Paroles de la chanson Mathys par David Goudreault
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Paroles de la chanson Mathys par David Goudreault
Pleure pas Mathys
Ça m’attriste
Tu sais, ici, l’amour et la haine se métissent
Mais ça vaut la peine, l’illusion
Au fond, c’est un peu comme la matrice
Un grand jeu de miroirs
Où les enjeux se tissent
Mais non, ce n’est pas un mouroir
Ni une injustice
Il y a de la vie entre les parenthèses
À profusion
Tu sais, tes parents t’aiment
Même si ton père ne donne ni nouvelle ni raison
Que les pépites de douleurs font partie du pain maison
Qu’on est bien seuls à scander nos oraisons
Ça m’attriste
Tu sais, ici, l’amour et la haine se métissent
Mais ça vaut la peine, l’illusion
Au fond, c’est un peu comme la matrice
Un grand jeu de miroirs
Où les enjeux se tissent
Mais non, ce n’est pas un mouroir
Ni une injustice
Il y a de la vie entre les parenthèses
À profusion
Tu sais, tes parents t’aiment
Même si ton père ne donne ni nouvelle ni raison
Que les pépites de douleurs font partie du pain maison
Qu’on est bien seuls à scander nos oraisons
Du vertige à l’horizon
On s’est entassés à tasser les saisons
C’est rien, c’est rien, c’est bien mathys
Le pire, ce n’est pas ce qu’on respire
Empire de la pollution
Je fais parti du problème pas de la solution
Membre du G8 peaux blêmes
On se fourre la planète à frette sans lotion
Bientôt sous hyperbares sans hyperbole
J’en ris, j’en rime, Lol
Kyoto si ça s’impatiente
AH! C’est comme brosser des caries
À la pâte blanchissante
Ici on se torche avec du papier blanchit
Aussi, on chie dans l’eau potable
On se fait venir en masse de l’huile du désert
Mais hélas, incapable de renvoyer une pointe du dessert
On s’est entassés à tasser les saisons
C’est rien, c’est rien, c’est bien mathys
Le pire, ce n’est pas ce qu’on respire
Empire de la pollution
Je fais parti du problème pas de la solution
Membre du G8 peaux blêmes
On se fourre la planète à frette sans lotion
Bientôt sous hyperbares sans hyperbole
J’en ris, j’en rime, Lol
Kyoto si ça s’impatiente
AH! C’est comme brosser des caries
À la pâte blanchissante
Ici on se torche avec du papier blanchit
Aussi, on chie dans l’eau potable
On se fait venir en masse de l’huile du désert
Mais hélas, incapable de renvoyer une pointe du dessert
On pointe de nos gros droits
Tout ce qui nous désert
Nos serres cueillent tout ce qui nous sert
À gaver notre cas
On se baise entre obèses
On se libère à la free-base
On pèse à l’OPEP
Et on se la pète pour se redonner du pep
La spiritualité à la baisse
Et les spiritueux à rabais
Loin de Rabelais, on rabat prêtres et Rabbins
Mais pantois, on prête oreille
Aux pantins qui nous bourrent les tympans
Tant pis!!! Ballots sans lendemains
On pousse le tiens sous le tapis…
Il faut que tu pleures Mathys
À en rincer tout ce triste
Tout ce qui nous désert
Nos serres cueillent tout ce qui nous sert
À gaver notre cas
On se baise entre obèses
On se libère à la free-base
On pèse à l’OPEP
Et on se la pète pour se redonner du pep
La spiritualité à la baisse
Et les spiritueux à rabais
Loin de Rabelais, on rabat prêtres et Rabbins
Mais pantois, on prête oreille
Aux pantins qui nous bourrent les tympans
Tant pis!!! Ballots sans lendemains
On pousse le tiens sous le tapis…
Il faut que tu pleures Mathys
À en rincer tout ce triste
Tisse des liens à pendre la matrice
Il faut que tu pleures Mathys
Fait de quoi de beau bébé
Un monde de cœur sans trop de bébelles
De bills de balles Sans trop de bobombe
Un monde vivant dans la craque du ciment
De fumeur de craque dans les bras de sa maman
D’un moment qui claque au vent dre dis moi
Que la semaine est fini de suer, Viens dehors!
Viens jouir avec moi dans le carré de fable!
Fertilisons de la fierté de Kaboul à Caraquett
Des chsld plein de mamies coquettes
Des mohamed se laissant pousser des rouflaquettes
Des crimes d’honneurs
Qui se règlent autour d’une raclette
Que les seules râclées
Soient des tas de feuilles
Il faut que tu pleures Mathys
Fait de quoi de beau bébé
Un monde de cœur sans trop de bébelles
De bills de balles Sans trop de bobombe
Un monde vivant dans la craque du ciment
De fumeur de craque dans les bras de sa maman
D’un moment qui claque au vent dre dis moi
Que la semaine est fini de suer, Viens dehors!
Viens jouir avec moi dans le carré de fable!
Fertilisons de la fierté de Kaboul à Caraquett
Des chsld plein de mamies coquettes
Des mohamed se laissant pousser des rouflaquettes
Des crimes d’honneurs
Qui se règlent autour d’une raclette
Que les seules râclées
Soient des tas de feuilles
Qu’on fonde les roquettes, fusils et les frondes
Qu’on essuie et pardonne tous les affronts
À fond que je suis cucu et cheezy
Mais si elle ne peut te porter espoir
Je l’ai dans le cul la poésie
Du cœur
Je veux que tu vois que ma voix
Te transporte au-delà de la haut
Au-delà de l’haut-delà de là haut
Au-delà des pôles
Purifie nos sens, nos sangs et nos plaies
Je t’en mets sur les épaules
Mais t’as l’archée de l’innocent
Et je n’ai que la portée de mon onde
Tu sais, Mathys
Même si mononcle
Voit le monde
Qu’on essuie et pardonne tous les affronts
À fond que je suis cucu et cheezy
Mais si elle ne peut te porter espoir
Je l’ai dans le cul la poésie
Du cœur
Je veux que tu vois que ma voix
Te transporte au-delà de la haut
Au-delà de l’haut-delà de là haut
Au-delà des pôles
Purifie nos sens, nos sangs et nos plaies
Je t’en mets sur les épaules
Mais t’as l’archée de l’innocent
Et je n’ai que la portée de mon onde
Tu sais, Mathys
Même si mononcle
Voit le monde
Par un drôle de monocle
Je sais que l’espoir, ça se tisse
Ça s’étire, ça s’étend mais ça s’éteint
Tout est perception dans la matrice
…Ce monde est tiens…
Tu devras y voir clair
Moi
J’ai peur…mais j’espère
Je sais que l’espoir, ça se tisse
Ça s’étire, ça s’étend mais ça s’éteint
Tout est perception dans la matrice
…Ce monde est tiens…
Tu devras y voir clair
Moi
J’ai peur…mais j’espère
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