Paroles de la chanson Mélopée par Ezéchiel Pailhès
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Paroles de la chanson Mélopée par Ezéchiel Pailhès
Parle-moi de ta voix, pareille à l'eau courante
Lorsque s'est ralenti le souffle des aveux
Dis-moi des mots railleurs et cruels, si tu veux
Mais berce-moi de la mélopée enivrante
De ce timbre voilé qui m'attriste et m'enchante
Lorsque mon front s'égare en tes vagues cheveux
Exprime tes espoirs, tes regrets et tes vœux
Ô mon harmonieuse et musicale amante
Ta forme est un éclair
Ton sourire est l'instant
Tu fuis lorsque l'appel
T'implore, ô mon désir
Ta forme est un éclair qui laisse les bras vides
Ton sourire est l'instant que l'on ne peut saisir
Lorsque s'est ralenti le souffle des aveux
Dis-moi des mots railleurs et cruels, si tu veux
Mais berce-moi de la mélopée enivrante
De ce timbre voilé qui m'attriste et m'enchante
Lorsque mon front s'égare en tes vagues cheveux
Exprime tes espoirs, tes regrets et tes vœux
Ô mon harmonieuse et musicale amante
Ta forme est un éclair
Ton sourire est l'instant
Tu fuis lorsque l'appel
T'implore, ô mon désir
Ta forme est un éclair qui laisse les bras vides
Ton sourire est l'instant que l'on ne peut saisir
Tu fuis lorsque l'appel de mes lèvres avides
T'implore, ô mon désir, t'implore, ô mon désir
Tu frôles sans étreindre, ainsi que la chimère
Vers qui tendent toujours tes vœux inapaisés
Rien ne vaut ce tourment, ni cette extase amère
De tes rares baisers
Et moi, j'écouterai ta voix et son doux chant
Je ne comprendrai plus, j'écouterai, cherchant
Sinon l'entier oubli, du moins la somnolence
Car si tu t'arrêtais, ne fût-ce qu'un moment
J'entendrai, j'entendrai, au profond du silence
Quelque chose d'affreux qui pleure horriblement
Exprime tes espoirs, tes regrets et tes vœux
Mais berce-moi de la mélopée enivrante
T'implore, ô mon désir, t'implore, ô mon désir
Tu frôles sans étreindre, ainsi que la chimère
Vers qui tendent toujours tes vœux inapaisés
Rien ne vaut ce tourment, ni cette extase amère
De tes rares baisers
Et moi, j'écouterai ta voix et son doux chant
Je ne comprendrai plus, j'écouterai, cherchant
Sinon l'entier oubli, du moins la somnolence
Car si tu t'arrêtais, ne fût-ce qu'un moment
J'entendrai, j'entendrai, au profond du silence
Quelque chose d'affreux qui pleure horriblement
Exprime tes espoirs, tes regrets et tes vœux
Mais berce-moi de la mélopée enivrante
Ta forme est un éclair qui laisse les bras vides
Ton sourire est l'instant que l'on ne peut saisir
Tu fuis, lorsque l'appel de mes lèvres avides
T'implore, ô mon désir, t'implore, ô mon désir
Ta forme est un éclair qui laisse les bras vides
Ton sourire est l'instant que l'on ne peut saisir
Tu fuis, lorsque l'appel de mes lèvres avides
T'implore, ô mon désir, t'implore, ô mon désir
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