Paroles de la chanson Trop tard par Dibson

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Paroles de la chanson Trop tard par Dibson

J’ai tourné dans le bloc frère, à viscère des doses tard
J’aimerais tout refaire ouais, mais je crois bien que c’est trop tard
Elle me dit que je suis malade, que je devrais faire ma life
Mais ma life c’est le ghetto, les gyrophares et le mag light
J’ai tourné dans le bloc frère, à viscère des doses tard
J’aimerais tout refaire ouais, mais je crois bien que c’est trop tard
Elle me dit que je suis malade, que je devrais faire ma life
Mais ma life c’est le ghetto, les gyrophares et le mag light

Tu m’as trahi je t’ai pardonné, une fois pas deux
Dans la tess on a charbonné, le shit la beuh
Ouais, ouais, Jack et Coca, je la rends loca
Eleven, eleven dans le bloca
Vivre ou mourir, seul Dieu sait
Il faut que je laisse ma trace dans les deux cas
Pas besoin d’être validé, on revient de loin t’as pas idée
C’est sur la prod que je vais rider, QS gang il y a du taille d
Je fume la frappe je cherche de l’inspi, j’ai grandi dans le ness-bi
Ta gadji veut des selfies, j’ai pas choisi cette vie
Je m’en vais barouder le night, le cheytan sous le casque à rail

J’ai beau me dire c’est la life, je repense à toi j’ai la larme

Nous on sait quand il faut se taire, quitte à finir au schtars
Je fume un joint dans une haute sphère, je fou le feu comme une rock star
Elle me dit faut faire de la maille, qu’on se taille sous le sunshine
Mais ma life c’est le problème, les kilos de shit dans les S line
Nous on sait quand il faut se taire, quitte à finir au schtars
Je fume un joint dans une haute sphère, je fou le feu comme une rock star
Elle me dit faut faire de la maille, qu’on se taille sous le sunshine
Mais ma life c’est le problème, les kilos de shit dans les S line

Je suis sous flash de label, j’ai des flashs de la veille, j’y repense quand on plane nu
J’oublie rien je me rappel, ma douleur et ma peine, mes ex amours, mes ex amis
Je suis malade il faut qu’on m’examine, je vois le monde qui tourne à l’envers
C’est la rue qui remplit les verres, elle m’a pris des fers, qu’elle brule en enfer
Je fais le tour mais il y a rien de cohérent, quand la poisse te matte au premier rang
T’étais où quand je dormais dehors, je cherchais à grailler comme un chat errant
Mais je me suis fait en silence, les singes qui pleurent cheytan qui danse
Au quartier on préfère les sirènes des schmitts, que les sirènes des ambulances
Par ici la mort nous a frappé jeune, j’ai perdu des proches, qu’ils reposent en paix

J’ai tourné dans le bloc frère, à viscère des doses tard
J’aimerais tout refaire ouais, mais je crois bien que c’est trop tard
Elle me dit que je suis malade, que je devrais faire ma life
Mais ma life c’est le ghetto, les gyrophares et le mag light
Nous on sait quand il faut se taire, quitte à finir au schtars
Je fume un joint dans une haute sphère, je fou le feu comme une rock star
Elle me dit faut faire de la maille, qu’on se taille sous le sunshine
Mais ma life c’est le problème, les kilos de shit dans les S line

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