Paroles de la chanson Du rouge et des passions par Cyril Mokaiesh
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Paroles de la chanson Du rouge et des passions par Cyril Mokaiesh
Regarde au loin là-bas, L’envolée de la mer
Elle te fait la musique, et joue ses plus grands airs
Elle te parle un langage, venu d’un autre temps,
Que tu peux t’inventer, si tu t’y plais dedans,
Mais y ce que tu veux, du rouge et des passions,
Du mauve et des chagrins, du sentiment corail, des souvenirs d’enfant,
Des comètes maudites, des amours perdus,
La mer nettoie les âmes, écoutes-la, écoutes-la, Ecoutes-la bon sang…
Rien ne m’attache, tout me retient
Elle te fait la musique, et joue ses plus grands airs
Elle te parle un langage, venu d’un autre temps,
Que tu peux t’inventer, si tu t’y plais dedans,
Mais y ce que tu veux, du rouge et des passions,
Du mauve et des chagrins, du sentiment corail, des souvenirs d’enfant,
Des comètes maudites, des amours perdus,
La mer nettoie les âmes, écoutes-la, écoutes-la, Ecoutes-la bon sang…
Rien ne m’attache, tout me retient
Regarde au loin là-bas, des soleils qui se frôlent
Qui brûlent et puis s’éloignent, nous partirons comme eux, brûlés jusqu’à nos cris
Des étoiles plein la tronche, et la mer dans la voix,
Son langage inventé, tu connais ?
J’t’apprendrai les hommes, ce qu’il faut voir en eux, pour mieux s’aimer soi-même,
Pour se sentir vivant, Tout au moins debout
Tu prendras ton envol aussi loin que tu peux
Et t’j’aimerai d’en bas, mon astre suit tes pas
Ma gueule en cerf-volant, ton cœur à ciel ouvert
Ça y est je suis ta main, qu’il est long le chemin
Qui brûlent et puis s’éloignent, nous partirons comme eux, brûlés jusqu’à nos cris
Des étoiles plein la tronche, et la mer dans la voix,
Son langage inventé, tu connais ?
J’t’apprendrai les hommes, ce qu’il faut voir en eux, pour mieux s’aimer soi-même,
Pour se sentir vivant, Tout au moins debout
Tu prendras ton envol aussi loin que tu peux
Et t’j’aimerai d’en bas, mon astre suit tes pas
Ma gueule en cerf-volant, ton cœur à ciel ouvert
Ça y est je suis ta main, qu’il est long le chemin
Qu’il est long le chemin, pour ne plus toucher terre
Rien ne m’attache, tout me retient
Rien n’a de sens, un jour commence
L’autre s’éteint
Rien ne m’attache, tout me retient
Rien n’a de sens, un jour commence
L’autre s’éteint
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