Paroles de la chanson Le Retour Du Rose par Da Silva
Auteurs: Emmanuel Da Silva
Compositeurs: Emmanuel Da Silva
Editeurs: Lili Louise Musique
Chanson manquante pour "Da Silva" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Le Retour Du Rose"
Proposer une correction des paroles de "Le Retour Du Rose"
Paroles de la chanson Le Retour Du Rose par Da Silva
Tu dis que la coupe est pleine
Que les coups pleuvent droit devant
Plus rien, non, plus rien ne t'apaise
Ni le tonnerre, pas même le vent
Mais je connais bien tes peines
C'est l'air du temps : va, droit devant.
De la fumée plein les écrans
Au service des illusions
A cache-cache l'on joue, l'on mise gros
Sur le retour du rose et pourtant
Ce sont des bleus que l'on se traîne
Et c'est un bleu qui s'étend
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Que les coups pleuvent droit devant
Plus rien, non, plus rien ne t'apaise
Ni le tonnerre, pas même le vent
Mais je connais bien tes peines
C'est l'air du temps : va, droit devant.
De la fumée plein les écrans
Au service des illusions
A cache-cache l'on joue, l'on mise gros
Sur le retour du rose et pourtant
Ce sont des bleus que l'on se traîne
Et c'est un bleu qui s'étend
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu'il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Tu dis que rien n'est égal
Qu'à la course au bonheur, tu te perd
Liberté, misère, capital
Fraternité des coups de pieds
Sache qu'au pays de l'or
On ne rend jamais la monnaie
Quelques pépites dans les yeux
Le jour de nos adieux
Peu de lumière serre mes mains
C'est aujourd'hui, va, c'est certain
Où vont se perdre nos élans
Puisqu'il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Tu dis que rien n'est égal
Qu'à la course au bonheur, tu te perd
Liberté, misère, capital
Fraternité des coups de pieds
Sache qu'au pays de l'or
On ne rend jamais la monnaie
Quelques pépites dans les yeux
Le jour de nos adieux
Peu de lumière serre mes mains
C'est aujourd'hui, va, c'est certain
Ne prends que les grands trains
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vend
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu'il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Et je connais bien tes peines
C'est l'air du temps : va, droit devant
Puisqu'il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vend
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu'il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Et je connais bien tes peines
C'est l'air du temps : va, droit devant
Puisqu'il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)