Paroles de la chanson Fabulation (reprise K-rip) par Euphonik
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Paroles de la chanson Fabulation (reprise K-rip) par Euphonik
Mythologie du 21ème siècle, troisième millénaire
Milles et une philosophies d'vies, vise le cercle vicieux
Certes, les yeux mentent pas mais pètent le mental
Élémentaire, mon cher, cycle infernal et rarement stable
En c'temps, l'illusoire paraît préférable
Autant qu'les fables, face à l'océan où l'vent fait rage
Le temps s'fait rare et tend vers c't'horizon vertical
Être tricard d'la vérité, véritable rêve cervical
Loin d'une vie d'servitude de cette réalité si rude
Milles et une philosophies d'vies, vise le cercle vicieux
Certes, les yeux mentent pas mais pètent le mental
Élémentaire, mon cher, cycle infernal et rarement stable
En c'temps, l'illusoire paraît préférable
Autant qu'les fables, face à l'océan où l'vent fait rage
Le temps s'fait rare et tend vers c't'horizon vertical
Être tricard d'la vérité, véritable rêve cervical
Loin d'une vie d'servitude de cette réalité si rude
En rade face à l'habitude du rasage de bitume
Survoler la mer à dos d'chimère, vers le pays des rêves
Cracher les flammes d'Erèbe, frère, sans risque de se brûler
Atterrir dans l'désert, quand la réalité dérange
Face à c'mirage, l'illusion fait rage, et les rêves se rangent
Dans la poche gauche, avec quelques pièces de monnaie
Mauvais jour car le jour se lève, au lieu d'rester couché
Cette sensation qu'la vie nous en veut, qu'le veau nous envie
Qu'Yahvé nous envoie ses grâces, comme le nuage envoie la pluie
Survoler la mer à dos d'chimère, vers le pays des rêves
Cracher les flammes d'Erèbe, frère, sans risque de se brûler
Atterrir dans l'désert, quand la réalité dérange
Face à c'mirage, l'illusion fait rage, et les rêves se rangent
Dans la poche gauche, avec quelques pièces de monnaie
Mauvais jour car le jour se lève, au lieu d'rester couché
Cette sensation qu'la vie nous en veut, qu'le veau nous envie
Qu'Yahvé nous envoie ses grâces, comme le nuage envoie la pluie
L'application d'un théorème monté au rêve est complexe
Comme i²=-1 replacé dans son contexte
Comme ce mec qui conteste histoire de sécher les cours
D'histoire, de maths, mais quand vient l'heure d'EPS la manif s'disperse
Entre rêve et cauchemar, blanc et noir, liberté et shtars
Comme la vie d'star qui peu à peu a l'goût du Ricard
Vodka pomme, rail de coke, whisky coca puis croque-mort
C'est comme mort qu'on vit, qu'on suit l'sort que la vie nous donne
Mais qu'on m'donne une raison d'vivre sans rêves, vie invisible
Dans votre monde j'suis bon qu'à perdre, dans l'mien, j'suis invincible
Comme i²=-1 replacé dans son contexte
Comme ce mec qui conteste histoire de sécher les cours
D'histoire, de maths, mais quand vient l'heure d'EPS la manif s'disperse
Entre rêve et cauchemar, blanc et noir, liberté et shtars
Comme la vie d'star qui peu à peu a l'goût du Ricard
Vodka pomme, rail de coke, whisky coca puis croque-mort
C'est comme mort qu'on vit, qu'on suit l'sort que la vie nous donne
Mais qu'on m'donne une raison d'vivre sans rêves, vie invisible
Dans votre monde j'suis bon qu'à perdre, dans l'mien, j'suis invincible
Philosophe des temps modernes, quand l'mot "terne" te définit
Face à la vie t'espère tu t'dis qu'même la voie lactée finit
Au fin fond d'l'univers, certes, pour pas dire à l'autre bout
Vu qu'l'infini est un cercle, un huit, ou comment dire, un tout
Les "qu'en dira t'on?" nous plongent dans l'oppression
Le regard de l'autre est blessant, stressant, mais présent
Illusoirement évidemment, difficilement acceptable
Quand d'nos pleurs le lac s'étend, qu'on a qu'ses dents mordant la table
En accédant à l'illusion, on laisse derrière les accidents
Face à la vie t'espère tu t'dis qu'même la voie lactée finit
