Paroles de la chanson M. par Euphonik
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Paroles de la chanson M. par Euphonik
A l’abri de ton regard, où je parais si nul
D'un air cénil, qui insinue que malgré moi qu'vers ces simules
Cloîtré entre six murs car ici quatre cérugues
De ma cellule, je vois l'amour à travers le trou d'la serrure
Au delà de mes pensé, ce sont mes rêves qui rentrent en scène
L'amour revient au galop mais j'ai l'cul étalé sur la selle
A chaque pincement au cœur, tous mes rêves deviennent sales
Si la nuit porte conseil, j'attends toujours le marchand de sable
J't'écris à contre cœur mais mon cœur lui n'est pas con
D'un air cénil, qui insinue que malgré moi qu'vers ces simules
Cloîtré entre six murs car ici quatre cérugues
De ma cellule, je vois l'amour à travers le trou d'la serrure
Au delà de mes pensé, ce sont mes rêves qui rentrent en scène
L'amour revient au galop mais j'ai l'cul étalé sur la selle
A chaque pincement au cœur, tous mes rêves deviennent sales
Si la nuit porte conseil, j'attends toujours le marchand de sable
J't'écris à contre cœur mais mon cœur lui n'est pas con
Par contre il est con parce qu'il seccoeur pour un cœur c'est un comble
Si parfois il se cambre, c'est seulement dans l'allure
Car au fond, il ne bat plus, quand j'ai la tête dans la lune
Toi la jolie blonde et brune, à la fois si douce et brute
De sang froid, j'déclare ma flamme, autant faire dans l'absurde
Je t'assure, j'comprends plus rien, ou j'refuse de comprendre
Dans tes mains, je tisse une corde, où j'finirais par me pendre
Toutes les roses ont des épines, c'est peut-être mieux ainsi
Car souvent les plus belles choses, sont toujours inaccessibles
Si parfois il se cambre, c'est seulement dans l'allure
Car au fond, il ne bat plus, quand j'ai la tête dans la lune
Toi la jolie blonde et brune, à la fois si douce et brute
De sang froid, j'déclare ma flamme, autant faire dans l'absurde
Je t'assure, j'comprends plus rien, ou j'refuse de comprendre
Dans tes mains, je tisse une corde, où j'finirais par me pendre
Toutes les roses ont des épines, c'est peut-être mieux ainsi
Car souvent les plus belles choses, sont toujours inaccessibles
L'amour se fait un sang d'encre, et moi j'y laisserai ma plume
Et quand soudain je t'aime tant, c'est toi qui ne m'aime plus
J'attends que le jour s'éteigne pour qu'enfin la nuit s'allume
D'un sentiment insalubre, pas de «je t'aime», juste un «salut»
L'amour c'est qu'du cinéma, du fric, du sexe et sidéral
Aimer, t'essaies, mais au final, ouais tu sais qu'ça fait si mal
Souvent j'me crève à la tâche, vu qu'mon encre s'éparpille
C'est par dix que les mots tapent au bord du paradis
Amour ou amitié, après tout quelle importance
Et quand soudain je t'aime tant, c'est toi qui ne m'aime plus
J'attends que le jour s'éteigne pour qu'enfin la nuit s'allume
D'un sentiment insalubre, pas de «je t'aime», juste un «salut»
L'amour c'est qu'du cinéma, du fric, du sexe et sidéral
Aimer, t'essaies, mais au final, ouais tu sais qu'ça fait si mal
Souvent j'me crève à la tâche, vu qu'mon encre s'éparpille
C'est par dix que les mots tapent au bord du paradis
Amour ou amitié, après tout quelle importance
Vu qu'il n'y a qu'un pas, quand la vodka mène la danse
Je suis sensé parler d'toi, mais à croire que j'mauto clashe
J'ai le seum, j'suis au plus bas, comme sur une des photos de classe
S'il te plaît, pardonnes moi si tous mes mots t'ont froissés
Mais à quoi bon tourner les pages pour une dame de papier?
J'voulais parler de toi, de moi, de qui, de nous, de quoi
Ou bien d'une toile de toit et moi où l'on serai reine et roi
Toujours aussi rêveur mais quand j’ôte vois je le deviens
Quand réécris, méconnais la fin comme si j'étais devin
Je suis sensé parler d'toi, mais à croire que j'mauto clashe
J'ai le seum, j'suis au plus bas, comme sur une des photos de classe
S'il te plaît, pardonnes moi si tous mes mots t'ont froissés
Mais à quoi bon tourner les pages pour une dame de papier?
J'voulais parler de toi, de moi, de qui, de nous, de quoi
Ou bien d'une toile de toit et moi où l'on serai reine et roi
Toujours aussi rêveur mais quand j’ôte vois je le deviens
Quand réécris, méconnais la fin comme si j'étais devin
Entre une attente personnelle et une sale réalité
Je crois que personne n'aime connaître la vérité
L'amour se fait un sang d'encre, et moi j'y laisserai ma plume
Et quand soudain je t'aime tant, c'est toi qui ne m'aime plus
Je crois que personne n'aime connaître la vérité
L'amour se fait un sang d'encre, et moi j'y laisserai ma plume
Et quand soudain je t'aime tant, c'est toi qui ne m'aime plus
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