur d’ton cou, l’odeur est parfumée
Triste comme au départ putain c’est toujours dur d’assumer
J’ai pas les mots, fin pas toujours, j’préfère me taire ah ouais, tu sais j’ai peur, donne plus d’argent, on préfère mettre des cœurs
J’me confie pas même à ma mère; j’lui parle jamais d’amour
Ok j’écris mais qu’est-ce que j’ferai quand j’me retrouverai à court ?
Journées sont vides, ah ouais c’est ça la vie j’vois pas la raison, c’est quoi le cycle ?
C’est quoi la suite ? Putain c’est quoi la saison ?
On veut des thunes, on veut du temps, on met l’futur en mémo
On fera plus tard c’qu’on fait jamais, on repart jamais à zéro
J’veux pas d’la vie des autres, l’échec fait peur, réussite aussi, j’sors plus ces temps-ci
J’vois moins les gens que j’côtoyais depuis, on m’parle que d’amitié et d’l’importance qu’ça peut impliquer
Mais ça part vite, d’l’amour dans l’vide, tu peux facilement glisser
J’sais pas si c’est moi où l’monde qui tourne pas rond, sans défaut
C’est quoi la suite ? Putain c’est quoi la saison ?
On veut des thunes, on veut du temps, on met l’futur en mémo
On fera plus tard c’qu’on fait jamais, on repart jamais à zéro
J’veux pas d’la vie des autres, l’échec fait peur, réussite aussi, j’sors plus ces temps-ci
J’vois moins les gens que j’côtoyais depuis, on m’parle que d’amitié et d’l’importance qu’ça peut impliquer
Mais ça part vite, d’l’amour dans l’vide, tu peux facilement glisser
J’sais pas si c’est moi où l’monde qui tourne pas rond, sans défaut
On veut faire croire aux autres que tout va parfaitement mais déso
J’serai content quand j’aurai tout c’que j’veux
Et non pas quand j’aurai tout c’que j’souhaite, et pour ça bah j’donnerais tout c’que j’peux
Oh ah veulent effacer tout c’qu’on a omis
Ah on pense au passé quand la mort sonne
Ah crois-moi y a qu’le temps qui s’éternise
Oh, t’sais moi t’en sais et moins tu t’ennuis
Ah, j’ouvre les stores le monde a dormi
Ah, réussir très peu font en sorte de
Faut s’retrouver seul et faire le grand vide
Ah, l’argent, le sexe on aime son odeur
J’serai content quand j’aurai tout c’que j’veux
Et non pas quand j’aurai tout c’que j’souhaite, et pour ça bah j’donnerais tout c’que j’peux
Oh ah veulent effacer tout c’qu’on a omis
Ah on pense au passé quand la mort sonne
Ah crois-moi y a qu’le temps qui s’éternise
Oh, t’sais moi t’en sais et moins tu t’ennuis
Ah, j’ouvre les stores le monde a dormi
Ah, réussir très peu font en sorte de
Faut s’retrouver seul et faire le grand vide
Ah, l’argent, le sexe on aime son odeur
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