Paroles de la chanson Hagard et à port par CR Exa
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Paroles de la chanson Hagard et à port par CR Exa
J'en ai vu au port qui dégueulent
Je vais ouvrir des portes, fermer des gueules
J'aimerais bien bâtir, un monde un Empire
Auquel j'attire, sans peur de l'avenir
Je me casse des cases comme Casimodo
Je me lasse des phrases genre "vas-y molo"
Donc je vais partir pour mieux rev'nir
A mon retour, il y aura peut-être personne
Je pense faire ça sans aucune retenu
Sans revenu puisque la vie m'assomme
J'gouverne comme Velega, je me tire comme Berreta
Très fort et un train de retard comme Vegeta
Il y a un résidant dans mes idées
Désirant de ne plus hésiter
Il voit la vie comme vendeuse Nocibé
Rit sans décibel et souffle sans réciter
Je vais ouvrir des portes, fermer des gueules
J'aimerais bien bâtir, un monde un Empire
Auquel j'attire, sans peur de l'avenir
Je me casse des cases comme Casimodo
Je me lasse des phrases genre "vas-y molo"
Donc je vais partir pour mieux rev'nir
A mon retour, il y aura peut-être personne
Je pense faire ça sans aucune retenu
Sans revenu puisque la vie m'assomme
J'gouverne comme Velega, je me tire comme Berreta
Très fort et un train de retard comme Vegeta
Il y a un résidant dans mes idées
Désirant de ne plus hésiter
Il voit la vie comme vendeuse Nocibé
Rit sans décibel et souffle sans réciter
Je manie tellement mal le mâle en moi
Bien souvent étouffé, je reprends les choses en main
Et ma moisson c'est un son par mois
Construit un après sans penser à demain
Dormir dans motel comme le font les motards
Pêcher des motelles, dans ma tête des motets
Dire ici, c'est ma maison comme Motta
Je continue de monter même si c'est démodé
Ambiance calienté comme sous arbre Karité
Je me trouve à Rome ou dans un Cuba libre
A deux doigts d'être ivre, à moi je suis livré
Mais je sais faire, ouais je sais calibré
Loin de mes gars, même ceux qui fument mégots
Loin de mes gows, mêmes celles qui m'égarent
La mer est calme mon intérieur s'agite
Ce n'est qu'un état pas loin d'hémorragie
Je suis comme un bateau
Bien souvent étouffé, je reprends les choses en main
Et ma moisson c'est un son par mois
Construit un après sans penser à demain
Dormir dans motel comme le font les motards
Pêcher des motelles, dans ma tête des motets
Dire ici, c'est ma maison comme Motta
Je continue de monter même si c'est démodé
Ambiance calienté comme sous arbre Karité
Je me trouve à Rome ou dans un Cuba libre
A deux doigts d'être ivre, à moi je suis livré
Mais je sais faire, ouais je sais calibré
Loin de mes gars, même ceux qui fument mégots
Loin de mes gows, mêmes celles qui m'égarent
La mer est calme mon intérieur s'agite
Ce n'est qu'un état pas loin d'hémorragie
Je suis comme un bateau
Qui a peur de l'eau
Je suis mon propre matelot
Franchir le Cap de la Nau
Na nana
Nana Nana
Na nana
Nana Nana
Je suis comme un bateau
Qui a peur de l'eau
Je suis mon propre matelot
Franchir le Cap de la Nau
Na nana
Nana Nana
Na nana
Nana Nana
J'ai cassé le contrat mais qu'est-ce que t'en dis
J'ai bossé, j'ai bossé du mardi au lundi
Je suis mon propre matelot
Franchir le Cap de la Nau
Na nana
Nana Nana
Na nana
Nana Nana
Je suis comme un bateau
Qui a peur de l'eau
Je suis mon propre matelot
Franchir le Cap de la Nau
Na nana
Nana Nana
Na nana
Nana Nana
J'ai cassé le contrat mais qu'est-ce que t'en dis
J'ai bossé, j'ai bossé du mardi au lundi
J'ai grandi, j'ai grandi mon avenir qui ronronne
Le dessin de ma vie forme un trombone
Pourquoi je reçois ? C'est que je donne
Parfois je déçois, parfois j'étonne
Mais ce n'est que ce que vous percevez
Je sais pas pourquoi mais je persévère
Des trams des trots-mé, des grammes des gros
Faire couler les enceintes comme dégâts des eaux
Elle a relié morose en décodant mon rôle
Genre "On se sait par cœur" - Calogero
Rejoindre la haine en étant enivré
Ne pas m'éterniser, j'ai déjà tout miser
Mais j'en reparlerai au risque de m'enliser
Car depuis longtemps je pense être immuniser
Il a fallu que j'attende un quart de siècle
Pour presque atteindre ce que je rêvais d'être
Quand je suis seul, je suis un lion de l'Atlas
Le dessin de ma vie forme un trombone
Pourquoi je reçois ? C'est que je donne
Parfois je déçois, parfois j'étonne
Mais ce n'est que ce que vous percevez
Je sais pas pourquoi mais je persévère
Des trams des trots-mé, des grammes des gros
Faire couler les enceintes comme dégâts des eaux
Elle a relié morose en décodant mon rôle
Genre "On se sait par cœur" - Calogero
Rejoindre la haine en étant enivré
Ne pas m'éterniser, j'ai déjà tout miser
Mais j'en reparlerai au risque de m'enliser
Car depuis longtemps je pense être immuniser
Il a fallu que j'attende un quart de siècle
Pour presque atteindre ce que je rêvais d'être
Quand je suis seul, je suis un lion de l'Atlas
Entouré de gens, je cherche ma place
Je souhaite être admirable même si c'est misérable
Ouais je suis narcissique mais bien trop vulnérable
Et souvent à nu, je suis un mec honnête
C'est pour ça que je n'aime jamais promettre
Trop de goutte d'eau qui me font boire la tasse
Lorsque je cherche à briser la glace
On te dis où aller dès ton premier pas
On te force à être ce que tu n'es pas
Tomber dedans quand t'es petit, comme Obélix
Puis tu grandis, et là c'est le déluge
Tu comprends que tout ça n'était qu'un délire
Première étape du leader : désobéir
Je souhaite être admirable même si c'est misérable
Ouais je suis narcissique mais bien trop vulnérable
Et souvent à nu, je suis un mec honnête
C'est pour ça que je n'aime jamais promettre
Trop de goutte d'eau qui me font boire la tasse
Lorsque je cherche à briser la glace
On te dis où aller dès ton premier pas
On te force à être ce que tu n'es pas
Tomber dedans quand t'es petit, comme Obélix
Puis tu grandis, et là c'est le déluge
Tu comprends que tout ça n'était qu'un délire
Première étape du leader : désobéir
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