Paroles de la chanson Le Temps qui passe par Dry
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Paroles de la chanson Le Temps qui passe par Dry
[Vitaa]
Je viens te parler du temps qui passe
Des liens qui cassent, le cœur se lasse
Oh tu me disais "il faut qu’on face
Nos vies, qu’on trace"
L’idée m’angoisse
Je viens te parler des choses qui fâchent
On se détache, le temps qu’on gâche
À regretter le passé, j’ai peur de tout manquer
De passer à côté
Je viens te parler du temps (qui passe)
[Dry]
Je n’ai pas vu le temps passer mais j’ai vu pousser mes rides
Je viens te parler du temps qui passe
Des liens qui cassent, le cœur se lasse
Oh tu me disais "il faut qu’on face
Nos vies, qu’on trace"
L’idée m’angoisse
Je viens te parler des choses qui fâchent
On se détache, le temps qu’on gâche
À regretter le passé, j’ai peur de tout manquer
De passer à côté
Je viens te parler du temps (qui passe)
[Dry]
Je n’ai pas vu le temps passer mais j’ai vu pousser mes rides
Cherchant des oasis dans des déserts arides
À trop guetter dans le retro j’ai perdu le fil
À en faire disparaitre l’amour un peu comme Copperfield
J’vois qu’au fil des nuits mes insomnies t’insupportent
Tu suffoques mais supportes quand claquent les portes
J’ai plus les idées claires à respirer dans la brume
Y’a que dans des nuages de fumée que j’y vois des claires de lunes
Yeah, au-dessus de ma dune
J’ai vu c’que l’homme était prêt à faire pour des thunes
Très peu d’études, pourtant j’ai eu l’choix
Entre les profs et la rue peux-tu trouver un peu de foi
À trop guetter dans le retro j’ai perdu le fil
À en faire disparaitre l’amour un peu comme Copperfield
J’vois qu’au fil des nuits mes insomnies t’insupportent
Tu suffoques mais supportes quand claquent les portes
J’ai plus les idées claires à respirer dans la brume
Y’a que dans des nuages de fumée que j’y vois des claires de lunes
Yeah, au-dessus de ma dune
J’ai vu c’que l’homme était prêt à faire pour des thunes
Très peu d’études, pourtant j’ai eu l’choix
Entre les profs et la rue peux-tu trouver un peu de foi
Mais toutefois j’ai du cœur délicat un peu séducteur éduqué
J'ai compris tes peurs et t'aimer
Pour moi c’est le cas mais
J'suis aveugle comme un camé
Dans ma vie décalée
À croire que finalement j’ai pas fait tout ce qu'il fallait
[Vitaa]
Je viens te parler du temps qui passe
Des liens qui cassent, le cœur se lasse
Oh tu me disais "il faut qu’on face
Nos vies, qu’on trace"
L’idée m’angoisse
Je viens te parler des choses qui fâchent
On se détache, le temps qu’on gâche
À regretter le passé, j’ai peur de tout manquer
J'ai compris tes peurs et t'aimer
Pour moi c’est le cas mais
J'suis aveugle comme un camé
Dans ma vie décalée
À croire que finalement j’ai pas fait tout ce qu'il fallait
[Vitaa]
Je viens te parler du temps qui passe
Des liens qui cassent, le cœur se lasse
Oh tu me disais "il faut qu’on face
Nos vies, qu’on trace"
L’idée m’angoisse
Je viens te parler des choses qui fâchent
On se détache, le temps qu’on gâche
À regretter le passé, j’ai peur de tout manquer
De passer à côté
[Dry]
C’est à travers tes yeux que l’amour m’a fait un signe
Car les bonhommes ne causent que la langue des signes
Du temps j’perds, je t’observe
Ton regard de glace me renvoie le mal que j’t’assène
Et le ciel gronde, veut faire chavirer ma barque
À croire que Cupidon s’est empalé avec son arc
À bout de souffle, notre relation manque d’oxygène
Forcément quand ça dérape, c’est l’un ou l’autre qui gène
J’en garderai que des souvenirs, des bons, des mauvais
[Dry]
C’est à travers tes yeux que l’amour m’a fait un signe
Car les bonhommes ne causent que la langue des signes
Du temps j’perds, je t’observe
Ton regard de glace me renvoie le mal que j’t’assène
Et le ciel gronde, veut faire chavirer ma barque
À croire que Cupidon s’est empalé avec son arc
À bout de souffle, notre relation manque d’oxygène
Forcément quand ça dérape, c’est l’un ou l’autre qui gène
J’en garderai que des souvenirs, des bons, des mauvais
Au fond s’qui m’plaisait, c’était ta façon de m’aimer
Même pas le temps de crier "Mayday !"
Que tu rappliques pour m’aider pour moi plaider
Je tombe, tu m’relèves, estompe mes colères
Pour toi c’est sommaire, ça joue sur ton sommeil
Ce qu’on a fait a donné raison à notre entourage
À construire un bateau sans tenir compte du naufrage
[Vitaa]
Je viens te parler du temps qui passe
Des liens qui cassent, le cœur se lasse
Oh tu me disais "il faut qu’on face
Nos vies, qu’on trace"
L’idée m’angoisse
Même pas le temps de crier "Mayday !"
Que tu rappliques pour m’aider pour moi plaider
Je tombe, tu m’relèves, estompe mes colères
Pour toi c’est sommaire, ça joue sur ton sommeil
Ce qu’on a fait a donné raison à notre entourage
À construire un bateau sans tenir compte du naufrage
[Vitaa]
Je viens te parler du temps qui passe
Des liens qui cassent, le cœur se lasse
Oh tu me disais "il faut qu’on face
Nos vies, qu’on trace"
L’idée m’angoisse
Je viens te parler des choses qui fâchent
On se détache, le temps qu’on gâche
À regretter le passé, j’ai peur de tout manquer
De passer à côté
On se détache, le temps qu’on gâche
À regretter le passé, j’ai peur de tout manquer
De passer à côté
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