Paroles de la chanson Chaines par Dub Inc
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Paroles de la chanson Chaines par Dub Inc
Chaînes
Et le sang coule noir comme mon sang sur cette feuille blanche je trace, toujours plus haut
Avec l'encre de ma peine l'histoire de nos pères qui reste en nous si tenace avec mes mots
Ce qui s'est passé, se passe
reste bien plus grave que la basse,
L'image de l'esclave, tu vois, jamais ne s'efface,
Traité comme du bétail, non ce ne fut pas un détail,
Et nos souvenirs restent au large.
Tous ces pères que l'on a tués, toutes ces mères qui furent massacrées
Et le sang coule noir comme mon sang sur cette feuille blanche je trace, toujours plus haut
Avec l'encre de ma peine l'histoire de nos pères qui reste en nous si tenace avec mes mots
Ce qui s'est passé, se passe
reste bien plus grave que la basse,
L'image de l'esclave, tu vois, jamais ne s'efface,
Traité comme du bétail, non ce ne fut pas un détail,
Et nos souvenirs restent au large.
Tous ces pères que l'on a tués, toutes ces mères qui furent massacrées
Tous ces enfants assassinés puis tous leurs corps qu'on a jetés à la mer
Tous leurs enfants assassinés puis tous leurs corps qu'on a jetés à la mer
Cette souffrance je tiens à la rappeler car c'est clair,
A l'école on nous a si peu parlé
De tous nos ancêtres qui ont vendu ou l'ont été,
De tous ces bateaux qui partaient jamais ne revenaient,
Des humiliations, sévices et du bruit des fouets,
L'homme est un loup pour l'homme !
Tant de génocides, qui ont tant duré
Ce fut si rapide, pour tant d'homme de l'oublier.
Nos larmes restent acides, quatre cents ans ont tant blessé
Tous leurs enfants assassinés puis tous leurs corps qu'on a jetés à la mer
Cette souffrance je tiens à la rappeler car c'est clair,
A l'école on nous a si peu parlé
De tous nos ancêtres qui ont vendu ou l'ont été,
De tous ces bateaux qui partaient jamais ne revenaient,
Des humiliations, sévices et du bruit des fouets,
L'homme est un loup pour l'homme !
Tant de génocides, qui ont tant duré
Ce fut si rapide, pour tant d'homme de l'oublier.
Nos larmes restent acides, quatre cents ans ont tant blessé
Mon âme que je vide, pour pouvoir mieux t'expliquer
Le sang coule noir comme mon sang sur cette feuille blanche je trace, toujours plus haut
Avec l'encre de ma peine l'histoire de nos pères qui reste en nous si tenace avec mes mots
Ce qui s'est passé, se passe
reste bien plus grave que la basse,
L'image de l'esclave, tu vois, jamais ne s'efface,
Traité comme du bétail, non ce ne fut pas un détail,
Et nos souvenirs restent au large.
Pas la peine de se cacher derrière ces guerres,
Car l' occident créait ces monstres bien avant Bush ou Hitler.
Le sang coule noir comme mon sang sur cette feuille blanche je trace, toujours plus haut
Avec l'encre de ma peine l'histoire de nos pères qui reste en nous si tenace avec mes mots
Ce qui s'est passé, se passe
reste bien plus grave que la basse,
L'image de l'esclave, tu vois, jamais ne s'efface,
Traité comme du bétail, non ce ne fut pas un détail,
Et nos souvenirs restent au large.
Pas la peine de se cacher derrière ces guerres,
Car l' occident créait ces monstres bien avant Bush ou Hitler.
Ils parlaient de paradis, ils ont amené l'enfer,
colons inquisiteurs comme tous leurs missionnaires,
Toutes ces familles que l'on a déchirées
Toutes ces ethnies que l'on a déportées
Générations entières que l'on a voulu effacer
C'est le continent entier qu'ils ont maltraité.
Cette moitié de l'histoire qui n'est jamais contée,
c'est ce qui nourrit mon art et j'y trouve mon identité,
constate le mépris pour l'homme noir, toutes ces inégalités,
redonnons de l'espoir í ces âmes attristées
Et le sang coule noir comme mon sang sur cette feuille blanche je trace, toujours plus haut
Avec l'encre de ma peine l'histoire de nos pères qui reste en nous si tenace avec mes mots
colons inquisiteurs comme tous leurs missionnaires,
Toutes ces familles que l'on a déchirées
Toutes ces ethnies que l'on a déportées
Générations entières que l'on a voulu effacer
C'est le continent entier qu'ils ont maltraité.
Cette moitié de l'histoire qui n'est jamais contée,
c'est ce qui nourrit mon art et j'y trouve mon identité,
constate le mépris pour l'homme noir, toutes ces inégalités,
redonnons de l'espoir í ces âmes attristées
Et le sang coule noir comme mon sang sur cette feuille blanche je trace, toujours plus haut
Avec l'encre de ma peine l'histoire de nos pères qui reste en nous si tenace avec mes mots
Ce qui s'est passé, se passe
reste bien plus grave que la basse,
L'image de l'esclave, tu vois, jamais ne s'efface,
Traité comme du bétail, non ce ne fut pas un détail,
Et nos souvenirs restent au large.
Souviens-toi de ces crimes, so african children !
Mais si tu ne me crois pas, va voir de Gorée à Ouidah
tous les comptoirs qu'il y a,
Le peuple pardonnera mais n'oubliera pas
Et il nous parle encore du fric que l'Afrique leur doit.
L'exploitation n'a jamais cessé
pour beaucoup de pays la liberté doit être chèrement payée.
reste bien plus grave que la basse,
L'image de l'esclave, tu vois, jamais ne s'efface,
Traité comme du bétail, non ce ne fut pas un détail,
Et nos souvenirs restent au large.
Souviens-toi de ces crimes, so african children !
Mais si tu ne me crois pas, va voir de Gorée à Ouidah
tous les comptoirs qu'il y a,
Le peuple pardonnera mais n'oubliera pas
Et il nous parle encore du fric que l'Afrique leur doit.
L'exploitation n'a jamais cessé
pour beaucoup de pays la liberté doit être chèrement payée.
En plus tant de mémoires qui restent brisées,
On a tué tant d' anciens sans même vouloir s'excuser,
C'est notre héritage, qu'on revient faire briller
comme de l'or
Tout cet or qu'ils ont volé,
Pour tourner la page je reviens rendre hommage í ces morts,
Qu'ils ne soient jamais oubliés.
Et le sang coule noir comme mon sang sur cette feuille blanche je trace, toujours plus haut
Avec l'encre de ma peine l'histoire de nos pères qui reste en nous si tenace avec mes mots
Ce qui s'est passé, se passe
reste bien plus grave que la basse,
L'image de l'esclave, tu vois, jamais ne s'efface,
On a tué tant d' anciens sans même vouloir s'excuser,
C'est notre héritage, qu'on revient faire briller
comme de l'or
Tout cet or qu'ils ont volé,
Pour tourner la page je reviens rendre hommage í ces morts,
Qu'ils ne soient jamais oubliés.
Et le sang coule noir comme mon sang sur cette feuille blanche je trace, toujours plus haut
Avec l'encre de ma peine l'histoire de nos pères qui reste en nous si tenace avec mes mots
Ce qui s'est passé, se passe
reste bien plus grave que la basse,
L'image de l'esclave, tu vois, jamais ne s'efface,
Traité comme du bétail, non ce ne fut pas un détail,
Et nos souvenirs restent au large.
Et nos souvenirs restent au large.
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