Paroles de la chanson Faut Calmer Denzo #1 par Denzo
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Paroles de la chanson Faut Calmer Denzo #1 par Denzo
La coca, la coca, coca, coca, cocaïna
La coca, coca, coca, coca, coca
La coca est bonne et les ienclis le savent
Je tape, dans les murs de la Gav
Le chef de ste-po, je le rends paro
J’ai perçu que mon public évolue
Des daronnes veulent pécho mon CD
Je les mène en bateau sans naviguer
Que Dieu soit loué comme mon appart
Fin de la soirée je me fais sucer khabbat
AMG je suis dans le merco
Trop de fumée je suis dans un aqua
Les condés sont en hélico
Pisté, ché-ca le détail
Brolique pendant la transac
La coca, coca, coca, coca, coca
La coca est bonne et les ienclis le savent
Je tape, dans les murs de la Gav
Le chef de ste-po, je le rends paro
J’ai perçu que mon public évolue
Des daronnes veulent pécho mon CD
Je les mène en bateau sans naviguer
Que Dieu soit loué comme mon appart
Fin de la soirée je me fais sucer khabbat
AMG je suis dans le merco
Trop de fumée je suis dans un aqua
Les condés sont en hélico
Pisté, ché-ca le détail
Brolique pendant la transac
Déter je vais te démarrer
Je m’en fous de la répute de ton ze-bla
Tu pues de la schnek, te déshabille pas
Condés, ma racli, denzo est rodave
Comme Nasser je fais la yaska
Populaire, personne me connait
Nécessaire d’être dans le quartier
Million de vues, toi tu veux feater
J’ai vu ton message, je l’ai pas ouvert
Je pisse sur ton père et ta grand-mère
Le refus chez moi c’est volontaire
Ne va pas te plaindre chez manager
Harcèlement de trop sera ton erreur
Une bécane va passer en vitesse eh
On fait tekal toute la té-ci
Les négros d’ici, ont grandi dans ça
Face à l’ennemi on prend toujours le dessus
On est audacieux car on a frôlé des décès
Je m’en fous de la répute de ton ze-bla
Tu pues de la schnek, te déshabille pas
Condés, ma racli, denzo est rodave
Comme Nasser je fais la yaska
Populaire, personne me connait
Nécessaire d’être dans le quartier
Million de vues, toi tu veux feater
J’ai vu ton message, je l’ai pas ouvert
Je pisse sur ton père et ta grand-mère
Le refus chez moi c’est volontaire
Ne va pas te plaindre chez manager
Harcèlement de trop sera ton erreur
Une bécane va passer en vitesse eh
On fait tekal toute la té-ci
Les négros d’ici, ont grandi dans ça
Face à l’ennemi on prend toujours le dessus
On est audacieux car on a frôlé des décès
J’ouvrais à neuf heures à dix heures
Boule au ventre y a pas de guetteur
J’étais un bandit, un dealer
Je lis les sentiments des autres
Comme mes faits divers sur le Parisien
Mon passe-temps comme un poster
Je traine où ça revend la pasta
La poisse me colle à la peau, je crois que c’est mon t-shirt
PP, tête de mort, je suis condamné vu que je la revends
Faut coffrer, être dans le placement, ciné il me faut un plasma
Je suis blessé j’ai pas de pansement, tirer chez nous c’est la vengeance
Sixième étage moi je vendais, douzième étage chez la nounou
Je bossais dans le sept-huit, le guetteur c’était mon sin-cou (Resko Hmm)
Boule au ventre y a pas de guetteur
J’étais un bandit, un dealer
Je lis les sentiments des autres
Comme mes faits divers sur le Parisien
Mon passe-temps comme un poster
Je traine où ça revend la pasta
La poisse me colle à la peau, je crois que c’est mon t-shirt
PP, tête de mort, je suis condamné vu que je la revends
Faut coffrer, être dans le placement, ciné il me faut un plasma
Je suis blessé j’ai pas de pansement, tirer chez nous c’est la vengeance
Sixième étage moi je vendais, douzième étage chez la nounou
Je bossais dans le sept-huit, le guetteur c’était mon sin-cou (Resko Hmm)
Tel-ho sans pote-ca, la voyoucrathie c’est dangereux
La tension palpable, la menace du feu
Les jours de pluie me font cogiter, j’oublie vite fait qui j’étais
Le shit et les vendeurs de rêves, les deux m’ont fait oublier
Bédo, beugeu dans la calle, client, débite, tout liquider
CV, CV, si tu veux bosser, t’as pas intérêt à balancer
Dans les coins sombre on est coincé, terrain je fais que des équations
Le weekend je suis alcoolisé, toujours avec modération
On perd des potes, quand on gagne des sous
Les durs à cuire, ont toujours des aciers en dessous du matelas
La tension palpable, la menace du feu
Les jours de pluie me font cogiter, j’oublie vite fait qui j’étais
Le shit et les vendeurs de rêves, les deux m’ont fait oublier
Bédo, beugeu dans la calle, client, débite, tout liquider
CV, CV, si tu veux bosser, t’as pas intérêt à balancer
Dans les coins sombre on est coincé, terrain je fais que des équations
Le weekend je suis alcoolisé, toujours avec modération
On perd des potes, quand on gagne des sous
Les durs à cuire, ont toujours des aciers en dessous du matelas
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