Paroles de la chanson Come fossimo cowboy (Traduction) par Emis Killa

Come fossimo cowboy (Traduction) Paroles originales du titre
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Paroles de la chanson Come fossimo cowboy (Traduction) par Emis Killa

Ce soir, la ville semble nous regarder par-dessus les grues
Le ciel est un voile de pois blanc et bleu
Dis-moi quelle partie de la lune t'appartient
Celle qui est toujours sombre ou celle qui se voit bien ?
Les rues ressemblent à la piste de danse de Dieu
D'un côté, il y a toi ; de l'autre, moi
Qui réfléchis à un moyen pour que tu sois à moi
Avant qu'ils rallument les lumières pour nous faire partir
Je n'arrive pas à dormir
Comment tu vas ? Je n'ai pas envie de sortir
Si la nuit ne passe pas, où est-ce qu'on va ?
On va rester seuls, comment on fait ?
J'entendais ta voix d'ici
Peut-être que ça devait se passer ainsi
Et on ne change pas d'avis
La nuit est descendue, mais encore je te vois

Et tu t'éloignes ; moi, je demeure en dehors du monde, sans clefs
Si je commence demain à me mettre les idées en place
Ce soir, on traîne dans les rues, comme si on était des cowboys
Parce que les lois valent pour tous, sauf nous

L'aiguille (de la montre) a fait un autre tour, je suis encore ici
Je n'ai pas de problèmes avec les rêves, mais avec le sommeil, si
Toi, en revanche, tu sais avec qui
Dans ma tête résonne ta voix
Alors que tout est silencieux chez moi
Seule parle la télé ; bébé, viens ici
Je descends ou bien tu montes
Plutôt que de verser des larmes ?
Nos deux silhouettes devraient s'entremêler
Sous ces lampadaires allumés
Et se projeter sur un mur comme des ombres chinoises
Et si on se sent mal
Peu importe qui en est la cause
La nuit, tout est pareil, on ne change jamais de couleur
À quoi ça sert à présent de s'entourer de gens
Qui anesthésient les heures, mais pas la douleur ?
On devrait faire la paix ; si je le pouvais, je le ferais
Parce qu'il n'y a plus de lumière, je ne vois plus où tu es
Quand je t'ai dit de ne jamais faire confiance
C'était stupide, j'aurais dû m'occuper de mes affaires

Et tu veux commencer une toute nouvelle vie
Si tu veux oublier celle d'avant
Et tu me crois fou, peut-être que tu as raison
Mais ces matins, comme des briques, sont pesants
Comme avant le Big Bang, je voudrais arrêter le temps
À cet instant précis où tu viens chez moi
Et ne change pas d'avis
Maintenant qu'il fait jour et qu'enfin je te vois

Et tu t'éloignes ; moi, je demeure en dehors du monde, sans clefs
Si je commence demain à me mettre les idées en place
Ce soir, on traîne dans les rues, comme si on était des cowboys
Parce que les lois valent pour tous, sauf nous

Pour tous, sauf nous, oh-oh-oh-oh-ohi
Pour tous, sauf nous, oh-oh-oh-oh-ohi
Pour tous, sauf nous, oh-oh-oh-oh-ohi
Pour tous, sauf nous

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