Paroles de la chanson Vide par Disiz
Paroles de la chanson Vide par Disiz
[x2]
Et tu marches dans ta tête, ta tête comme un zonard
Et pour toi les soirs ne sont qu'des matinées
Ça résonne dans ta tête, ta tête comme un sonar
À chaque fois que coulent les gouttes du robinet
Tu-tu t'lèves, tu-tu-tu t'lèves
Et tu t'douches, tu t'douches, tu-tu-tu t'douches
Et tu zappes quelques chaînes, y'a que d'la merde
Et tu bouffes, tu bouffes, tu-tu-tu bouffes
Et tu fais la vaisselle, ton bol, ton assiette
Et tu repenses à la veille, tu baisses la tête
Et tu regardes par la fenêtre, gris est le ciel
Et tu marches dans ta tête, ta tête comme un zonard
Et pour toi les soirs ne sont qu'des matinées
Ça résonne dans ta tête, ta tête comme un sonar
À chaque fois que coulent les gouttes du robinet
Tu-tu t'lèves, tu-tu-tu t'lèves
Et tu t'douches, tu t'douches, tu-tu-tu t'douches
Et tu zappes quelques chaînes, y'a que d'la merde
Et tu bouffes, tu bouffes, tu-tu-tu bouffes
Et tu fais la vaisselle, ton bol, ton assiette
Et tu repenses à la veille, tu baisses la tête
Et tu regardes par la fenêtre, gris est le ciel
La lumière d'aujourd'hui ne sera pas substancielle
T'es une putain de plante, t'as besoin de photosynthèse
Et t'as besoin de soleil car t'es d'la putain de glaise
Dans ta chambre tu pinces ton ventre, t'as de la putain de graisse
Tu sais pas quoi te mettre, tu prends une petite veste
Et tu sais pas où tu vas, ni ce que tu fais
Tu sens ton coeur rétrécir devenir un fruit sec
Parce que t'es vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
Ils appellent ça la déprime, mais c'est pire
C'est comme si c'était dans l'air, ou peut-être c'est l'époque
Peut-être est-ce le pays et nos petites vies en toc
T'es une putain de plante, t'as besoin de photosynthèse
Et t'as besoin de soleil car t'es d'la putain de glaise
Dans ta chambre tu pinces ton ventre, t'as de la putain de graisse
Tu sais pas quoi te mettre, tu prends une petite veste
Et tu sais pas où tu vas, ni ce que tu fais
Tu sens ton coeur rétrécir devenir un fruit sec
Parce que t'es vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
Ils appellent ça la déprime, mais c'est pire
C'est comme si c'était dans l'air, ou peut-être c'est l'époque
Peut-être est-ce le pays et nos petites vies en toc
Un avenir sombre, lourd comme du plomb
Des envies d'en finir au millième de seconde
Et parfois la mort veut fort te, fort te faire l'amour
Elle te prend de force, elle te fait même pas la cour
Alors tu figes cette idée, tu la chasses comme démon
Tu inspires beaucoup d'air et tu le bloques dans tes poumons
Tu t'sens vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
T'as beau te remplir de choses que t'ingurgites
Que tu regardes, que tu lis, que tu penses, que tu dis
Tu t'sens vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
[x2]
Et tu marches dans ta tête, ta tête comme un zonard
Des envies d'en finir au millième de seconde
Et parfois la mort veut fort te, fort te faire l'amour
Elle te prend de force, elle te fait même pas la cour
Alors tu figes cette idée, tu la chasses comme démon
Tu inspires beaucoup d'air et tu le bloques dans tes poumons
Tu t'sens vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
T'as beau te remplir de choses que t'ingurgites
Que tu regardes, que tu lis, que tu penses, que tu dis
Tu t'sens vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
[x2]
Et tu marches dans ta tête, ta tête comme un zonard
Et pour toi les soirs ne sont qu'des matinées
Ça résonne dans ta tête, ta tête comme un sonar
À chaque fois que coulent les gouttes du robinet
Et puis t'as un tas
De trucs à régler de temps en temps t'aimerais
Prendre le temps de prendre le temps
Mais pour te réparer tu tournes, tu tournes au vice
Des petits délices tu broies du noir
Amère comme la réglisse
C'est bon sur le coup
C'est vrai c'est cool ça glisse
Et les matins froids à force ça coûte, ça glace
Et tu zig-, tu zig-, tu-tu zigzagues
Et tu di-, tu di-, tu-tu divagues
Ça résonne dans ta tête, ta tête comme un sonar
À chaque fois que coulent les gouttes du robinet
Et puis t'as un tas
De trucs à régler de temps en temps t'aimerais
Prendre le temps de prendre le temps
Mais pour te réparer tu tournes, tu tournes au vice
Des petits délices tu broies du noir
Amère comme la réglisse
C'est bon sur le coup
C'est vrai c'est cool ça glisse
Et les matins froids à force ça coûte, ça glace
Et tu zig-, tu zig-, tu-tu zigzagues
Et tu di-, tu di-, tu-tu divagues
Ta vie en roue libre, le cerveau tourne comme une dynamo
Grandi le cynisme, il puise, diminue l'amour
Le pessimisme devient ton ossature
T'entoure comme un hula hoop
T'encercles comme Saturne
Et tes idées tournent en boucle
La valse du bouc
Ibliss se frotte les mains
Un nouveau dans le groupe
Gobe ton âme comme un oeuf
Ne reste que la coquille vide
T'es vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
[x2]
Et tu marches dans ta tête, ta tête comme un zonard
Et pour toi les soirs ne sont qu'des matinées
Grandi le cynisme, il puise, diminue l'amour
Le pessimisme devient ton ossature
T'entoure comme un hula hoop
T'encercles comme Saturne
Et tes idées tournent en boucle
La valse du bouc
Ibliss se frotte les mains
Un nouveau dans le groupe
Gobe ton âme comme un oeuf
Ne reste que la coquille vide
T'es vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
[x2]
Et tu marches dans ta tête, ta tête comme un zonard
Et pour toi les soirs ne sont qu'des matinées
Ça résonne dans ta tête, ta tête comme un sonar
À chaque fois que coulent les gouttes du robinet
T'es vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
À chaque fois que coulent les gouttes du robinet
T'es vide, t'es vide, t'es-t'es-t'es vide
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