Paroles de la chanson C'est ainsi par Euphonik
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Paroles de la chanson C'est ainsi par Euphonik
Je suis avec toi sur la terre des morts, j'aurais voulu t'aimer
Mais il est trop tard
Je t'écrirai la vie, la vraie, les mains brouillard, les cœurs en friche
Les trouillards, les débrouillards, bref, ceux qui manquent à l'affiche
Toujours plus près du vide, quand les jours se ressemblent
Et c'est fou c'que l'on ressent, en somme, quand on est seuls ensemble
Le teint blafard, abîmé par la vie, habité par le doute
J'avance plein phares dans la nuit pour te trouver sur ma route
Mais il est trop tard
Je t'écrirai la vie, la vraie, les mains brouillard, les cœurs en friche
Les trouillards, les débrouillards, bref, ceux qui manquent à l'affiche
Toujours plus près du vide, quand les jours se ressemblent
Et c'est fou c'que l'on ressent, en somme, quand on est seuls ensemble
Le teint blafard, abîmé par la vie, habité par le doute
J'avance plein phares dans la nuit pour te trouver sur ma route
Une destinée un peu funèbre quand t'as personne sur qui compter
Caresser les ténèbres c'est peut-être apprendre à les dompter
Tu crèves dans l'indifférence, tes 5 sens à l'affût
Mais pour oublier ta démence bah tu t'flingues à la fume
La vie n'est pas si docile vu qu't'as pas le cran des vainqueurs
Tu veux ta dose d'ocytocine ou un coup de faucille en plein cœur
L'aiguille tourne et malgré tout, t'attends juste que ton heure sonne
T'es là pour les autres, avoue, mais quand t'as besoin y'a plus personne
Ta bonne étoile est un darksun alors tant mieux si tout est sombre
Caresser les ténèbres c'est peut-être apprendre à les dompter
Tu crèves dans l'indifférence, tes 5 sens à l'affût
Mais pour oublier ta démence bah tu t'flingues à la fume
La vie n'est pas si docile vu qu't'as pas le cran des vainqueurs
Tu veux ta dose d'ocytocine ou un coup de faucille en plein cœur
L'aiguille tourne et malgré tout, t'attends juste que ton heure sonne
T'es là pour les autres, avoue, mais quand t'as besoin y'a plus personne
Ta bonne étoile est un darksun alors tant mieux si tout est sombre
Car il n'y a que les lucioles sur la même longueur d'onde
Ce monde n'a rien d'alléchant, y'a plus grand chose pour t'exciter
Tu connais bien trop les gens et leur foutue toxicité
Tout le monde te parle mais ça t'ennuie, on t'traite comme un déprimé
Alors que dans le fond t'es juste le fruit des sentiments qu't'as réprimés
A quoi bon leur parler, leurs conseils sont prévisibles
Ils feront semblant de t'écouter et tu resteras invisible
C'est comme ça depuis ta naissance, seul depuis le placenta
Que tu vis ce vide immense qui prend bien trop de place en toi
Ce monde n'a rien d'alléchant, y'a plus grand chose pour t'exciter
Tu connais bien trop les gens et leur foutue toxicité
Tout le monde te parle mais ça t'ennuie, on t'traite comme un déprimé
Alors que dans le fond t'es juste le fruit des sentiments qu't'as réprimés
A quoi bon leur parler, leurs conseils sont prévisibles
Ils feront semblant de t'écouter et tu resteras invisible
C'est comme ça depuis ta naissance, seul depuis le placenta
Que tu vis ce vide immense qui prend bien trop de place en toi
J'ai presque vu l'Eden dans tes yeux couleurs brumâtre
Même qu'elle a pris ta peine, passé 3h du mat'
Même si le temps est limité, il se fait long et le pire
C'est l'étrange infinité que tu n'as jamais su décrire
T'es devenu froid et terne que tu sois de Mars ou Vénus
Tu croyais trouver la perle c'n'était qu'une caillasse de plus
Sûrement seul et médusé, tu feras encore les mêmes bilans
Avec la gueule un peu usé comme si ton âme avait mille ans
Tu sais plus pourquoi t'es al, tu cherches ta vérité, ton but
Pas l'amitié des fils de pute, tu luttes pour ton idéal
Même qu'elle a pris ta peine, passé 3h du mat'
Même si le temps est limité, il se fait long et le pire
C'est l'étrange infinité que tu n'as jamais su décrire
T'es devenu froid et terne que tu sois de Mars ou Vénus
Tu croyais trouver la perle c'n'était qu'une caillasse de plus
Sûrement seul et médusé, tu feras encore les mêmes bilans
Avec la gueule un peu usé comme si ton âme avait mille ans
Tu sais plus pourquoi t'es al, tu cherches ta vérité, ton but
Pas l'amitié des fils de pute, tu luttes pour ton idéal
Ils te diront que t'es dans l'erreur, qu'à ce monde faudra bien t'faire
Mais rien qu'ça vocifère, les rêveurs n'ont pas besoin de somnifères
Tu les mystifies, t'es pas l'plus mort de tous mon ange
Si ton spleen se liquéfie, au pire ça remplira le Gange
Pourvu qu'on sorte d'ici même si le brouillard s'épaissit
Qui se ressemble s'apprécie, j't'attends comme une éclaircie
Ca parle d'avenir, de faire des mômes, de baraque, de nouvelle caisse
Toi t'es là t'as pas les mots, à leurs questions de politesse
A faire semblant on s'oublie vite, c'est pas comme si t'avais eu le choix
Mais rien qu'ça vocifère, les rêveurs n'ont pas besoin de somnifères
Tu les mystifies, t'es pas l'plus mort de tous mon ange
Si ton spleen se liquéfie, au pire ça remplira le Gange
Pourvu qu'on sorte d'ici même si le brouillard s'épaissit
Qui se ressemble s'apprécie, j't'attends comme une éclaircie
Ca parle d'avenir, de faire des mômes, de baraque, de nouvelle caisse
Toi t'es là t'as pas les mots, à leurs questions de politesse
A faire semblant on s'oublie vite, c'est pas comme si t'avais eu le choix
Quand tu souris, t'as l'air stupide, comme si c'était ta 1ère fois
Tu t'fais rare comme le bonheur, ou comme les gens honnêtes
La morale est aux donneurs ce que l'amour est aux poètes
Tu vis comme une étincelle, le feu dans tes yeux c'est un cygne
Incompris on s'éteint seul, tu m'as dit c'est ainsi
Tu ne saura jamais combien d'appels ont déchiré ma gorge, troupeaux de parias noyés dans la nuit, lui sans tendresse, lui implacable. Surtout ne dites pas que vous me comprenez, cela il faut que tu le saches avant que je disparaisse, mais je crains que nous ne soyons trop loin l'un de l'autre, pour que mes paroles te parviennent encore
Tu t'fais rare comme le bonheur, ou comme les gens honnêtes
La morale est aux donneurs ce que l'amour est aux poètes
Tu vis comme une étincelle, le feu dans tes yeux c'est un cygne
Incompris on s'éteint seul, tu m'as dit c'est ainsi
Tu ne saura jamais combien d'appels ont déchiré ma gorge, troupeaux de parias noyés dans la nuit, lui sans tendresse, lui implacable. Surtout ne dites pas que vous me comprenez, cela il faut que tu le saches avant que je disparaisse, mais je crains que nous ne soyons trop loin l'un de l'autre, pour que mes paroles te parviennent encore
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