Paroles de la chanson Sans visage par Euphonik
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Paroles de la chanson Sans visage par Euphonik
Sur les hauts plateaux de la douleur, sur un mur en ruines
J'aurais voulu inscrire ton nom
Afin qu'il s'efface à l'instant précis où s'écrouleraient les pierres
Dans la poussière et le soleil dispersés
Je t'appelle mais je ne connais pas ton nom
Ton vrai nom, celui qui se cache derrière la façade de ton visage
Je l'ignorerai toujours
Elle baille entre deux sourires dans les nuits bleues pétrole
Elle exhale des soupirs parfumés au menthol
Quand est-ce que mes doutes s'envolent?
Moi, je reprendrais bien quelques gouttes d'alcool pour noyer ton chagrin
J'aurais voulu inscrire ton nom
Afin qu'il s'efface à l'instant précis où s'écrouleraient les pierres
Dans la poussière et le soleil dispersés
Je t'appelle mais je ne connais pas ton nom
Ton vrai nom, celui qui se cache derrière la façade de ton visage
Je l'ignorerai toujours
Elle baille entre deux sourires dans les nuits bleues pétrole
Elle exhale des soupirs parfumés au menthol
Quand est-ce que mes doutes s'envolent?
Moi, je reprendrais bien quelques gouttes d'alcool pour noyer ton chagrin
Belle, quand tes yeux se plissent, je t'esquisse du bout des doigts
C'est pas une histoire d'orifice qui peut combler le vide en toi
Pétard moulé dans son Levi's, passé minuit elle se prélasse
Et à son regard le vice lui donne ce côté salace
On se mutile les tempes avec les rires de nos éclats
À quoi bon remonter la pente quand on peut mourir en bas
Bien trop miel pour que ça change, tout le reste est creux
À quoi bon fixer le ciel? Mon ange, on brûlera tous les deux
Je préfère passer mon tour, faire le sourd est bien plus sage
C'est pas une histoire d'orifice qui peut combler le vide en toi
Pétard moulé dans son Levi's, passé minuit elle se prélasse
Et à son regard le vice lui donne ce côté salace
On se mutile les tempes avec les rires de nos éclats
À quoi bon remonter la pente quand on peut mourir en bas
Bien trop miel pour que ça change, tout le reste est creux
À quoi bon fixer le ciel? Mon ange, on brûlera tous les deux
Je préfère passer mon tour, faire le sourd est bien plus sage
Quand ils me parlent d'amour comme des oiseaux en cage
J'ai préféré lâcher prise, je suis comme l'enfant en somme
Qui regarde partir son ballon rempli d'hélium
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Cette nuit-là j'ai tout perdu, le temps et sa notion
En moi, je n'avais jamais vu et revu autant d'émotions
On se racontait nos vies, on a même refait le monde
J'ai préféré lâcher prise, je suis comme l'enfant en somme
Qui regarde partir son ballon rempli d'hélium
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Cette nuit-là j'ai tout perdu, le temps et sa notion
En moi, je n'avais jamais vu et revu autant d'émotions
On se racontait nos vies, on a même refait le monde
C'est p't-être con mais le comble, c'est qu'on était plus sombre que lui
Faire semblant, on évite, j'crois qu'on a jamais su faire
Là, je sens qu'on lévite comme Litith et Lucifer
J'ai de l'encre et du miel, bien assez pour te décrire
Mais tes yeux sont des poèmes que j'ai refusé d'écrire
Et quand je devais partir, je te laissais une partie d'moi
Mais je repensais à toi, à tout ce que j'aurais pu mieux dire
À tes rires hideux, à leur beauté laide
Il y avait nous deux, au milieu des peut-être
On verra pas la fin venir, alors pour l'avenir prions
Faire semblant, on évite, j'crois qu'on a jamais su faire
Là, je sens qu'on lévite comme Litith et Lucifer
J'ai de l'encre et du miel, bien assez pour te décrire
Mais tes yeux sont des poèmes que j'ai refusé d'écrire
Et quand je devais partir, je te laissais une partie d'moi
Mais je repensais à toi, à tout ce que j'aurais pu mieux dire
À tes rires hideux, à leur beauté laide
Il y avait nous deux, au milieu des peut-être
On verra pas la fin venir, alors pour l'avenir prions
On ne peut pas se ret'nir, libres comme des électrons
Ce qu'on oublie en premier, ce sont les plus belles images
Pour ne pas t'oublier, j'ai fais de toi une sans visage
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Ce qu'on oublie en premier, ce sont les plus belles images
Pour ne pas t'oublier, j'ai fais de toi une sans visage
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Ton visage, j'en ai plein les doigts
Invisible, tu n'me voyais pas
J'arrive à peine à parler de toi
J'voulais qu'tu m'prennes un peu dans tes bras
Moi j'en ai plein les doigts
Tu n'me voyais pas
À parler de toi
Un peu dans tes bras
Qu'espères-tu donc?
Que je vais tomber dans tes bras?
Je n'peux rien pour toi
Tu n'peux rien pour moi
C'est assez clair pourtant
Non, je suis un menteur et un salaud
Tu n'm'as jamais poursuivi
C'est moi qui t'ai harcelé sans répit même à travers mon silence
Tu étais, tu aurais pu être le pain et le vin
La douceur limpide, tu oublieras
Je souhaite que tu aies déjà oublié
Qu'aurais-tu fait d'un malade?
D'un être livré à ses seuls monstres intérieurs
Tu n'me voyais pas
À parler de toi
Un peu dans tes bras
Qu'espères-tu donc?
Que je vais tomber dans tes bras?
Je n'peux rien pour toi
Tu n'peux rien pour moi
C'est assez clair pourtant
Non, je suis un menteur et un salaud
Tu n'm'as jamais poursuivi
C'est moi qui t'ai harcelé sans répit même à travers mon silence
Tu étais, tu aurais pu être le pain et le vin
La douceur limpide, tu oublieras
Je souhaite que tu aies déjà oublié
Qu'aurais-tu fait d'un malade?
D'un être livré à ses seuls monstres intérieurs
J'ai toujours vécu dans le désordre de l'esprit
Et les médecins ne me donnaient aucune chance de guérison
Et les médecins ne me donnaient aucune chance de guérison
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