Paroles de la chanson Mon pays je t'écris par Damien Saez
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Paroles de la chanson Mon pays je t'écris par Damien Saez
Mon Pays je t'écris sous le ciel de Novembre,
Comme un sanglot prierait l'éternel de lui rendre
Les fleurs de ma patrie piétinées sur l'autel,
Des Enfants paradis repartis pour le ciel.
Mon Pays si la guerre nous fait porter le deuil,
Ici en cet automne nous comptons les cercueils,
Si nous pleurons nos frères, que nos larmes nourrissent
De nos sanglots la Terre que l'amour y fleurissent.
Au printemps mon pays sur le champ des douleurs
mais quel que soit l'hiver pousseront les fleurs.
oui le chant des oiseaux vaincra toujours les balles,
Restera mon drapeau, celui d'un idéal.
Comme un sanglot prierait l'éternel de lui rendre
Les fleurs de ma patrie piétinées sur l'autel,
Des Enfants paradis repartis pour le ciel.
Mon Pays si la guerre nous fait porter le deuil,
Ici en cet automne nous comptons les cercueils,
Si nous pleurons nos frères, que nos larmes nourrissent
De nos sanglots la Terre que l'amour y fleurissent.
Au printemps mon pays sur le champ des douleurs
mais quel que soit l'hiver pousseront les fleurs.
oui le chant des oiseaux vaincra toujours les balles,
Restera mon drapeau, celui d'un idéal.
Si toujours la tendresse souffre sous la violence,
Au son des tristes messes qu'est devenue ma France,
S'il n'y a pas de mot alors dis-moi que dire
que celui qui vous pointe faut lui tendre un sourire.
Mon pays si je pleure, c'est pour nourrir la terre, c'est pour nourrir les fleurs
en l'honneur de mes frères,
Mon pays devant moi, ces gens-là qu'on enterre, ces gens morts au combat.
D'avoir juste, été frères.
Mon pays je t'écris comme une lettre morte, pour te dire le chagrin oui qui frappe à la porte,
Moi l'ouvrier des mots, moi le peuple misère,
Pour te dire mes sanglots quand je vois notre Terre.
Au son des tristes messes qu'est devenue ma France,
S'il n'y a pas de mot alors dis-moi que dire
que celui qui vous pointe faut lui tendre un sourire.
Mon pays si je pleure, c'est pour nourrir la terre, c'est pour nourrir les fleurs
en l'honneur de mes frères,
Mon pays devant moi, ces gens-là qu'on enterre, ces gens morts au combat.
D'avoir juste, été frères.
Mon pays je t'écris comme une lettre morte, pour te dire le chagrin oui qui frappe à la porte,
Moi l'ouvrier des mots, moi le peuple misère,
Pour te dire mes sanglots quand je vois notre Terre.
Mon Pays c'est la guerre, c'est la guerre des cultures,
Qui vient nourrir la Terre toujours de sang c'est sur.
C'est surtout la guerre de l'or noir du désert,
Des cerveaux oui je crois la guerre de la misère.
Ils sont morts les Vinci, les Rimbaud, les Voltaire,
Ils sont morts au profit des réseaux du vulgaire,
Mon pays c'est l'enfer, la misère des cerveaux.
Toi mon pays ma terre, la terre d'Arthur Rimbaud.
Ton peuple sait plus rien, ton peuple sait plus lire.
Que les tristes chemins qui nous mènent au pire,
Qui vient nourrir la Terre toujours de sang c'est sur.
C'est surtout la guerre de l'or noir du désert,
Des cerveaux oui je crois la guerre de la misère.
Ils sont morts les Vinci, les Rimbaud, les Voltaire,
Ils sont morts au profit des réseaux du vulgaire,
Mon pays c'est l'enfer, la misère des cerveaux.
Toi mon pays ma terre, la terre d'Arthur Rimbaud.
Ton peuple sait plus rien, ton peuple sait plus lire.
Que les tristes chemins qui nous mènent au pire,
Qu'est ce qu'on est devenu, dis moi ma triste France,
Du soldat inconnu devenu ignorance.
Au tumulte d'insultes au réseau du vulgaire,
Au culte de l'inculte assassinant mes frères,
Au non droit du profit des pétro-financières,
Que toujours prolifèrent les larmes pétrolières.
Morts mes frères de concerts, mes frangins des bistrots.
Sous les balles mercenaires qui sont tombées trop tôt.
Ils sont morts fusillés, oui, d'avoir été libres, d'avoir été de ceux qui n'ont pas lu qu'un livre, qui n'ont pas lu qu'un livre.
Si sont tombés ce soir en ce vendredi noir, les frères de mon Pays nous laissant désespoir.
Du soldat inconnu devenu ignorance.
Au tumulte d'insultes au réseau du vulgaire,
Au culte de l'inculte assassinant mes frères,
Au non droit du profit des pétro-financières,
Que toujours prolifèrent les larmes pétrolières.
Morts mes frères de concerts, mes frangins des bistrots.
Sous les balles mercenaires qui sont tombées trop tôt.
Ils sont morts fusillés, oui, d'avoir été libres, d'avoir été de ceux qui n'ont pas lu qu'un livre, qui n'ont pas lu qu'un livre.
Si sont tombés ce soir en ce vendredi noir, les frères de mon Pays nous laissant désespoir.
Resteront leurs lumières comme un flambeau la nuit, qui brûlera toujours au ciel de mon Pays.
Mes amis des concerts, mes frères de liberté,
Sûr, à mes panthéons c'est vous qui resterez.
Alors s'il faut combattre, je leur offre mon coeur, ils peuvent bien m’abattre je vous offre mes fleurs.
A l'innocent qu'on tue oui tombé sous les balles, au soldat inconnu sous l'horreur des mitrailles.
Si sont les lettres mortes les cantiques du chagrin, puisque frappe à la porte les plaines de Verdun.
S'ils sont tombés ce soir en ce vendredi noir, les frères de mon Pays nous laissant désespoir.
Mon Pays ta culture est morte assassinée mais tu sais ma culture non ne mourra jamais.
Mes amis des concerts, mes frères de liberté,
Sûr, à mes panthéons c'est vous qui resterez.
Alors s'il faut combattre, je leur offre mon coeur, ils peuvent bien m’abattre je vous offre mes fleurs.
A l'innocent qu'on tue oui tombé sous les balles, au soldat inconnu sous l'horreur des mitrailles.
Si sont les lettres mortes les cantiques du chagrin, puisque frappe à la porte les plaines de Verdun.
S'ils sont tombés ce soir en ce vendredi noir, les frères de mon Pays nous laissant désespoir.
Mon Pays ta culture est morte assassinée mais tu sais ma culture non ne mourra jamais.
Toi mon Pays Molière, toi mon Pays Vinci, toi mon Pays Voltaire, toi mon Pays Valmy, toi mon Pays la Terre, toi mon Pays Paris. Toi mon Pays parterre relève toi mon Pays. Toi mon Pays lumière, toi mon Pays la vie, mon Pays littéraire, mon Pays triste vie, toi mon Pays mes frères, toi frère de mon Pays, comme on chérit sa mère on chérit sa patrie.
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