Paroles de la chanson JVV par C.O.R
Paroles de la chanson JVV par C.O.R
Salute Latimer
Pas de manque d’inspiration parce que l’histoire s'écrit tous les jours, pleine d’incarcerations le trois quart a déjà fait un petit séjour
En bas de la tour le four transforme farine en pain, génération bas Lacoste trou de boulette et paire de requin
Ah mon gros je suis dans la zone trois fois plus qu’à la son-mai,
Je rentre tard quand je suis fonsdé parce que chez moi all eyes on me
Moi j’ai la haine de la rue des amis deviennent des ennemis , ils veulent que tu dises oui à tout et quand il y'a besoin d’aide y’a zebi
Pas de manque d’inspiration parce que l’histoire s'écrit tous les jours, pleine d’incarcerations le trois quart a déjà fait un petit séjour
En bas de la tour le four transforme farine en pain, génération bas Lacoste trou de boulette et paire de requin
Ah mon gros je suis dans la zone trois fois plus qu’à la son-mai,
Je rentre tard quand je suis fonsdé parce que chez moi all eyes on me
Moi j’ai la haine de la rue des amis deviennent des ennemis , ils veulent que tu dises oui à tout et quand il y'a besoin d’aide y’a zebi
C’est la triste réalité la reconnaissance n’a pas de sens, tu vois quand t’as des histoires autour de toi beaucoup d’absent
Mais tu vas la sentir tout doucement passer comme de l'absinthe, fermes les yeux de ta petite soeur, y’aura que des scènes obscènes
Deux chargeurs pleins je suis prêt à monter chez toi, à genou devant tes parents tu parleras chinois
Deux chargeurs pleins, à genou devant tes parents tu parleras chinois
Il nous fallait des billets jaunes, verts, violets on est prêt pour la geôle et un train de vie violent
Et c’est les rues de la ville mon sauce qu’on sillonnait, combien de leurs promesses n’étaient que du violon
Mais tu vas la sentir tout doucement passer comme de l'absinthe, fermes les yeux de ta petite soeur, y’aura que des scènes obscènes
Deux chargeurs pleins je suis prêt à monter chez toi, à genou devant tes parents tu parleras chinois
Deux chargeurs pleins, à genou devant tes parents tu parleras chinois
Il nous fallait des billets jaunes, verts, violets on est prêt pour la geôle et un train de vie violent
Et c’est les rues de la ville mon sauce qu’on sillonnait, combien de leurs promesses n’étaient que du violon
Il nous fallait des billets jaunes, verts, violets on est prêt pour la geôle et un train de vie violent
Et c’est les rues de la ville mon sauce qu’on sillonnait, combien de leurs promesses n’étaient que du violon
Les cicatrices qui font le plus mal sahbi sont celles de l’intérieur, ??? je retiens mes larmes tout en rêvant d’un monde meilleur
La haine atteint son paroxysme quand le détenu tabasse l’ ???, un oxymores entre la parole et les actes deviennent nocifs
Je fais mon possible pour être meilleur quoi qu’il arrive je suis docile un petit problème avec l’autorité, je respecte pas les consignes
Je ne respecte pas l’insigne nique la police comme Saïd Taghmaoui
Et c’est les rues de la ville mon sauce qu’on sillonnait, combien de leurs promesses n’étaient que du violon
Les cicatrices qui font le plus mal sahbi sont celles de l’intérieur, ??? je retiens mes larmes tout en rêvant d’un monde meilleur
La haine atteint son paroxysme quand le détenu tabasse l’ ???, un oxymores entre la parole et les actes deviennent nocifs
Je fais mon possible pour être meilleur quoi qu’il arrive je suis docile un petit problème avec l’autorité, je respecte pas les consignes
Je ne respecte pas l’insigne nique la police comme Saïd Taghmaoui
Peut importe la raison au comico, il faut porter ses glaoui et fermer son clapet, c’est la loi et tous les voyous la connaissent dans la rue quant à moi j’ai porté mes cojones
Et j’ai tenu mes promesses quand je m'avançais ou me portais garant et quand je mettais des baffes le bicraveur ramenait son daron
Deux chargeurs pleins je suis prêt à monter chez toi, à genou devant tes parents tu parleras chinois
Deux chargeurs pleins, à genou devant tes parents tu parleras chinois
Il nous fallait des billets jaunes, verts, violets on est prêt pour la geôle et un train de vie violent
Et c’est les rues de la ville mon sauce qu’on sillonnait, combien de leurs promesses n’étaient que du violon
Et j’ai tenu mes promesses quand je m'avançais ou me portais garant et quand je mettais des baffes le bicraveur ramenait son daron
Deux chargeurs pleins je suis prêt à monter chez toi, à genou devant tes parents tu parleras chinois
Deux chargeurs pleins, à genou devant tes parents tu parleras chinois
Il nous fallait des billets jaunes, verts, violets on est prêt pour la geôle et un train de vie violent
Et c’est les rues de la ville mon sauce qu’on sillonnait, combien de leurs promesses n’étaient que du violon
Il nous fallait des billets jaunes, verts, violets on est prêt pour la geôle et un train de vie violent
Et c’est les rues de la ville mon sauce qu’on sillonnait, combien de leurs promesses n’étaient que du violon ( violon violon violon )
Et c’est les rues de la ville mon sauce qu’on sillonnait, combien de leurs promesses n’étaient que du violon ( violon violon violon )
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