Au fin fond d'l'univers, certes, pour pas dire à l'autre bout
Vu qu'l'infini est un cercle, un huit, ou comment dire, un tout
Les "qu'en dira t'on?" nous plongent dans l'oppression
Le regard de l'autre est blessant, stressant, mais présent
Illusoirement évidemment, difficilement acceptable
Quand d'nos pleurs le lac s'étend, qu'on a qu'ses dents mordant la table
En accédant à l'illusion, on laisse derrière les accidents
En acceptant la déconnexion, ou en préconisant
Une réalité chimérique, qui rime avec perfection
Idéal psychologique quand l'illusion fait qu'on perd son
Amour, son amer goût de défaite face à la raison
La prison d'nos vie nous oppresse, d'où l'besoin d'évasion
Comme un animal sauvage, en cage dans une maison
Comme cette nuit blanche suivant l'jour noir, et pour demain remet ça
La raison, du plus fort, est toujours, la meilleure
Mais l'illusion nous en protège, nous l'avons montré tout à l'heure
A toute allure à dos d'Pégase, dans un ciel sans gaz
Une réalité chimérique, qui rime avec perfection
Idéal psychologique quand l'illusion fait qu'on perd son
Amour, son amer goût de défaite face à la raison
La prison d'nos vie nous oppresse, d'où l'besoin d'évasion
Comme un animal sauvage, en cage dans une maison
Comme cette nuit blanche suivant l'jour noir, et pour demain remet ça
La raison, du plus fort, est toujours, la meilleure
Mais l'illusion nous en protège, nous l'avons montré tout à l'heure
A toute allure à dos d'Pégase, dans un ciel sans gaz
Loin d'ce sol en fusion, en usure, figure centrale
Du cauchemar sans trêve, face au rêve sans dommages
Un hommage à nos consciences, bon sens grillé par l'orage
La rage, consume, condamne, conduit aux coups bas
Conduit mais n'roule pas sur l'autoroute d'la vie mais en contrebas
Et toi, perdu sur la bande d'arrêt d'urgence
Appelant à l'aide les passants, qui passent, en l'occurrence
Qui tracent pour l'opulence, laissant sur le banc les bannis
Seuls comme un minot peu balèze, face à Jérôme Le Banner
Le bonheur, où est-il, qu'est-il, pourquoi le quêter
Du cauchemar sans trêve, face au rêve sans dommages
Un hommage à nos consciences, bon sens grillé par l'orage
La rage, consume, condamne, conduit aux coups bas
Conduit mais n'roule pas sur l'autoroute d'la vie mais en contrebas
Et toi, perdu sur la bande d'arrêt d'urgence
Appelant à l'aide les passants, qui passent, en l'occurrence
Qui tracent pour l'opulence, laissant sur le banc les bannis
Seuls comme un minot peu balèze, face à Jérôme Le Banner
Le bonheur, où est-il, qu'est-il, pourquoi le quêter
Le guetter au tournant d'la vie, ne pas s'le prêter
Quand on l'possède, l'observer s'envoler quand il nous obsède
Assister à ses obsèques, ou quand les pleurs sont trop secs
Les trop sales trophées qu'on obtient dans cette lutte quotidienne
Aussi stupide que de manger du haschich au p'tit dej'
Des fois chiche, des fois tu laisses faire tes rêves, tes chimères
Quand l'imaginaire devient protection au froid d'l'hiver
Au froid d'la vie, trop d'fois ravi par l'illusion
On s'rend compte qu'la réalité est synonyme de dépression
Un refuge quasi-permanent, qui s'ressent dans l'inconscience
Quand à ton sens, tout est rose, mais qu'au mien, tout est sang
L'existence apparaît comme une suite de déceptions
D'espérances, d'enchantements, suivis de désillusions
Puis vient le jour où l'pays des merveilles atteint saturation
Car au fond, cette vie de merde n'est que fabulations
Un refuge quasi-permanent, qui s'ressent dans l'inconscience
Quand à ton sens, tout est rose, mais qu'au mien, tout est sang
L'existence apparaît comme une suite de déceptions
D'espérances, d'enchantements, suivis de désillusions
Puis vient le jour où l'pays des merveilles atteint saturation
Car au fond, cette vie de merde n'est que fabulations
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