Paroles de la chanson Matins de pluie par Damien Saez
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Paroles de la chanson Matins de pluie par Damien Saez
On se retrouve un jour
Sur un bord de fenêtre
A regarder autour
L’horizon des peut-être
Dis-moi, tu reviendras ?
Par un matin frapper
A la porte du temps
De nos amours passées
Dans le cou tendrement
Toi tu m’embrasseras
L’amour est parti
M’a laissé ici
Sur un quai de souffrance
Mon amour est parti
Par un matin de pluie
Moi depuis je suis là, guetter la fenêtre
Sur un bord de fenêtre
A regarder autour
L’horizon des peut-être
Dis-moi, tu reviendras ?
Par un matin frapper
A la porte du temps
De nos amours passées
Dans le cou tendrement
Toi tu m’embrasseras
L’amour est parti
M’a laissé ici
Sur un quai de souffrance
Mon amour est parti
Par un matin de pluie
Moi depuis je suis là, guetter la fenêtre
A me dire oui qu’un jour, il reviendra peut-être
Mon amour, mon infini
Et si l’infini vire, oui, toujours au néant
Ici rien de pire de voir l’autre absent
Que de voir l’autre qui est parti
Il reviendra un jour
Je le sais mon amour
Il reviendra un jour
Car revienne toujours
Oui, les matins de pluie
On repense à la vie
A ce qu’on laisse ici
On repense aux amours
A celui qu’est parti
On repense aux matins de pluie
A ce qu’on n’a pas vu
Des sanglots de l’hiver
Mon amour, mon infini
Et si l’infini vire, oui, toujours au néant
Ici rien de pire de voir l’autre absent
Que de voir l’autre qui est parti
Il reviendra un jour
Je le sais mon amour
Il reviendra un jour
Car revienne toujours
Oui, les matins de pluie
On repense à la vie
A ce qu’on laisse ici
On repense aux amours
A celui qu’est parti
On repense aux matins de pluie
A ce qu’on n’a pas vu
Des sanglots de l’hiver
Aux amitiés perdues
Et pis aux êtres chers
Aux jours mélancolie
On regarde les quais
On se souvient des jours
Tu disais tu m’aimais
Comme on chante l’amour
Quand tu faisais sourire
Qu’on s’était fait au coin
D’une rue en passant
Ces choses de l’humain
Qui font l’amour si grand
Si grand qu’on en fait des empires
On regarde le trottoir
Les enfants dans le loin
Du matin jusqu’au soir
Ouais qui sautent à pieds joints
Et pis aux êtres chers
Aux jours mélancolie
On regarde les quais
On se souvient des jours
Tu disais tu m’aimais
Comme on chante l’amour
Quand tu faisais sourire
Qu’on s’était fait au coin
D’une rue en passant
Ces choses de l’humain
Qui font l’amour si grand
Si grand qu’on en fait des empires
On regarde le trottoir
Les enfants dans le loin
Du matin jusqu’au soir
Ouais qui sautent à pieds joints
Dans les matins de pluie
Et les amoureux fous
Sur les bancs des promesses
Et les amoureux fous
Ont le regard tristesse
Ont le regard des pluies
On se promène un jour
Sur le bord de l’église
On comprend tout à coup
Que la vie est promise
A des matins de pluie
Quand soudain le soleil
Et la pluie se marient
Quand soudain l’arc-en-ciel
Aux amoureux sourit
Comme un sanglot qui brille
Qu’il ne faut pas pleurer
Que la vie est ainsi
Et les amoureux fous
Sur les bancs des promesses
Et les amoureux fous
Ont le regard tristesse
Ont le regard des pluies
On se promène un jour
Sur le bord de l’église
On comprend tout à coup
Que la vie est promise
A des matins de pluie
Quand soudain le soleil
Et la pluie se marient
Quand soudain l’arc-en-ciel
Aux amoureux sourit
Comme un sanglot qui brille
Qu’il ne faut pas pleurer
Que la vie est ainsi
Qu’il faut laisser couler
Les jours mélancolie
Les jours matins de pluie
Que viendra le beau temps
Que viendra l’éclaircie
Que revient le printemps
Comme un mot qu’on se dit
Sans un mot, sans un bruit
On en fait des voyages
On en fait des naufrages
On se dit des mots doux
On se fait des ombrages
Pour protéger de la pluie
Dans les torrents perdus
Vont les jours et les nuits
Perdus dans l’estuaire
Dans l’océan des vies
Vont nos ruisseaux de pluie
Les jours mélancolie
