Paroles de la chanson Cent Mille étoiles par Emren Jezed
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Paroles de la chanson Cent Mille étoiles par Emren Jezed
[EMREN JEZED]
Sur une grande feuille noire
J'ai dessiné cent mille étoiles
Et, au milieu, un long couloir
Allant à l'envers de ce voile
Et la feuille ainsi mise à nue
Dévoile un multivers immense
De beaux visages bien connus
Des souvenirs d'adolescence
Je passerais une éternité
A contempler ces douces puissances
De l’une à l'autre vanité
Les laisser caresser mes sens, Ah
Je chante un rêve torturé
Le temps d'une dernière danse
Avec les ombres capturées
De mes révolues imprudences
[EMREN JEZED]
La dernière étoile à naître lui ressemble
Cette femme à qui j'ai brisé le cœur
Elle me disait qu'on était fait pour vivre ensemble
Le lendemain c'était "dégage !" et doigts d'honneur
La dernière étoile à naître lui ressemble
Cette femme à qui j'ai brisé le cœur
Elle me disait qu'on était fait pour vivre ensemble
Le lendemain c'était "dégage !" et doigts d'honneur
[EMREN JEZED]
Et poussé par le vide
La nuit me réconforte
La nuit me murmure à l'oreille
Des phrases belles
Sur un astéroïde
Je deviens fleur de sable
Je deviens rose noire
Aux amours immortelles
Et poussé par le vide
La nuit me réconforte
La nuit me murmure à l'oreille
Des phrases belles
Sur un astéroïde
Je deviens fleur de sable
Je deviens rose noire
Aux amours immortelles
[EMREN JEZED]
Sirène vénérée des amoureux
Venus, éblouis-moi de tes merveilles
Oh Reine révérée, si tu le veux
Protège-moi, que rien ne me réveille
Car dans l'abîme de ton cœur
J'ai décidé de demeurer
Ici les idylles et les fleurs
Ne fanent et faneront jamais
Je passerais une éternité
A contempler ces douces puissances
De l'une à l'autre vanité
Les laisser caresser mes sens, Ah
Je chante un rêve torturé
Le temps d'une dernière danse
[EMREN JEZED]
Sirène vénérée des amoureux
Venus, éblouis-moi de tes merveilles
Oh Reine révérée, si tu le veux
Protège-moi, que rien ne me réveille
Car dans l'abîme de ton cœur
J'ai décidé de demeurer
Ici les idylles et les fleurs
Ne fanent et faneront jamais
Je passerais une éternité
A contempler ces douces puissances
De l'une à l'autre vanité
Les laisser caresser mes sens, Ah
Je chante un rêve torturé
Le temps d'une dernière danse
Avec les ombres capturées
De mes révolues imprudences
La cause est folle je le sais
Perdue d'avance mais je m'endors
Et comme si tout recommençait
L'espace se remplit de perles d'or
Je passerais une éternité
A contempler ces douces puissances
De l'une à l'autre vanité
Les laisser caresser mes sens, Ah
La cause est folle je le sais
Perdue d'avance mais je m'endors
Et comme si tout recommençait
L'espace se remplit de perles d'or
Perdue d'avance mais je m'endors
De mes révolues imprudences
La cause est folle je le sais
Perdue d'avance mais je m'endors
Et comme si tout recommençait
L'espace se remplit de perles d'or
Je passerais une éternité
A contempler ces douces puissances
De l'une à l'autre vanité
Les laisser caresser mes sens, Ah
La cause est folle je le sais
Perdue d'avance mais je m'endors
Et comme si tout recommençait
L'espace se remplit de perles d'or
Perdue d'avance mais je m'endors
Perdue d'avance mais je m'endors
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