Paroles de la chanson Les Vierges par Eric Eract
Chanson manquante pour "Eric Eract" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Les Vierges"
Proposer une correction des paroles de "Les Vierges"
Paroles de la chanson Les Vierges par Eric Eract
Tu t'introduis, l'amour a eu le temps de mourir dix fois
Puis dresse un tableau du genre qu'on retrouve dans les livres d'histoire
Avec du sang et du métal, du métal brûlant
Du métal bullant, du métal hurlant
Et elle m'a rabâché "ne reste pas attaché"
Connasse je vais t'apprendre ce que c'est de se faire attacher :
Des erreurs à mâcher, des terreurs à cacher
Ton silence trouvera une excuse dans ton cœur arraché
Ouais je reste attaché, mais avec tout ce qui pèse sur moi -
Pas sûr que si je me pends tu suffises à faire contrepoids
Puis dresse un tableau du genre qu'on retrouve dans les livres d'histoire
Avec du sang et du métal, du métal brûlant
Du métal bullant, du métal hurlant
Et elle m'a rabâché "ne reste pas attaché"
Connasse je vais t'apprendre ce que c'est de se faire attacher :
Des erreurs à mâcher, des terreurs à cacher
Ton silence trouvera une excuse dans ton cœur arraché
Ouais je reste attaché, mais avec tout ce qui pèse sur moi -
Pas sûr que si je me pends tu suffises à faire contrepoids
Ouais je reste attaché, sur mon siège éjectable
Expulse moi chaque fois je reviendrai avec des étoiles
Ouais je reste attaché, aux chaînes au bout de tes doigts
Ton putain de pantin de bois, ton prisonnier, ton esclave
Ouais je reste attaché, comme ce qu'il reste de mes bras
Dont les ligaments s'effritent, s'érodent tels la cathédrale
Je prends les vierges et les fais tourner par compensation
Les prend sur le bureau, sur les vitres, lèche la condensation
Au levé je les rassure, en marge je les rature
Expulse moi chaque fois je reviendrai avec des étoiles
Ouais je reste attaché, aux chaînes au bout de tes doigts
Ton putain de pantin de bois, ton prisonnier, ton esclave
Ouais je reste attaché, comme ce qu'il reste de mes bras
Dont les ligaments s'effritent, s'érodent tels la cathédrale
Je prends les vierges et les fais tourner par compensation
Les prend sur le bureau, sur les vitres, lèche la condensation
Au levé je les rassure, en marge je les rature
Pour grogner il me faut le grain de leur peau en pâture
C'est l'amour dans les grandes, un viol entre les lignes
Je les fixe des heures pour que s'y imprime ma rétine
Dans ma semence, ses vignes, elles se noient, se résignent
Catalysé je contemple avec dégoût ma résine
Qui dégouline sur leurs seins blancs, indigne et sanglante
Chaque tache me ressemblant en est imparfaite
Et pourtant je recommence à livrer mes salves par têtes -
Leurs visages se délavent crochetés sous mon érigne
Après que sur mes pâles les pâles aient suffisamment tourné
C'est l'amour dans les grandes, un viol entre les lignes
Je les fixe des heures pour que s'y imprime ma rétine
Dans ma semence, ses vignes, elles se noient, se résignent
Catalysé je contemple avec dégoût ma résine
Qui dégouline sur leurs seins blancs, indigne et sanglante
Chaque tache me ressemblant en est imparfaite
Et pourtant je recommence à livrer mes salves par têtes -
Leurs visages se délavent crochetés sous mon érigne
Après que sur mes pâles les pâles aient suffisamment tourné
Reste une flaque de muqueuse utérine et - j'en fais des verrines et-
J'en fais des terrines et - les regarde se périmer
Laisse ma seule marque en ce monde sur leur périnée
J'en fais des terrines et - les regarde se périmer
Laisse ma seule marque en ce monde sur leur périnée
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)