Paroles de la chanson Onze mille vierges par Etienne Daho
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Paroles de la chanson Onze mille vierges par Etienne Daho
Onze mille vierges sous acide lysergique
Consolent des malabars tendus et mélancoliques
Fille de joie me fixe de ses yeux verts
Des claques de Soho jusqu'à l'hôtel de l'enfer
L'hôtel de l'enfer
L'envers de Soho
Onze mille vierges sous acide lysergique
Consolent des malabars tendus et mélancoliques
Jours et nuits au French ou aux colonies
De la rue des saint pères à Soho tu me poursuis
Mes mots dangereux
Deviennent d'étranges poèmes
Consolent des malabars tendus et mélancoliques
Fille de joie me fixe de ses yeux verts
Des claques de Soho jusqu'à l'hôtel de l'enfer
L'hôtel de l'enfer
L'envers de Soho
Onze mille vierges sous acide lysergique
Consolent des malabars tendus et mélancoliques
Jours et nuits au French ou aux colonies
De la rue des saint pères à Soho tu me poursuis
Mes mots dangereux
Deviennent d'étranges poèmes
Tant d'alcool et de feu
Ils dévastent tous ceux que j'aime
Je t'humilies, tu te couches
Mes insultes fourchent
Et je frappe bas
Ces horreurs sortent de ma bouche
Et je ne parviens pas à te dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Onze mille cierges, alcool et barbiturique
Je flotte dans les rues comme sous analgésique
Mon costume souillé de larmes et de suie
De la rue des saint pères à Soho tu me poursuis
Mes mots dangereux
Deviennent d'étranges chants-poèmes
D'acier et de feu
Ils dévastent tous ceux que j'aime
Je t'humilies, tu te couches
Mes insultes fourchent
Et je frappe bas
Ces horreurs sortent de ma bouche
Et je ne parviens pas à te dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Onze mille cierges, alcool et barbiturique
Je flotte dans les rues comme sous analgésique
Mon costume souillé de larmes et de suie
De la rue des saint pères à Soho tu me poursuis
Mes mots dangereux
Deviennent d'étranges chants-poèmes
D'acier et de feu
Ils détruisent tous ceux que j'aime
Je me dresse, tu te couches
Mes insultes fourchent
Et je frappe bas
Ces horreurs sortent de ma bouche
Et je ne parviens pas à te dégoûter
Dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Je me dresse, tu te couches
Mes insultes fourchent
Et je frappe bas
Ces horreurs sortent de ma bouche
Et je ne parviens pas à te dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Onze mille vierges sous acide lysergique
Je me dresse, tu te couches
Mes insultes fourchent
Et je frappe bas
Ces horreurs sortent de ma bouche
Et je ne parviens pas à te dégoûter
Dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Je me dresse, tu te couches
Mes insultes fourchent
Et je frappe bas
Ces horreurs sortent de ma bouche
Et je ne parviens pas à te dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Dégoûter de moi
Onze mille vierges sous acide lysergique
Consolent des malabars tendus et mélancoliques
Jours et nuits au French ou aux colonies
De la rue des saint pères à Soho tu me poursuis
Jours et nuits au French ou aux colonies
De la rue des saint pères à Soho tu me poursuis
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