Paroles de la chanson Oiseau mort par Dooz Kawa
Chanson manquante pour "Dooz Kawa" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Oiseau mort"
Proposer une correction des paroles de "Oiseau mort"
Paroles de la chanson Oiseau mort par Dooz Kawa
J'porte un oiseau mort en moi qui chantait comme des marines, marre
Découvert à marée basse par les pêcheurs d'la marina mon radeau de naufragé
Resté amarré au vice alors qu'elle elle reposait sur deux trois fleurs d'amaryllis
Depuis que j'ai trahi vos lois en l'abattant comme une volaille, il plane au dessus de moi l'ombre d'un dragon
Hokusai, mes yeux vomissent des gouttes car mon regard est saoulé
L'avenir est flou puisque j'ouvre les yeux sous l'eau
Il parait que je deviens austère à l'aurore et rose et pâle
Que j'ai pris la grosse tête comme un bébé hydrocéphale
Découvert à marée basse par les pêcheurs d'la marina mon radeau de naufragé
Resté amarré au vice alors qu'elle elle reposait sur deux trois fleurs d'amaryllis
Depuis que j'ai trahi vos lois en l'abattant comme une volaille, il plane au dessus de moi l'ombre d'un dragon
Hokusai, mes yeux vomissent des gouttes car mon regard est saoulé
L'avenir est flou puisque j'ouvre les yeux sous l'eau
Il parait que je deviens austère à l'aurore et rose et pâle
Que j'ai pris la grosse tête comme un bébé hydrocéphale
L'histoire serait trop longue alors bon je vous l'annonce ainsi
J'ai tué une colombe rue de l'Annonciation
J'porte un oiseau mort en moi dans la brouette de mon vécu
A qui j'ai coupé la tête pour qu'il ne me quitte jamais plus
Mais c'est mes plumes arrachées quand j'nourris mon faucon j'suis le cormoran attaché
Au gibet de mon faucon, un corbeau danse sur ma porte c'est mon corps que j'ai broyé
Le cadavre que je transporte n'est pas celui que je croyais
Tu sais, depuis tout p'tit poussin, qu'on me dise que je vaux rien
J'ai fini par le croire, j'fais du rap pour les vauriens
J'ai tué une colombe rue de l'Annonciation
J'porte un oiseau mort en moi dans la brouette de mon vécu
A qui j'ai coupé la tête pour qu'il ne me quitte jamais plus
Mais c'est mes plumes arrachées quand j'nourris mon faucon j'suis le cormoran attaché
Au gibet de mon faucon, un corbeau danse sur ma porte c'est mon corps que j'ai broyé
Le cadavre que je transporte n'est pas celui que je croyais
Tu sais, depuis tout p'tit poussin, qu'on me dise que je vaux rien
J'ai fini par le croire, j'fais du rap pour les vauriens
Je vise pas le bonheur seulement le niveau rien
J'ai arrêté de réfléchir et puis après on verra bien
Mais faut pas faire de peine aux fleurs car à peine on les effleure elles meurent et renaissent ailleurs
Sur son piaillement de métronome c'est le rythme du métro nord
J'ai tué une hirondelle parce que je l'aimais trop fort
J'porte un oiseau mort en moi, parfois j'oublie, j'crois qu'il dort
Mais il s'agit que du vent qui agite son duvet d'or
Qui m'a rendu si heureux mais tellement destructeur
J'ai arrêté de réfléchir et puis après on verra bien
Mais faut pas faire de peine aux fleurs car à peine on les effleure elles meurent et renaissent ailleurs
Sur son piaillement de métronome c'est le rythme du métro nord
J'ai tué une hirondelle parce que je l'aimais trop fort
J'porte un oiseau mort en moi, parfois j'oublie, j'crois qu'il dort
Mais il s'agit que du vent qui agite son duvet d'or
Qui m'a rendu si heureux mais tellement destructeur
Tellement drogué de ses yeux que mon moi se déstructure
Bonjour le vide et le néant et des amis toujours aimant
Je reviens enfin prendre ma place et plane au milieu des méandres
Des averses, des orages, je retraverse les nuages et retourne en bas des tours, le berceau de la rage
Les a-pocalypses d'Ezechiel dans mon coeur de nomade
Pour protéger ses ailes j'étais chasseur de tornade
De son nid perché sur les cimes elle m'a pas trop fait de place
Le mépris des phrases assassines j'étais qu'un trophée de chasse
Car à force d'ouvrir mon coeur j'avais peur qu'il n'revienne plus
Bonjour le vide et le néant et des amis toujours aimant
Je reviens enfin prendre ma place et plane au milieu des méandres
Des averses, des orages, je retraverse les nuages et retourne en bas des tours, le berceau de la rage
Les a-pocalypses d'Ezechiel dans mon coeur de nomade
Pour protéger ses ailes j'étais chasseur de tornade
De son nid perché sur les cimes elle m'a pas trop fait de place
Le mépris des phrases assassines j'étais qu'un trophée de chasse
Car à force d'ouvrir mon coeur j'avais peur qu'il n'revienne plus
J'ai étranglé l'oiseau moqueur et balayé ses plumes
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)