Paroles de la chanson L'ombre par Erve Deroff
Auteurs: Hervé Deroff
Compositeurs: Hervé Deroff
Editeurs: Lalouline Editions
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Paroles de la chanson L'ombre par Erve Deroff
Dans le ventre de ma mère
J’avais déjà des doutes
Bang, bang ! Faisait ma tête
La vie est une banqueroute
Au premier baiser de l’air
Comme un mauvais présage
Ce fut la main de mon père
Qui me prit en otage
Refrain :
Fuir l’ombre à tire d’aile
Perché dans sa tête un soleil
Fuir l’ombre à tire d’aile
Fendre la nuit s’inventer un ciel
J’avais déjà des doutes
Bang, bang ! Faisait ma tête
La vie est une banqueroute
Au premier baiser de l’air
Comme un mauvais présage
Ce fut la main de mon père
Qui me prit en otage
Refrain :
Fuir l’ombre à tire d’aile
Perché dans sa tête un soleil
Fuir l’ombre à tire d’aile
Fendre la nuit s’inventer un ciel
Aux premières lueurs du jour
Il venait me chercher
Pour m’arracher d’un rêve
Où je m’étais caché
Bang, bang ! Faisait ma tête
Du rouge sur le carrelage
Je ne méritais pas mieux
Car je n’étais pas sage
Refrain
Oh…coups après coups
Refrain
Sur la fenêtre la pluie
Cognait sans s’arrêter
C’était un dimanche gris
Ma mère était couchée
Au premier coup de la batte
Du sang sur son corsage
Aujourd’hui elle me sourit
De son demi-visage
Refrain
Oh... Coups après coups
Aux premières lueurs du jour
Des hommes sont arrivés
Ils m’ont posé des questions
J’étais terrorisé
Bang, bang ! Faisait ma tête
J’avais peur de l’orage
Ils ont emmené mon père
Ma mère était couchée
Au premier coup de la batte
Du sang sur son corsage
Aujourd’hui elle me sourit
De son demi-visage
Refrain
Oh... Coups après coups
Aux premières lueurs du jour
Des hommes sont arrivés
Ils m’ont posé des questions
J’étais terrorisé
Bang, bang ! Faisait ma tête
J’avais peur de l’orage
Ils ont emmené mon père
Car il n’était pas sage
Sur la fenêtre la pluie
D’un coup, s’est arrêtée
J’ai vu les yeux de mon frère
Terreur et joie mêlées
Bang, bang ! Ne feraient plus nos têtes
Sur le carrelage
Maman disait doucement
« L’enfer est de passage »
Refrain
Fuir l’ombre à tire d’aile (*3)
Fendre la nuit s’inventer un ciel
Sur la fenêtre la pluie
D’un coup, s’est arrêtée
J’ai vu les yeux de mon frère
Terreur et joie mêlées
Bang, bang ! Ne feraient plus nos têtes
Sur le carrelage
Maman disait doucement
« L’enfer est de passage »
Refrain
Fuir l’ombre à tire d’aile (*3)
Fendre la nuit s’inventer un ciel
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