Paroles de la chanson La Costa Brava par Les Compagnons De La Chanson
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Paroles de la chanson La Costa Brava par Les Compagnons De La Chanson
Pardon à Cervantès
Et pardon à Lorca
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui m'étais promis
Lorsque j'étais parti
Pour ces lieux idylliques
De mettre avec ferveur
Et ma vie et mon cœur
Rien qu'à l'heure ibérique
Je me suis retrouvé
Aussitôt arrivé
Racontant des fadaises
Au pâle décolleté
Et pardon à Lorca
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui m'étais promis
Lorsque j'étais parti
Pour ces lieux idylliques
De mettre avec ferveur
Et ma vie et mon cœur
Rien qu'à l'heure ibérique
Je me suis retrouvé
Aussitôt arrivé
Racontant des fadaises
Au pâle décolleté
D'une jeune beauté
Typiquement anglaise
Pardon à Dolorès
Pardon à Paquita
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui rêvais déjà
De voir les corridas
Pour sentir dans mes veines
Battre sous le ciel chaud
Le cœur des toreros
Et celui des arènes
J'ai passé tout un mois
Avec le beau sang-froid
D'un élève à Cambridge
Typiquement anglaise
Pardon à Dolorès
Pardon à Paquita
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui rêvais déjà
De voir les corridas
Pour sentir dans mes veines
Battre sous le ciel chaud
Le cœur des toreros
Et celui des arènes
J'ai passé tout un mois
Avec le beau sang-froid
D'un élève à Cambridge
À me laisser bercer
Dans un salon glacé
Par l'ivresse du bridge
Pardon à Cordobès
Pardon aux corridas
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui avais l'espoir
De venir tous les soirs
Jouer des sérénades
Sous un balcon fleuri
Où deux yeux attendris
Me cribleraient d’œillades
Je me suis retrouvé
En train de faire valser
Dans un salon glacé
Par l'ivresse du bridge
Pardon à Cordobès
Pardon aux corridas
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui avais l'espoir
De venir tous les soirs
Jouer des sérénades
Sous un balcon fleuri
Où deux yeux attendris
Me cribleraient d’œillades
Je me suis retrouvé
En train de faire valser
Ma conquête pudique
Qui jusqu'au dernier soir
A gardé sans espoir
Sa froideur britannique
Attendez, Dolorès
Attendez, Paquita
Bientôt je reviendrai
Sans pudding et sans thé
Sur la Costa Brava
---------------------------------------------------------
Une variante :
------------------
Pardon à Cervantès
Qui jusqu'au dernier soir
A gardé sans espoir
Sa froideur britannique
Attendez, Dolorès
Attendez, Paquita
Bientôt je reviendrai
Sans pudding et sans thé
Sur la Costa Brava
---------------------------------------------------------
Une variante :
------------------
Pardon à Cervantès
Et pardon à Lorca
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui m'étais promis
Lorsque j'étais parti
Pour ces lieux idylliques
De mettre avec ferveur
Et ma vie et mon cœur
Rien qu'à l'heure ibérique
Je me suis retrouvé
Aussitôt arrivé
Racontant des fadaises
Au pâle décolleté
D'une jeune beauté
Typiquement anglaise
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui m'étais promis
Lorsque j'étais parti
Pour ces lieux idylliques
De mettre avec ferveur
Et ma vie et mon cœur
Rien qu'à l'heure ibérique
Je me suis retrouvé
Aussitôt arrivé
Racontant des fadaises
Au pâle décolleté
D'une jeune beauté
Typiquement anglaise
Pardon à Dolorès
Pardon à Paquita
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui avais l'espoir
De venir tous les soirs
Jouer des sérénades
Sous un balcon fleuri
Où deux yeux attendris
Me cribleraient d’œillades
Je me suis retrouvé
Afin de captiver
Ma britannique muse
En train de lui passer
Sur un phono cassé
Des airs de cornemuse
Pardon à Paquita
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui avais l'espoir
De venir tous les soirs
Jouer des sérénades
Sous un balcon fleuri
Où deux yeux attendris
Me cribleraient d’œillades
Je me suis retrouvé
Afin de captiver
Ma britannique muse
En train de lui passer
Sur un phono cassé
Des airs de cornemuse
Pardon à Granados
Pardon à de Falla
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui rêvais déjà
De voir les corridas
Pour sentir dans mes veines
Battre sous le ciel chaud
Le cœur des toreros
Et celui des arènes
J'ai passé tout un mois
Avec le beau sang-froid
D'un élève à Cambridge
À me laisser bercer
Dans un salon glacé
Par l'ivresse du bridge
Pardon à Cordobès
Pardon aux corridas
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui n'avais qu'un but
Danser à corps perdu
Au son des séguedilles
Eh bien, espérant voir soudain
Par-dessus les moulins
S'envoler les mantilles
Je me suis retrouvé
En train d' faire valser
Ma conquête pudique
Qui jusqu'au dernier soir
Pardon à Cordobès
Pardon aux corridas
Mais j'ai pris cet été
Du pudding et du thé
Sur la Costa Brava
Moi qui n'avais qu'un but
Danser à corps perdu
Au son des séguedilles
Eh bien, espérant voir soudain
Par-dessus les moulins
S'envoler les mantilles
Je me suis retrouvé
En train d' faire valser
Ma conquête pudique
Qui jusqu'au dernier soir
A gardé sans espoir
Sa froideur britannique
Attendez, Dolorès
Attendez, Paquita
Bientôt je reviendrai
Sans pudding et sans thé
Sur la Costa Brava
Sa froideur britannique
Attendez, Dolorès
Attendez, Paquita
Bientôt je reviendrai
Sans pudding et sans thé
Sur la Costa Brava
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