Paroles de la chanson A L Aube par Djen Ka
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Paroles de la chanson A L Aube par Djen Ka
Dans la fraîcheur de l'aube
Ou sous la lune naissante
En ces heures où la mer nous enchante
Au sel qu'on déplore en ces lieux improbables
Quand les corps roulent sur le sable
Entre l'extase et l'agonie
Quand nos âmes sont dans l'ombre si belle
En nous naissent les insomnies
Autour de nous c'est le ciel
Refrain
Loin, loin des villes quitter la terre
On s'abreuve, on se prélasse
On guette cet instant où vient la lumière
Sans l'attendre on goûte le temps qui passe
Ou sous la lune naissante
En ces heures où la mer nous enchante
Au sel qu'on déplore en ces lieux improbables
Quand les corps roulent sur le sable
Entre l'extase et l'agonie
Quand nos âmes sont dans l'ombre si belle
En nous naissent les insomnies
Autour de nous c'est le ciel
Refrain
Loin, loin des villes quitter la terre
On s'abreuve, on se prélasse
On guette cet instant où vient la lumière
Sans l'attendre on goûte le temps qui passe
Bercés par ce presque rien qui
Ressemble à la plénitude et
Entre les silences et les cris
Avec le temps viennent les habitudes
Pont
Et si tu penses qu'on voit Dieu c'est sans doute
Qu'on est là haut dans les cieux sous la voûte
Vêtus de trois fois rien où s'enfuit-on
Sans Dior, sans Prada, sans Vuitton
Dans ce voyage à nu où voguent les licences
Où l'on s'offre sans résistance
En nous peu à peu s'élève le chant du cygne
Mais cette petite mort est digne
Le soleil sur nos peaux, la lumière sur nos peurs
Libèrent les goûts et sèment les odeurs
Ressemble à la plénitude et
Entre les silences et les cris
Avec le temps viennent les habitudes
Pont
Et si tu penses qu'on voit Dieu c'est sans doute
Qu'on est là haut dans les cieux sous la voûte
Vêtus de trois fois rien où s'enfuit-on
Sans Dior, sans Prada, sans Vuitton
Dans ce voyage à nu où voguent les licences
Où l'on s'offre sans résistance
En nous peu à peu s'élève le chant du cygne
Mais cette petite mort est digne
Le soleil sur nos peaux, la lumière sur nos peurs
Libèrent les goûts et sèment les odeurs
Nourrissent les rêves, invitent les fantasmes
A prendre vie en ce lieu en ces places
Que l'on réserve d'ordinaire pour le meilleur
J'étais une bête j'ai croisé « Belle du Seigneur »
Le Seigneur qu'est ce que c'est
Franchement j'en sais rien
C'est simplement ma tête qui se pose sur tes seins
C'est ton sourire un peu sage sous les réverbères
Tes larmes qui roulent quand tu croise la misère
C'est quelque chose de simple, de basique
Quand tu retournes le jardin pour un truc microscopique
Quand tu pleures ou que tu ries pour des peccadilles
A prendre vie en ce lieu en ces places
Que l'on réserve d'ordinaire pour le meilleur
J'étais une bête j'ai croisé « Belle du Seigneur »
Le Seigneur qu'est ce que c'est
Franchement j'en sais rien
C'est simplement ma tête qui se pose sur tes seins
C'est ton sourire un peu sage sous les réverbères
Tes larmes qui roulent quand tu croise la misère
C'est quelque chose de simple, de basique
Quand tu retournes le jardin pour un truc microscopique
Quand tu pleures ou que tu ries pour des peccadilles
Que tu passes en un geste de la femme à la petite fille
Et crois moi , y a rien de plus important que
Quand je suis là et que t'es là, juste devant
Et crois moi , y a rien de plus important que
Quand je suis là et que t'es là, juste devant
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