Paroles de la chanson Le phare par Etienne Daho

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Paroles de la chanson Le phare par Etienne Daho

C'est comme un tremblement subtil
Dans l'air pur.
Ta lueur d'un lundi d'été
Une brûlure,
Un délicieux baiser, une morsure
Un pacte secret.
Ce sont de merveilleux moments
Où l'on sait

Ces instants où nos yeux
Flèches d'acier,
Comme deux fleurets blancs
Se sont croisés
avant d'échanger

C'est comme un phare dans le soir,
C'est comme un vœu silencieux
C'est comme un phare
Et les autres, n'y voient que du feu

Comme des invisibles fiançailles,
Que trahissent un geste un détail
Un regard qui couronne et qui médaille,
Fait battre les sangs
Quelle est la part de chance du divin
Et la part du hasard de l'instinct
Qui hisse haut les voiles de nos destins
M'impactent en secret

C'est comme un phare dans Le noir
C'est comme un désir impérieux
C'est comme un phare
Et les autres n'y voient que du feu

C'est comme un phare dans le soir,
C'est comme un vœu silencieux
C'est comme un phare
Et les autres, n'y voient que du feu

Ouh ouh ouh
Ouh ouh ouh
Ouh ouh ouh
oouuhhh

C'est comme un tremblement subtil
Dans l'air pur.
Ta lueur d'un lundi d'été
Ta brûlure,
Un délicieux baiser, une morsure
Un pacte secret.

C'est comme un phare dans Le noir
C'est comme un désir impérieux
C'est comme un phare
Et les autres n'y voient que du feu

C'est comme un phare dans le soir,
C'est comme un vœu silencieux
C'est comme un phare
Et les autres, n'y voient que du feu

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