Paroles de la chanson Highlands par Dominique A
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Paroles de la chanson Highlands par Dominique A
Nous n'avions que quelques heures de jour devant nous
Que quelques heures de jour
Le brouillard s'en est saisi
S'emparant des lacs, des montagnes, et ne bougeant plus
Sous une voie ferrée, nous avons pris un chemin
Tenté l'ascension vers le 'Ben Vorlich'
Puis perdu le chemin derrière une barrière
Découragés par la tourbe
Nous sommes redescendus
Barre d’hôtels désuets, comme je les aime
Et toi, pas tant que ça
C'était ce qui restait
Que quelques heures de jour
Le brouillard s'en est saisi
S'emparant des lacs, des montagnes, et ne bougeant plus
Sous une voie ferrée, nous avons pris un chemin
Tenté l'ascension vers le 'Ben Vorlich'
Puis perdu le chemin derrière une barrière
Découragés par la tourbe
Nous sommes redescendus
Barre d’hôtels désuets, comme je les aime
Et toi, pas tant que ça
C'était ce qui restait
Photos d'avant sur les murs
Et vieux chants de Noël
Présence lointaine caressant la moquette
Et les banquettes usées
Je connais tant ces moments
Que je ne les vis plus
Comme si je m'en souvenais déjà
À la nuit tombée
Nous avons regardé le ciel enfin dégagé sur l'eau
On voyait les étoiles
Et je ne sais pas pourquoi
J'ai pensé à Robert Kirby
Mort quelques mois plus tôt dans l'indifférence
Lui qui avait pourtant fait les arrangements
Sur la plus belle chanson qui soit
Et vieux chants de Noël
Présence lointaine caressant la moquette
Et les banquettes usées
Je connais tant ces moments
Que je ne les vis plus
Comme si je m'en souvenais déjà
À la nuit tombée
Nous avons regardé le ciel enfin dégagé sur l'eau
On voyait les étoiles
Et je ne sais pas pourquoi
J'ai pensé à Robert Kirby
Mort quelques mois plus tôt dans l'indifférence
Lui qui avait pourtant fait les arrangements
Sur la plus belle chanson qui soit
'River Man' de Nick Drake
Comme quoi la grâce ne préserve pas de l'oubli
Puis nous avons longé les rangées de mobil-homes
Compté ceux qui étaient occupés
Et où clignotaient des guirlandes électriques
Des gens y passeraient Noël
Quand le train est arrivé le matin
Tu as crié de joie
Puis nous avons regardé le paysage, grandiose
Se dérouler derrière la vitre du train
Comme quoi la grâce ne préserve pas de l'oubli
Puis nous avons longé les rangées de mobil-homes
Compté ceux qui étaient occupés
Et où clignotaient des guirlandes électriques
Des gens y passeraient Noël
Quand le train est arrivé le matin
Tu as crié de joie
Puis nous avons regardé le paysage, grandiose
Se dérouler derrière la vitre du train
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