Paroles de la chanson Mille et une nuits par Diane Dufresne
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Paroles de la chanson Mille et une nuits par Diane Dufresne
Le ciel au seuil de la douleur
Une ville détruite au fil des heures
Des missiles visant jusqu'aux champs de fleurs
On peut voir devant nos téléviseurs
Mille et une nuits
Adieu Bagdadis
Comme un film d'horreur
Du désert, accourent des civils en pleurs
Surpris par les tirs
Ils seront martyrs
Femmes et enfants meurent
Le vent effacera les pleurs
Du sable, apparaît la noirceur
Une ville détruite au fil des heures
Des missiles visant jusqu'aux champs de fleurs
On peut voir devant nos téléviseurs
Mille et une nuits
Adieu Bagdadis
Comme un film d'horreur
Du désert, accourent des civils en pleurs
Surpris par les tirs
Ils seront martyrs
Femmes et enfants meurent
Le vent effacera les pleurs
Du sable, apparaît la noirceur
Aux blindés l'assaut des bombardiers de malheur
Du pouvoir que reste-t-il de l'honneur ?
Dès que l'or noir brille
Le ventre du Tigre
Se gonfle d'impudeur
Des combats, qui deviendra le vainqueur ?
Les dieux de la guerre
S'inspirant des leurres
N'ont jamais, jamais le cœur
Du pouvoir que reste-t-il de l'honneur ?
Dès que l'or noir brille
Le ventre du Tigre
Se gonfle d'impudeur
Des combats, qui deviendra le vainqueur ?
Les dieux de la guerre
S'inspirant des leurres
N'ont jamais, jamais le cœur
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