Paroles de la chanson Authentik par Dry
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Paroles de la chanson Authentik par Dry
Ici le respect ne s'achète pas
Neuf quatre mille raisons de vouloir ma mort
J'ai vu la fin dans l'œil du Beretta
Mais mon âme n'a toujours pas quitté mon corps
J'ai cherché ma voix, ça du sud au nord; trainé du 20ième au quartier nord
J'ai des frères et des frères écroués décédés, leurs courages étaient leurs tords
Trop vu de gros bras se faire détailler
Couper, enterrer, faut être embrouillé
Doigt sur la gachette, j'en ai fait mouiller
Que des hommes fontaines quand ça vient les douiller
D'euros à 11, les compteurs à zéro-ro
Les euros, ça vient par milliers
Maintenant c'est sur les gorges qu'on fait des carreaux-reaux
Neuf quatre mille raisons de vouloir ma mort
J'ai vu la fin dans l'œil du Beretta
Mais mon âme n'a toujours pas quitté mon corps
J'ai cherché ma voix, ça du sud au nord; trainé du 20ième au quartier nord
J'ai des frères et des frères écroués décédés, leurs courages étaient leurs tords
Trop vu de gros bras se faire détailler
Couper, enterrer, faut être embrouillé
Doigt sur la gachette, j'en ai fait mouiller
Que des hommes fontaines quand ça vient les douiller
D'euros à 11, les compteurs à zéro-ro
Les euros, ça vient par milliers
Maintenant c'est sur les gorges qu'on fait des carreaux-reaux
Les kho tuent moins que les billets, authentique
Moi j'ai voulu dealer, faire du sale
La rue ne m'a offert que des funérailles
Moi j'ai voulu rimer, faire la maille
Mais la vie m'a fait chuter de mon pied d'estale
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Cent ennemis sur le carrenage
J'avance intouchable un peu comme un carritas
Je me sens à l'aise comme Néo dans la tise, même quand il s'agit de fouler les favelas
Si t'as des couilles, y'a du parrainage
Un gros big-up à mes frères incarcérés
La mort ou la prison notre héritage
Moi j'ai voulu dealer, faire du sale
La rue ne m'a offert que des funérailles
Moi j'ai voulu rimer, faire la maille
Mais la vie m'a fait chuter de mon pied d'estale
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Cent ennemis sur le carrenage
J'avance intouchable un peu comme un carritas
Je me sens à l'aise comme Néo dans la tise, même quand il s'agit de fouler les favelas
Si t'as des couilles, y'a du parrainage
Un gros big-up à mes frères incarcérés
La mort ou la prison notre héritage
Car les balances pèsent et ne cessent d'opérer
En enfer on se verra, là-bas tout se paiera
La note sera salée comme le sale qu'on a fait
Dans nos vies pas de miracles, on souffre comme en Irak
Pour une go, un regard contour à la craie
C'est vrai que la chronique on effraie-fraie
Ça même les jours de décès
La mentale des anciens n'a plus d'effet
Ouais car ici plus rien ne nous effraie, authentique
Moi j'ai voulu dealer, faire du sale
La rue ne m'a offert que des funérailles
Moi j'ai voulu rimer, faire la maille
Mais la vie m'a fait chuter de mon pied d'estale
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
En enfer on se verra, là-bas tout se paiera
La note sera salée comme le sale qu'on a fait
Dans nos vies pas de miracles, on souffre comme en Irak
Pour une go, un regard contour à la craie
C'est vrai que la chronique on effraie-fraie
Ça même les jours de décès
La mentale des anciens n'a plus d'effet
Ouais car ici plus rien ne nous effraie, authentique
Moi j'ai voulu dealer, faire du sale
La rue ne m'a offert que des funérailles
Moi j'ai voulu rimer, faire la maille
Mais la vie m'a fait chuter de mon pied d'estale
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Je suis né dans la douleur, grandi dans l'horreur
Donc face à la vie, moi j'ai mis les gants
Ils disent que ma couleur, synonyme de malheur
Sans valeur la vie d'une peau black élégant
J'ai couché des mecs gantés, fuck des condés
Pour des K.O, j'suis toujours dans les temps
Et si ça dégénère, on déterre la hache
On ne laisse pas de trace sur ton corps dans les temps
Je crois qu'il est temps de fuir le ciment sous les draps à mes mômes
Ne pas voir les miens faire l'aumône, voir mon fils rêver de trône
Dans nos ruelles en tirant sur un condé
Je suis né dans la douleur, grandi dans l'horreur
Donc face à la vie, moi j'ai mis les gants
Ils disent que ma couleur, synonyme de malheur
Sans valeur la vie d'une peau black élégant
J'ai couché des mecs gantés, fuck des condés
Pour des K.O, j'suis toujours dans les temps
Et si ça dégénère, on déterre la hache
On ne laisse pas de trace sur ton corps dans les temps
Je crois qu'il est temps de fuir le ciment sous les draps à mes mômes
Ne pas voir les miens faire l'aumône, voir mon fils rêver de trône
Dans nos ruelles en tirant sur un condé
Toi tu veux ma vie oui, mais dit de Orly Levy
Pour la survie j'ai dû payer le prix, fuis si t'as pas les couilles de Tony, authentique
Moi j'ai voulu dealer, faire du sale
La rue ne m'a offert que des funérailles
Moi j'ai voulu rimer, faire la maille
Mais la vie m'a fait chuter de mon pied d'estale
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Pour la survie j'ai dû payer le prix, fuis si t'as pas les couilles de Tony, authentique
Moi j'ai voulu dealer, faire du sale
La rue ne m'a offert que des funérailles
Moi j'ai voulu rimer, faire la maille
Mais la vie m'a fait chuter de mon pied d'estale
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
Mais je suis resté authentique, authentique, authentique
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