Paroles de la chanson Aurore par Elia
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Paroles de la chanson Aurore par Elia
Voici l’heure où les cils ne font qu’un trait.
Corps entrelacés, d’autres esseulés.?
A l’heure où les esquisses et les secrets
marquent les visages – à dix-huit ans d’âge.
Quand la lumière s’étire encore,
tant que le vent porte mon sort,
tu souris sans détour.
Un amoureux venu des morts
s’est mis à danser et mes pas
l’ont suivi sans retour.
Embrasse l’aube un peu,
embrasse l’aube de tes cheveux.
Corps entrelacés, d’autres esseulés.?
A l’heure où les esquisses et les secrets
marquent les visages – à dix-huit ans d’âge.
Quand la lumière s’étire encore,
tant que le vent porte mon sort,
tu souris sans détour.
Un amoureux venu des morts
s’est mis à danser et mes pas
l’ont suivi sans retour.
Embrasse l’aube un peu,
embrasse l’aube de tes cheveux.
Lâche les chevaux de ton désir
- le vent se lève.
Quitte à laisser ton dernier soupir
accueille l’élan de l’aube,
du haut de tes lèvres
– Accueille l’aurore !
et la courbe de nos corps.
Voici l’heure où la ville est en retrait.
Pas un bruit dehors. Une feuille dort.
Où sont passées les failles de ces noms,
près de ton visage, collé au virage ?
Quand la lumière s’étire encore,
tant que le vent porte mon sort,
je te suis sans retour.?
Quand ta main s’ouvre et me découvre,
je vois la beauté de tes liens
- le vent se lève.
Quitte à laisser ton dernier soupir
accueille l’élan de l’aube,
du haut de tes lèvres
– Accueille l’aurore !
et la courbe de nos corps.
Voici l’heure où la ville est en retrait.
Pas un bruit dehors. Une feuille dort.
Où sont passées les failles de ces noms,
près de ton visage, collé au virage ?
Quand la lumière s’étire encore,
tant que le vent porte mon sort,
je te suis sans retour.?
Quand ta main s’ouvre et me découvre,
je vois la beauté de tes liens
- nous, nos gestes, bercent le jour.
Parle moi de tes rêves.
Parle moi tant que la nuit est brève.
Parle moi sans compter la mesure de chaque phrase.
Quitte à laisser ton dernier soupir
accueille l’élan de l’aube, du haut de tes lèvres
– Accueille l’aurore !
et la courbe de nos corps.
Qui aurait cru qu’un seul regard,
pouvait soulever des millions de pluies,
des lambeaux de mots où plus rien n’est rare ?
Qui m’aurait crue tourner de joie,
à l’heure où personne ne peut nous voir ?
Parle moi de tes rêves.
Parle moi tant que la nuit est brève.
Parle moi sans compter la mesure de chaque phrase.
Quitte à laisser ton dernier soupir
accueille l’élan de l’aube, du haut de tes lèvres
– Accueille l’aurore !
et la courbe de nos corps.
Qui aurait cru qu’un seul regard,
pouvait soulever des millions de pluies,
des lambeaux de mots où plus rien n’est rare ?
Qui m’aurait crue tourner de joie,
à l’heure où personne ne peut nous voir ?
comme une enfant sur le trottoir.
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