Paroles de la chanson Nos âmes par Euphonik
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Paroles de la chanson Nos âmes par Euphonik
On se retrouvera peut-être, parmi tous les oubliés
J’ai l’impression de te connaître comme si nos âmes étaient liées
Il y a des choses qu’on n’explique pas, tant pis si je passe pour un fou
Ne me demande pas pourquoi, moi j’y crois et puis c’est tout
Il y a cette voix à l’intérieur, comme un miroir, un crucifix
Prêt à parier qu’elle est ailleurs, je refuse de croire qu’elle est ici
Mais sur quel parallèle, mes cinq sens veulent me duper
Tu peux m’ôter la vie, mais crois-tu pouvoir la buter
J’ai l’impression de te connaître comme si nos âmes étaient liées
Il y a des choses qu’on n’explique pas, tant pis si je passe pour un fou
Ne me demande pas pourquoi, moi j’y crois et puis c’est tout
Il y a cette voix à l’intérieur, comme un miroir, un crucifix
Prêt à parier qu’elle est ailleurs, je refuse de croire qu’elle est ici
Mais sur quel parallèle, mes cinq sens veulent me duper
Tu peux m’ôter la vie, mais crois-tu pouvoir la buter
Et avec le temps j’ai fait le tri, je n’ai gardé que l’essentiel
Car je me dis que le moindre ami, est un ennemi potentiel
Nos âmes se superposent, on a surement les plus tordues
La mienne éperdument perdue, parmi les plus moroses
Et si je pars un peu plus tôt, au cas où je viens à renaître
Je me destine ces quelques mots, et me dis à bientôt peut-être
Avant que mon âme s’effrite, écoute un peu ce requiem
Car je me dis que le temps d’un titre je suis peut-être en feat avec moi-même
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Car je me dis que le moindre ami, est un ennemi potentiel
Nos âmes se superposent, on a surement les plus tordues
La mienne éperdument perdue, parmi les plus moroses
Et si je pars un peu plus tôt, au cas où je viens à renaître
Je me destine ces quelques mots, et me dis à bientôt peut-être
Avant que mon âme s’effrite, écoute un peu ce requiem
Car je me dis que le temps d’un titre je suis peut-être en feat avec moi-même
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes
La clarté de l’esprit, et la bonté du cœur
Deux trésors à l’intérieur, sincère moi je m’exprime
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes
La clarté de l’esprit, et la bonté du cœur
Deux trésors à l’intérieur, sincère moi je m’exprime
Je n’écris que pour les têtes, mon Éden est miniature
Semblable à une bête enchaînée à sa nature
Immature plus qu’immatériel, si bien dans la supercherie
L’essentiel est offert et le superflue hors de prix
Entre nos corps physiques, et nos corps émotionnel
Les dimensions de mondes psychiques deviendront-elles sensationnelles
Ce monde a la déprime, mais ne sait jamais pourquoi
T’as qu’à visé la Lune, on ne parle que des burkas
Ouvert et vigilant, le bushido d’un samouraï
La spiritualité a la splendeur d’un Sakura
Plongé dans le silence ou dans la contemplation
Semblable à une bête enchaînée à sa nature
Immature plus qu’immatériel, si bien dans la supercherie
L’essentiel est offert et le superflue hors de prix
Entre nos corps physiques, et nos corps émotionnel
Les dimensions de mondes psychiques deviendront-elles sensationnelles
Ce monde a la déprime, mais ne sait jamais pourquoi
T’as qu’à visé la Lune, on ne parle que des burkas
Ouvert et vigilant, le bushido d’un samouraï
La spiritualité a la splendeur d’un Sakura
Plongé dans le silence ou dans la contemplation
Attention à ne pas confondre l’analyse et l’inaction
J’ai vaincu vos squelettes comme Jason et les Argonautes
L’humilité c’est de savoir que l’on a besoin des autres
J’ai le courage de mes défaites, mes déceptions je les savoures
S’abreuver à la source, de la vie comme de l’amour
Les oiseaux morts ne volent pas, ils s’échouent dans un ravin
Entre la foudre et l’holocauste, trompettes et séraphins
J’ai le courage de mes défaites, mes déceptions je les savoures
S’abreuver à la source, de la vie comme de l’amour
J’ai vaincu vos squelettes comme Jason et les Argonautes
L’humilité c’est de savoir que l’on a besoin des autres
J’ai le courage de mes défaites, mes déceptions je les savoures
S’abreuver à la source, de la vie comme de l’amour
Les oiseaux morts ne volent pas, ils s’échouent dans un ravin
Entre la foudre et l’holocauste, trompettes et séraphins
J’ai le courage de mes défaites, mes déceptions je les savoures
S’abreuver à la source, de la vie comme de l’amour
Les oiseaux morts ne volent pas, ils s’échouent dans un ravin
Entre la foudre et l’holocauste, trompettes et séraphins
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes
Entre la foudre et l’holocauste, trompettes et séraphins
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes
Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes
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