Paroles de la chanson Temps par DF & Cerk
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Paroles de la chanson Temps par DF & Cerk
Et j'l'ai surnommé la perte de temps même si j'ai pas peur de le prendre
Tu peux me suspendre à tes lèvres je le sais je le sent on a rien à se vendre
Rien à s'apprendre on fera les projets comme deux arracheurs de dents
En rêvant tête en l'air endormis dans l'errance comme les amateurs de chanvre
Et on fera de l'humour entre les sauts d'humeur
Et quand on re'fra le monde on aura vite fait le tour
Alors on re'fra l'amour contre le radiateur
On s'fera mal au cœur il aura vite fait l'sourd
Le contre ne pèsera pas lourd et même si le pour a le visage tuméfié
J'rentrerai dans ta danse rien qu'pour te marcher sur les pieds
Tu peux me suspendre à tes lèvres je le sais je le sent on a rien à se vendre
Rien à s'apprendre on fera les projets comme deux arracheurs de dents
En rêvant tête en l'air endormis dans l'errance comme les amateurs de chanvre
Et on fera de l'humour entre les sauts d'humeur
Et quand on re'fra le monde on aura vite fait le tour
Alors on re'fra l'amour contre le radiateur
On s'fera mal au cœur il aura vite fait l'sourd
Le contre ne pèsera pas lourd et même si le pour a le visage tuméfié
J'rentrerai dans ta danse rien qu'pour te marcher sur les pieds
Tu le chercheras, tu testeras les frontières, tu les trouveras, un vrai calvaire
Coup d'sang j'te dirai d'aller t'faire mettre
Et toi t'iras t'faire mettre
J'te renverais cent fois tout les coups bas, avec le sourire qu'on a quand tout va de travers Les larmes aux yeux tu feras tes affaires et j'me sentirai coupable
On s'regardera comme des erreurs de parcours
On savait tout les deux qu'on en valait pas l'coup
Aucun atout dans la manche pour espérer la revanche
Et tu vera mes avances comme une lame dans la hanche
Tu fausseras la balance quite à provoquer l'avalanche
Et tu m'rendra jaloux, balancant à chaque branche
Coup d'sang j'te dirai d'aller t'faire mettre
Et toi t'iras t'faire mettre
J'te renverais cent fois tout les coups bas, avec le sourire qu'on a quand tout va de travers Les larmes aux yeux tu feras tes affaires et j'me sentirai coupable
On s'regardera comme des erreurs de parcours
On savait tout les deux qu'on en valait pas l'coup
Aucun atout dans la manche pour espérer la revanche
Et tu vera mes avances comme une lame dans la hanche
Tu fausseras la balance quite à provoquer l'avalanche
Et tu m'rendra jaloux, balancant à chaque branche
Demande toi à qui tu penseras quand la nuit sera blanche
Ouais tu voudras m'éviter mais tu m'veras partout
Alors on regardera à tour de rôle
Tu passera à côté d'moi dans ta provocation
Le temps poursuivra sa course folle
Ecris moi à l'occasion
En attendant j'suis dans ce bar et j'fait semblant des les écouter
Quand les gens me parlent un ange passe quand j'baille comment ce fait-ce que ces jambes là ne dansent pas
Je fait l'erreur de lui parler, minute gachée, stupide et grossière pas d'erreur mais la fille moche d'interieur
Ouais tu voudras m'éviter mais tu m'veras partout
Alors on regardera à tour de rôle
Tu passera à côté d'moi dans ta provocation
Le temps poursuivra sa course folle
Ecris moi à l'occasion
En attendant j'suis dans ce bar et j'fait semblant des les écouter
Quand les gens me parlent un ange passe quand j'baille comment ce fait-ce que ces jambes là ne dansent pas
Je fait l'erreur de lui parler, minute gachée, stupide et grossière pas d'erreur mais la fille moche d'interieur
Pas d'aigreur mais là j'file l'alcool est trop cher et la musique à chier
En apnée jusqu'à la sortie belle plante, vieille branche, ortie
Elles ont les yeux qui les touchent qui les coulent et les corps qui les torpillent
