Paroles de la chanson Ce Fameux Hall par Empati
Auteurs: Olivier Geai
Compositeurs: Jean-Sully Ledermann
Editeurs: Lalouline Editions
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Paroles de la chanson Ce Fameux Hall par Empati
Moi, moi j’y étais déja dans ce hall.
Il faisait sombre, au fin fond du lieu on y apercevait des ombres.
Brassard orange du policier, il nous disaient etre la pour un simple controle d’identité.
Veste en cuir ou en jean, ils avaient semble t’il rangés leur bienvaillance, qui apparemment, devait etre une de leur carence.
Aucuns sourires, quelques soupirs, c’est vrai, la situation ne portait pas forcément à rire.
Pour savoir qui l’on étaient, ça a commencé par une fouille au corps, pourtant, aucuns rapports.
De toutes façons, leur avis était déja tout fait, ils ne cachaient pas cela comme un secret.
Jeune, hall, casquette, ils nous avaient déja bien identifiés, comme de simples betes à arreter.
Il faisait sombre, au fin fond du lieu on y apercevait des ombres.
Brassard orange du policier, il nous disaient etre la pour un simple controle d’identité.
Veste en cuir ou en jean, ils avaient semble t’il rangés leur bienvaillance, qui apparemment, devait etre une de leur carence.
Aucuns sourires, quelques soupirs, c’est vrai, la situation ne portait pas forcément à rire.
Pour savoir qui l’on étaient, ça a commencé par une fouille au corps, pourtant, aucuns rapports.
De toutes façons, leur avis était déja tout fait, ils ne cachaient pas cela comme un secret.
Jeune, hall, casquette, ils nous avaient déja bien identifiés, comme de simples betes à arreter.
Nous ne répondions pas à leurs questions, et ouais, nous n’étions pas forcément les plus cons.
On savaient bien que cela risquait d’engendrer l’éffraction.
C’est quand meme grave de s’imaginer qu’un simple mot risquait de nous faire incarcérer, pendant que d’autres s’amusent à détourner des millions, sans jamais passer par la case prison.
Deuxième endroit, la soirée continuait, nous n’avions pas encore oubliés le premier épisode de l’excès.
La musique était forte, le son grimpait tel une cagnotte.
Une douzaine enfermés dans un appartement, la fete était là, avec tout ses sentiments.
D’un coup, la sonnette hurla pour faire cesser cet amusement.
On savaient bien que cela risquait d’engendrer l’éffraction.
C’est quand meme grave de s’imaginer qu’un simple mot risquait de nous faire incarcérer, pendant que d’autres s’amusent à détourner des millions, sans jamais passer par la case prison.
Deuxième endroit, la soirée continuait, nous n’avions pas encore oubliés le premier épisode de l’excès.
La musique était forte, le son grimpait tel une cagnotte.
Une douzaine enfermés dans un appartement, la fete était là, avec tout ses sentiments.
D’un coup, la sonnette hurla pour faire cesser cet amusement.
Plusieurs personnes apparaissèrent alors avec leur déguisement.
Ils étaient là tel des chauves-souris, aveuglés pour arreter à envies.
Certes, nous avions quelques grammes d’alcoolémie, mais rien de bien grave, puisque nous décidions de dire que nous restions tous ici.
Nouveau control, nouvelles questions, ma gorge se serrait pour éviter tout mot synonime de poison.
Les policiers nous demandèrent pourquoi tant de bruit, on leur expliqua que c’était simplement pour feter un ami.
Leur expression violente était comme des flashball, que nous laissions couler sur nos épaules.
On se regarda, on se serra les coudes, personne ne devait exploser, sous peine de ce retrouver dans l’illégalité.
Ils étaient là tel des chauves-souris, aveuglés pour arreter à envies.
Certes, nous avions quelques grammes d’alcoolémie, mais rien de bien grave, puisque nous décidions de dire que nous restions tous ici.
Nouveau control, nouvelles questions, ma gorge se serrait pour éviter tout mot synonime de poison.
Les policiers nous demandèrent pourquoi tant de bruit, on leur expliqua que c’était simplement pour feter un ami.
Leur expression violente était comme des flashball, que nous laissions couler sur nos épaules.
On se regarda, on se serra les coudes, personne ne devait exploser, sous peine de ce retrouver dans l’illégalité.
Ils finissèrent par repartir, le dernier flic se retourna, il voulait savoir, le pourquoi exacte de ce rassemblement de délinquant.
Un de nous le regarda en répliquant, ne peut on simplement feter, sans avoir besoin perpétuellement de ce justifier, et d’affronter vos préjugés ?
Un de nous le regarda en répliquant, ne peut on simplement feter, sans avoir besoin perpétuellement de ce justifier, et d’affronter vos préjugés ?
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