Paroles de la chanson Delirium par Dean Faro
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Paroles de la chanson Delirium par Dean Faro
The pigs flew, here we are, the hateful queue
They spat n still spit, behold the toxic fumes
Clouding my judgement
Solution's to turn a blind eye to the crap spewed
Break a leg!
My dismay renews daily
For I bit off more than I can chew
Despite the big mouth
Adversity's nil, I'm notch above, an acquired taste
I feast off fears, a malicious overseer
Travel across lands, to spread my gospel, my truth
My panel's full off options, I'd rather push your buttons
They spat n still spit, behold the toxic fumes
Clouding my judgement
Solution's to turn a blind eye to the crap spewed
Break a leg!
My dismay renews daily
For I bit off more than I can chew
Despite the big mouth
Adversity's nil, I'm notch above, an acquired taste
I feast off fears, a malicious overseer
Travel across lands, to spread my gospel, my truth
My panel's full off options, I'd rather push your buttons
Fled the bottom top rockin'
Gaze the liftoff it's brocoli
I went for broke, to never go broke
An angel spoke whispered stay woke
Lack of motivation results from lack of foes
Or simply a large circle
Shrink it a bit n witness quantum leaps
But first let me ask you something, Can you charm snakes?
I can't bear the thought that someone would reap
The fruit of my efforts
The chase of the crown is sweepstakes
Deuces
Le grain j'y veilles plus
Dieu protège mon six
Mieux vaut perdre sa vie
Qu'ôter celle d'autrui
La plèbe dont je suis issu m'interdit de ternir son blason
J'ne céderai pas au crime
Mes crasses j'en paye le prix
Quelques jours et puis « pouf » rien, c'est ça la vie
L'amour de l'argent ne rend pas riche
Mais je n'ai d'yeux que pour le biffe
Plus rien ne m'attriste, brise moi le cœur il tiendra l'coup
La mort des miens m'a ôté l'gout de vivre
Avant que je rende l'âme il faut que j'enterre
Mieux vaut perdre sa vie
Qu'ôter celle d'autrui
La plèbe dont je suis issu m'interdit de ternir son blason
J'ne céderai pas au crime
Mes crasses j'en paye le prix
Quelques jours et puis « pouf » rien, c'est ça la vie
L'amour de l'argent ne rend pas riche
Mais je n'ai d'yeux que pour le biffe
Plus rien ne m'attriste, brise moi le cœur il tiendra l'coup
La mort des miens m'a ôté l'gout de vivre
Avant que je rende l'âme il faut que j'enterre
Ceux qui m'ont fermés leurs portes, m'ont fait obstacle
Ont assombri le décor d'un parcours jovial
M'ont étouffé de ferme grappe sans démontrer une once de pitié
J'ai cessé de croire
En l'homme quand j'ai du porter ma croix
Aucune bonté ni excuse, n'efface des stigmates
Je suis venu et c'est ainsi que je partirai
J'ai tiré un trait sur les histoires.... (De cœur)
J'octroie mon temps dûment
Je prêche la vérité, ils crient tous à l'unisson tu « mens »
Oublie les sentiments
Ont assombri le décor d'un parcours jovial
M'ont étouffé de ferme grappe sans démontrer une once de pitié
J'ai cessé de croire
En l'homme quand j'ai du porter ma croix
Aucune bonté ni excuse, n'efface des stigmates
Je suis venu et c'est ainsi que je partirai
J'ai tiré un trait sur les histoires.... (De cœur)
J'octroie mon temps dûment
Je prêche la vérité, ils crient tous à l'unisson tu « mens »
Oublie les sentiments
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