Paroles de la chanson Le Grand Silence Des Campagnes par Dominique A
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Paroles de la chanson Le Grand Silence Des Campagnes par Dominique A
Quand le grand silence des campagnes
Va-t-en savoir ce qui se trame
Il y a parfois un train qui passe
Dont le bruit très vite s’efface
Des pancartes et des numéros
Sont S-M-ER dans le village
Des anglais vivent dans l’école
Le bus prend les enfants très tôt
Dans le grand silence des campagnes
On n’se voit plus trop au cellier
A boire le cidre au même verre
Ou la bouteille de Perrier
Ou on avait mis l’eau de vie
Dont on ne comptait plus les degrés
Et qui sentait le fruit pourri, faisait croire à l’éternité
Va-t-en savoir ce qui se trame
Il y a parfois un train qui passe
Dont le bruit très vite s’efface
Des pancartes et des numéros
Sont S-M-ER dans le village
Des anglais vivent dans l’école
Le bus prend les enfants très tôt
Dans le grand silence des campagnes
On n’se voit plus trop au cellier
A boire le cidre au même verre
Ou la bouteille de Perrier
Ou on avait mis l’eau de vie
Dont on ne comptait plus les degrés
Et qui sentait le fruit pourri, faisait croire à l’éternité
Des gosses trainent autour de l’église
Qui ne compte plus que sur les arts
Pour rappeler à son souvenir
Ce pour qui l’enfer est ailleurs
Le clocher n’a plus la main mise
A part à l’heure de décompter
Celle ou celui qui est tombé
Finalement ou par traitrise
Dans le grand silence des campagnes
On en voit juste débarquer
Pour qui la ville était trop chère
Ou que la ville a rejeté
Ils s’engueulent avec le voisin
Qui a toujours vécu ici
A cause du chien dans le jardin
Ou de cris poussés dans la nuit
Dans le grand silence des campagnes
C’est dedans que tout a bougé
Qui ne compte plus que sur les arts
Pour rappeler à son souvenir
Ce pour qui l’enfer est ailleurs
Le clocher n’a plus la main mise
A part à l’heure de décompter
Celle ou celui qui est tombé
Finalement ou par traitrise
Dans le grand silence des campagnes
On en voit juste débarquer
Pour qui la ville était trop chère
Ou que la ville a rejeté
Ils s’engueulent avec le voisin
Qui a toujours vécu ici
A cause du chien dans le jardin
Ou de cris poussés dans la nuit
Dans le grand silence des campagnes
C’est dedans que tout a bougé
Dehors ce sont les mêmes arbres
La même odeur de foin l’été
Mais dedans c’est tout comme en ville
Les mêmes écrans allumés
Et ce grand sentiment de vide
Et la peur de l’humanité
Des fougères bouchent le chemin
Que les troupeaux avait creusé
Traçant une double éraflure
Que rien ne devait effacer
Oh mais voilà une ouverture, une allée bordée de bouleaux
Je m’avance au-devant des pièges
Qu’enfant j’avais posé très tôt
La même odeur de foin l’été
Mais dedans c’est tout comme en ville
Les mêmes écrans allumés
Et ce grand sentiment de vide
Et la peur de l’humanité
Des fougères bouchent le chemin
Que les troupeaux avait creusé
Traçant une double éraflure
Que rien ne devait effacer
Oh mais voilà une ouverture, une allée bordée de bouleaux
Je m’avance au-devant des pièges
Qu’enfant j’avais posé très tôt
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