Paroles de la chanson La fille de la nuit par Ezéchiel Pailhès
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Paroles de la chanson La fille de la nuit par Ezéchiel Pailhès
J'aime l'avril et l'eau l'arc-en-ciel et la lune
J'aime tout ce qui change et qui trompe et qui fuit
Mon rire est inconstant autant que la fortune
Et je mens et je suis la fille de la nuit
La nuit me fut toujours magnifique et clémente
J'appris d'elle les noirs chemins où l'ont peut fuir
Elle amortit le bruit de mes pas sur la menthe
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
La nuit me fut toujours magnifique et clémente
J'appris d'elle les noirs chemins où l'ont peut fuir
J'aime tout ce qui change et qui trompe et qui fuit
Mon rire est inconstant autant que la fortune
Et je mens et je suis la fille de la nuit
La nuit me fut toujours magnifique et clémente
J'appris d'elle les noirs chemins où l'ont peut fuir
Elle amortit le bruit de mes pas sur la menthe
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
La nuit me fut toujours magnifique et clémente
J'appris d'elle les noirs chemins où l'ont peut fuir
Elle amortit le bruit de mes pas sur la menthe
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
Et la nuit reconnait en moi sa fille tendre
Elle me fait venir dans les bois endormis
Et me donne l'ouïe exquise pour entendre
Comme en un songe aigu les pas des ennemis
La nuit me fut toujours magnifique et clémente
J'appris d'elle les noirs chemins où l'ont peut fuir
Elle amortit le bruit de mes pas sur la menthe
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
La nuit me fut toujours magnifique et clémente
J'appris d'elle les noirs chemins où l'ont peut fuir
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
Et la nuit reconnait en moi sa fille tendre
Elle me fait venir dans les bois endormis
Et me donne l'ouïe exquise pour entendre
Comme en un songe aigu les pas des ennemis
La nuit me fut toujours magnifique et clémente
J'appris d'elle les noirs chemins où l'ont peut fuir
Elle amortit le bruit de mes pas sur la menthe
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
La nuit me fut toujours magnifique et clémente
J'appris d'elle les noirs chemins où l'ont peut fuir
Elle amortit le bruit de mes pas sur la menthe
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
La fille de la nuit
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
Où l'ombre est douce autant qu'un léger souvenir
La fille de la nuit
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