Paroles de la chanson Inédit #1 par Deadi

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Paroles de la chanson Inédit #1 par Deadi

Condamnés à s'faire condamner, quel que soit c'qu'on a fait, avec ou sans preuve
Plutôt faire sans que d'faire semblant d'faire avec, avec ou sans buzz
T'as ni à m'envier ni à m'en vouloir de pas en vouloir autant qu'ceux qu'en veulent
La loi d'Murphy a bel et bien laissé place à celle de l'ED-209
Moins j'le suis et plus j'me sens seul, loin d'tout, mis à part d'l'essentiel
J'ai traîné, d'quoi venger tous les gens nés sans buzz ; j'crachais, d'quoi vеnger tous les gens nés sans tеub
Et planais, d'quoi venger tous les gens nés sans aile, plutôt gerber en bas qu'aller vomir en club

On n'est jamais mieux servis qu'par sa mère et bercer par les cris d'ses voisins qui s'engueulent
Tu crois vraiment qu'le pe-ra t'appartient sous prétexte que tu l'as vu en prem's ?
J'suis c'type au cœur de la tempête et pourtant pas foutu d'en capter l'ampleur
Y aura des cons déguisés en génies tant qu'y aura des assassins déguisés en keufs

Permets-moi d'te montrer mon côté cash deux secondes, que tu saches combien j'en ai rien à battre de c'monde
Grand, ça rappe dans l'espoir de monter, moi c'est parce que j'tombe
J'arrête tout tous les matins, tous les soirs je replonge
Plutôt raccrocher qu'de décrocher la médaille de bronze ; une pandémie des familles et les masques tombent

Permets-moi d'te montrer mon côté cash deux secondes, que tu saches combien j'en ai rien à battre de c'monde
Grand, ça rappe dans l'espoir de monter, moi c'est parce que j'tombe
J'arrête tout tous les matins, tous les soirs je replonge
Plutôt raccrocher qu'de décrocher la médaille de bronze ; une pandémie des familles et les masques tombent

Hey, capable de convertir le quart de ma paye en shit
Et ce même après en avoir converti la moitié en weed
V'là les années qu'j'ai passées sous anesthésie locale à m'anéantir
Qui m'a pris pour du sang neuf sera jamais vampire

Partant dès qu'il s'agit d'partir en vrille, j'suis d'ceux qui voient l'verre de lait qu'à moitié rempli
À trop vouloir jouer avec les gens, tu les perds et, à trop jouer les grands, tu vas jamais grandir
La fils de puterie t'cogne et tu guériras pas, j'dirais plutôt qu'il s'pourrait qu'elle empire
Tant qu'ce sera toujours les mêmes qui encaissent, et surtout qu'ce sera toujours les mêmes qui s'en tirent

Permets-moi d'te montrer mon côté cash deux secondes, que tu saches combien j'en ai rien à battre de c'monde
Grand, ça rappe dans l'espoir de monter, moi c'est parce que j'tombe
J'arrête tout tous les matins, tous les soirs je replonge

Plutôt raccrocher qu'de décrocher la médaille de bronze ; une pandémie des familles et les masques tombent
Permets-moi d'te montrer mon côté cash deux secondes, que tu saches combien j'en ai rien à battre de c'monde
Grand, ça rappe dans l'espoir de monter, moi c'est parce que j'tombe
J'arrête tout tous les matins, tous les soirs je replonge
Plutôt raccrocher qu'de décrocher la médaille de bronze ; une pandémie des familles et les masques tombent

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