Paroles de la chanson La politesse par Diego Pallavas
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Paroles de la chanson La politesse par Diego Pallavas
C'était vraiment pas ça la politesse
J'aurais dû essuyer mes pieds
C'était comme repartir à toute vitesse
En ricanant comme un benêt
Sacrifié sur l'autel du lendemain
Vous faites monter la mayonnaise
Un écart de culture chez vos copains
Vous les fait mettre entre parenthèses
Messieurs avons-nous je crois dépassez le stade ?
Tout le monde en joue pour la fusillade
Cette sale habitude, non mais ça me rend malade
Ne comptez plus sur moi
Pour quoi que ce soit
J'aurais dû essuyer mes pieds
C'était comme repartir à toute vitesse
En ricanant comme un benêt
Sacrifié sur l'autel du lendemain
Vous faites monter la mayonnaise
Un écart de culture chez vos copains
Vous les fait mettre entre parenthèses
Messieurs avons-nous je crois dépassez le stade ?
Tout le monde en joue pour la fusillade
Cette sale habitude, non mais ça me rend malade
Ne comptez plus sur moi
Pour quoi que ce soit
A croire qu'il faut attendre des années
Que chaque mot compte dans vos oreilles
Pour une remarque un peu trop aiguisée
Ça vous fait perdre le sommeil
Sacrifié sur l'autel du lendemain
Vous faites monter la mayonnaise
Un écart de culture chez vos copains
Vous les fait mettre entre parenthèses
Messieurs avons-nous je crois dépassez le stade ?
Tout le monde en joue pour la fusillade
Cette sale habitude, non mais ça me rend malade
Ne comptez plus sur moi
Pour quoi que ce soit
Un coup de jus, un truc étrange
Et mon crâne s'est illuminé
Que chaque mot compte dans vos oreilles
Pour une remarque un peu trop aiguisée
Ça vous fait perdre le sommeil
Sacrifié sur l'autel du lendemain
Vous faites monter la mayonnaise
Un écart de culture chez vos copains
Vous les fait mettre entre parenthèses
Messieurs avons-nous je crois dépassez le stade ?
Tout le monde en joue pour la fusillade
Cette sale habitude, non mais ça me rend malade
Ne comptez plus sur moi
Pour quoi que ce soit
Un coup de jus, un truc étrange
Et mon crâne s'est illuminé
Et dans la rue je vous dérange
La faucille et le marteau se sont croisés
Un coup de jus, un truc étrange
Et mon crâne s'est illuminé
Et dans la rue je vous dérange
La faucille et le marteau se sont croisés
Ne comptez plus sur moi
Car ma vie n'attend pas
Nan, jamais
Pour quoi que ce soit, toi
La faucille et le marteau se sont croisés
Un coup de jus, un truc étrange
Et mon crâne s'est illuminé
Et dans la rue je vous dérange
La faucille et le marteau se sont croisés
Ne comptez plus sur moi
Car ma vie n'attend pas
Nan, jamais
Pour quoi que ce soit, toi
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