Ils veulent s'faire voir mais s'affichent les dents longues et la dalle assortie
Leur solitude est un cocktail que seul un cocktail amortie
On me sère la main, parait qu'on s'connait
Ca va et toi gros, pas de réponse donnée
On s'ignore de vive voix, gêne et miroir
On s'reverra dans dix ans, où est l'urinoir
Y a des verres que j'ai pas envie d'boire
Un gin de sky et mes démons s'monaient
Désolé j'trace les secondes sans voler
Y a des frères et des soeurs que j'ai pas envie d'voir
En apnée jusqu'à la sortie belle plante, vieille branche, ortie
Elles ont les yeux qui les touchent qui les coulent et les corps qui les torpillent
Ils veulent s'faire voir mais s'affichent les dents longues et la dalle assortie
Leur solitude est un cocktail que seul un cocktail amortie
On me sère la main, parait qu'on s'connait
Ca va et toi gros, pas de réponse donnée
On s'ignore de vive voix, gêne et miroir
On s'reverra dans dix ans, où est l'urinoir
Y a des verres que j'ai pas envie d'boire
Un gin de sky et mes démons s'monaient
Désolé j'trace les secondes sans voler
Y a des frères et des soeurs que j'ai pas envie d'voir
Et tu penses que je manque un peu d'humilité
Mais j'viens de t'éviter des minutes de futilité
Ces débilités n'ont pas d'utilité
Tu t'en branle de mon taff et moi de tes enfances
Il faut couper court à la volubilité, mieux vaut rester tranchant
Car ton épanchement c'est son déhanchement et j'te le dit franchement
Y a un grand manque de subtilité
Tu me parle de ta vie et j'te dirai que j'compatis
Mais on s'fera très très très très très très très vite chier qu'est-ce qu'on parie
Vaut mieux rentrer chez soi avant qu'le ciel ne contrarie
Dans quel taudis on irait pas pour un peu de compagnie
Mais j'viens de t'éviter des minutes de futilité
Ces débilités n'ont pas d'utilité
Tu t'en branle de mon taff et moi de tes enfances
Il faut couper court à la volubilité, mieux vaut rester tranchant
Car ton épanchement c'est son déhanchement et j'te le dit franchement
Y a un grand manque de subtilité
Tu me parle de ta vie et j'te dirai que j'compatis
Mais on s'fera très très très très très très très vite chier qu'est-ce qu'on parie
Vaut mieux rentrer chez soi avant qu'le ciel ne contrarie
Dans quel taudis on irait pas pour un peu de compagnie
Et quand tu rentres chez toi tout les murs se ressemblent et le manque de folie se ressent
Chaque jour est un disque rayé, une mélodie en boucle, un son qui se resample
Dont les claps sont les claques qu'on voit voguer dans les flots
Rue déserte et volets clots l'envolée vole en éclat
La mélancolie éclot et les plongeons font les plats
Rêvent de plages et de place mais le caniveau les plombe
T'as l'impression que ta vie illustre la loi de Murphy
T'aimerais tout foutre en l'air parceque les conditions sont réunies
Même que parceque se faire du mal c'est l'une des choses qu'on réussi
Quand t'y penses elle sert à rien mais t'aimes bien ta vie...
... Même si
Tu l'as surnommé la pert de temps pourtant t'as pas peur de le prendre
Tu peux me suspendre à tes lèvres je le sais je le sent on a rien à se vendre
Rien à s'apprendre, on fera les projets comme deux arracheurs de dents
En rêvant tête en l'air endormis dans l'errance comme les amateurs de chanvre
Quand t'y penses elle sert à rien mais t'aimes bien ta vie...
... Même si
Tu l'as surnommé la pert de temps pourtant t'as pas peur de le prendre
Tu peux me suspendre à tes lèvres je le sais je le sent on a rien à se vendre
Rien à s'apprendre, on fera les projets comme deux arracheurs de dents
En rêvant tête en l'air endormis dans l'errance comme les amateurs de chanvre
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