Les jours matins de pluie
Que viendra le beau temps
Que viendra l’éclaircie
Que revient le printemps
Comme un mot qu’on se dit
Sans un mot, sans un bruit
On en fait des voyages
On en fait des naufrages
On se dit des mots doux
On se fait des ombrages
Pour protéger de la pluie
Dans les torrents perdus
Vont les jours et les nuits
Perdus dans l’estuaire
Dans l’océan des vies
Vont nos ruisseaux de pluie
Dans les larmes du temps
Du temps qui nous ronge
Le destin des amants
Tu vois quand on y songe
C’est comme un matin de pluie
Comme un matin qui vient
Vous sortir de vos songes
Comme une pluie soudain
Qui vient passer l’éponge
Sur nos cœurs
Sur nos cœurs trop salis
Qui vient sauver nos chairs
Solitude au cimetière
En goutte infinie
Qui vient laver la terre
La beauté des matins de pluie
Qui vient laver les yeux
De nos cœurs amoureux
Du temps qui nous ronge
Le destin des amants
Tu vois quand on y songe
C’est comme un matin de pluie
Comme un matin qui vient
Vous sortir de vos songes
Comme une pluie soudain
Qui vient passer l’éponge
Sur nos cœurs
Sur nos cœurs trop salis
Qui vient sauver nos chairs
Solitude au cimetière
En goutte infinie
Qui vient laver la terre
La beauté des matins de pluie
Qui vient laver les yeux
De nos cœurs amoureux
Vont les larmes des dieux
Pour éponger un peu
Les jours où toi t’es partie
On s’ébat sous la pluie
Comme un papillon fou
On repense au maudit
On se met à genoux
Pour quelques, pour quelques mots d’amour
Pour une fleur tendue
Qu’on vous donne à genou
Qui fait monter les crues
Des perles sur les joues
Qui fait perler les pluies
On s’embrasse les cœurs
On s’enlace, on se pleure
Pour qu’un jour
L’amour fusse
Pour éponger un peu
Les jours où toi t’es partie
On s’ébat sous la pluie
Comme un papillon fou
On repense au maudit
On se met à genoux
Pour quelques, pour quelques mots d’amour
Pour une fleur tendue
Qu’on vous donne à genou
Qui fait monter les crues
Des perles sur les joues
Qui fait perler les pluies
On s’embrasse les cœurs
On s’enlace, on se pleure
Pour qu’un jour
L’amour fusse
Oui pour que l’amour meurt
Par un matin de pluie
Qu’on soit amoureux fous
Qu’on soit solitaire
Sans un mot, sans un bruit
Dans le fond du cimetière
Sûr qu’un jour on se désunit
Qui coule à la fenêtre
Je regarde la pluie
Au fragile de l’être
Moi soudain je me dis
Combien de temps de pluie ?
Depuis qu’on s’est aimé
Depuis qu’il est parti
Dans le ciel éploré
Toi qui m’avais souri
Moi j’ai le regard transi
Comme un sanglot qui coule
Par un matin de pluie
Qu’on soit amoureux fous
Qu’on soit solitaire
Sans un mot, sans un bruit
Dans le fond du cimetière
Sûr qu’un jour on se désunit
Qui coule à la fenêtre
Je regarde la pluie
Au fragile de l’être
Moi soudain je me dis
Combien de temps de pluie ?
Depuis qu’on s’est aimé
Depuis qu’il est parti
Dans le ciel éploré
Toi qui m’avais souri
Moi j’ai le regard transi
Comme un sanglot qui coule
Comme un sanglot qui fuit
Quand soudain vient la houle
Dans nos yeux qui s’enfuient
Comme un matin de pluie
Quand du ciel à la terre
Vont les gouttes de pluie
Pleurant dans les cimetières
Vont les cours de nos vies
Vont les mélancolies
Et les enfants qui jouent
Et les enfants qui crient
Comme un alléluia
Vous rappelle à la vie
Comme un matin de pluie
Sautent à pieds joints dans l’eau
Sautent dans l’infini
L’infini des sanglots
De ce ciel qui vous dit
Oui sa mélancolie
Quand soudain vient la houle
Dans nos yeux qui s’enfuient
Comme un matin de pluie
Quand du ciel à la terre
Vont les gouttes de pluie
Pleurant dans les cimetières
Vont les cours de nos vies
Vont les mélancolies
Et les enfants qui jouent
Et les enfants qui crient
Comme un alléluia
Vous rappelle à la vie
Comme un matin de pluie
Sautent à pieds joints dans l’eau
Sautent dans l’infini
L’infini des sanglots
De ce ciel qui vous dit
Oui sa mélancolie
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