Paroles de la chanson Il Etait par Colette Renard
Auteurs: Emer
Compositeurs: Emer
Editeurs: Beuscher Arpege
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Paroles de la chanson Il Etait par Colette Renard
IL ETAIT…
Il était, il était beau comme un ange
Je l’ai mais, il m’aimait, c’était si bon
Quand il me regardait, c’était étrange
Dans tout mon corps passait un long frisson
Il disait, il disait des mots sans suite
Moi je lui répondais en l’embrassant
Et lorsqu’il effeuillait la marguerite
Il ne disait qu’un mot « passionnément »
Il était, il était violent et tendre
Il avait, il avait bien d’autres choses encore
Et il nous suffisait pour nous comprendre
De nous prendre les mains en les serrant très fort
Il était, il était beau comme un ange
Je l’ai mais, il m’aimait, c’était si bon
Quand il me regardait, c’était étrange
Dans tout mon corps passait un long frisson
Il disait, il disait des mots sans suite
Moi je lui répondais en l’embrassant
Et lorsqu’il effeuillait la marguerite
Il ne disait qu’un mot « passionnément »
Il était, il était violent et tendre
Il avait, il avait bien d’autres choses encore
Et il nous suffisait pour nous comprendre
De nous prendre les mains en les serrant très fort
Je n’oublierais jamais son beau sourire
Quand il se réveillait d’un lourd sommeil
Ses beaux yeux qui riaient, mon Dieu ce rire
Ses cheveux broussailleux pleins de soleil
Il chantait aussi faux qu’au banquet d’une noce
Mais rien ne l’arrêtait et sa voix éclatait comme un grand feu de joie
Du matin jusqu’au soir nous rions comme des grosses
Mais du soir au matin nous ne disions plus rien, nous étions bien, si bien
Il avait, il avait des mains si belles
Quand elles me caressaient j’étais perdue
Je l’aimais, il m’aimait, je me rappelle
Ces instants merveilleux que nous avons vécu
Je l’aimais, il m’aimait, il était, il était
Quand il se réveillait d’un lourd sommeil
Ses beaux yeux qui riaient, mon Dieu ce rire
Ses cheveux broussailleux pleins de soleil
Il chantait aussi faux qu’au banquet d’une noce
Mais rien ne l’arrêtait et sa voix éclatait comme un grand feu de joie
Du matin jusqu’au soir nous rions comme des grosses
Mais du soir au matin nous ne disions plus rien, nous étions bien, si bien
Il avait, il avait des mains si belles
Quand elles me caressaient j’étais perdue
Je l’aimais, il m’aimait, je me rappelle
Ces instants merveilleux que nous avons vécu
Je l’aimais, il m’aimait, il était, il était
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